Pas vraiment étonnant car, avec un nom pareil, l'homme ne pouvait qu'être agent de voyages...
On en sort revigoré de ce témoignage, empreint de sagesse et de foi dans l'avenir de son métier.
Les clients ? Il faut le temps de les écouter.
Son prochain ? Il faut l'aider pour mieux s'accomplir soi-même.
Et cette harmonie naturelle, cet humanisme "commercial" (je l'ai dit !) ne se font pas forcément au détriment des affaires. Bien au contraire.
Les clients sont capables de reconnaître et de récompenser le "Conseil". Il y a du philosophe chez cet homme là.
On en sort revigoré de ce témoignage, empreint de sagesse et de foi dans l'avenir de son métier.
Les clients ? Il faut le temps de les écouter.
Son prochain ? Il faut l'aider pour mieux s'accomplir soi-même.
Et cette harmonie naturelle, cet humanisme "commercial" (je l'ai dit !) ne se font pas forcément au détriment des affaires. Bien au contraire.
Les clients sont capables de reconnaître et de récompenser le "Conseil". Il y a du philosophe chez cet homme là.
Laurent est un artisan (y en a aussi...) , un sage qui aime son métier et qui le fait avec amour.
Les ratio, la rentabilité, en découlent. Naturellement. Persévère Laurent (tu permets que je t'appelle Laurent ?), t'es sur la bonne voie...
Merci à Michèle d'avoir déniché et si bien traduit ce témoignage qui nous réconcilie avec le métier, les hommes et la vie.
LIRE : « Agent de voyages ? Être capable de répondre aux demandes les plus farfelues...»
(*) Au fait Laurent, c'est qui, Thybus ?
Les ratio, la rentabilité, en découlent. Naturellement. Persévère Laurent (tu permets que je t'appelle Laurent ?), t'es sur la bonne voie...
Merci à Michèle d'avoir déniché et si bien traduit ce témoignage qui nous réconcilie avec le métier, les hommes et la vie.
LIRE : « Agent de voyages ? Être capable de répondre aux demandes les plus farfelues...»
(*) Au fait Laurent, c'est qui, Thybus ?