Retour vers une destination plus classique pour un autocariste. Après Sharm el Cheick l’année dernière, le prochain congrès des autocaristes se tiendra à Pilzen et Prague, du 28 au 31 mars.
L’occasion, pour les participants, de se familiariser avec les possibilités d’accueil de cette destination phare de l’Europe centrale. Mais également de faire le point sur une profession qui doit s’adapter à l’évolution des goûts des clients.
Comment endiguer la baisse de fréquentation constatée sur le tourisme à la place ? Pour Thierry Schidler, le président du SNET, il ne s’agit pas de baisser les bras mais de trouver des solutions. « Là où nos autocars partaient il y a dix ans avec 47 passagers, aujourd’hui, ils n’en emmènent plus de 22 ». Une érosion que le président du syndicat attribue à la mauvaise image de l’autocar.
Comment redresser cette image, cela fera partie de la première séance plénière des travaux du congrès. L’exemple belge et l’exemple canadien seront examinés avec deux intervenants en provenance de ces deux pays.
La seconde séance de travail portera sur le projet de contrat type applicable au transport routier de passagers. Les autocaristes présents auront la primeur des travaux avant que ces derniers ne soient présentés au ministère des Transports.
Près d’une centaine d’adhérents se sont déjà inscrits à la manifestation qui comporte un trajet aérien sur Sky Europe jusqu’à Prague. Il est toutefois encore possible de le faire auprès du Snet jusqu’à la fin de ce mois.
L’occasion, pour les participants, de se familiariser avec les possibilités d’accueil de cette destination phare de l’Europe centrale. Mais également de faire le point sur une profession qui doit s’adapter à l’évolution des goûts des clients.
Comment endiguer la baisse de fréquentation constatée sur le tourisme à la place ? Pour Thierry Schidler, le président du SNET, il ne s’agit pas de baisser les bras mais de trouver des solutions. « Là où nos autocars partaient il y a dix ans avec 47 passagers, aujourd’hui, ils n’en emmènent plus de 22 ». Une érosion que le président du syndicat attribue à la mauvaise image de l’autocar.
Comment redresser cette image, cela fera partie de la première séance plénière des travaux du congrès. L’exemple belge et l’exemple canadien seront examinés avec deux intervenants en provenance de ces deux pays.
La seconde séance de travail portera sur le projet de contrat type applicable au transport routier de passagers. Les autocaristes présents auront la primeur des travaux avant que ces derniers ne soient présentés au ministère des Transports.
Près d’une centaine d’adhérents se sont déjà inscrits à la manifestation qui comporte un trajet aérien sur Sky Europe jusqu’à Prague. Il est toutefois encore possible de le faire auprès du Snet jusqu’à la fin de ce mois.
















