« Le succès se poursuit pour Lufthansa », a déclaré le PDG Wolfgang Mayrhuber, lors de la présentation des chiffres trimestriels. Malgré le prix élevé du pétrole, le groupe a réalisé un bénéfice opérationnel de 691 millions d’euros au cours des neuf premiers mois de l’année 2006, soit une hausse de 46,7%.
« Ce résultat et son écho sur le marché confirment notre orientation stratégique. Le groupe s’est amélioré, élargi et notre rentabilité s’est accrue. Nous investissons dans le futur et nous prévoyons de recruter 2500 nouveaux collaborateurs cette année.».
Compte tenu de cette évolution, le Directoire de Lufthansa a revu à la hausse les prévisions pour l’ensemble de l’année et s’attend désormais à un bénéfice opérationnel de l’ordre de 750 millions d’euros.
En Inde et Chine, Lufthansa est n°1 parmi toutes les compagnies européennes
M. Mayrhuber a souligné : « Tous les segments d’activité de Lufthansa ont fait preuve d’une gestion efficace, ont renforcé leur portefeuille clients et ont réalisé de belles performances grâce aux nouveaux produits. ».
Le pôle d’activités « Passage Airlines » a contribué de manière décisive à améliorer les résultats sur un marché très concurrentiel. Des rendements en hausse et une augmentation soutenue de la demande ont favorisé ce développement. Sur les marchés asiatiques en pleine croissance, le groupe a enregistré un succès tout particulier et se trouve bien préparé pour l’avenir.
« En Inde et en Chine, Lufthansa est le numéro un parmi toutes les compagnies aériennes européennes et nous continuons à investir, par exemple, dans de nouvelles destinations », a déclaré Wolfgang Mayrhuber. La toute récente commande de 35 nouveaux avions pour élargir et moderniser la flotte fait partie de cette stratégie de croissance.
Wolfgang Mayrhuber est également très satisfait de l’évolution de l’action. Pendant les neuf premiers mois de l’année, le cours a enregistré une augmentation de plus de 30%.
1,13 milliards d’euros d’économies fin septembre
Dans cette optique, le plan d’action est l’un des moyens qui doit conduire à l’amélioration des résultats, à hauteur de 1,2 milliards d’euros d’ici la fin de l’année. Wolfgang Mayrhuber souligne que celui-ci sera achevé dans les délais et avec succès. A fin septembre, ce plan a permis de réaliser 1,13 milliards d’euros d’économies durables. Une gestion des coûts stricts continuera d’être une priorité permanente.
S’il devait poursuivre cette tendance, le secteur aurait besoin avant tout d’un cadre rigoureux et d’un soutien politique en faveur de grands projets d’infrastructure. « Cela signifie une plus grande flexibilité et moins de bureaucratie. Nous ne pouvons plus nous permettre une période de 12 ans pour une piste d’atterrissage à Francfort d’une longueur de 2,8 kilomètres », explique M. Mayrhuber.
Cela suppose également la création d’un espace aérien homogène au sein de l’Europe, qui, à l’heure actuelle, est géré par quelque 50 organisations de contrôle aérien différentes. « Sur ce point, rien n’a changé depuis dix ans. Pourtant, le « Single European Sky », ou Ciel unique européen, est le plus grand projet à l’échelle européenne avec le plus fort potentiel pour contribuer à la baisse des émissions de CO2 dans le trafic aérien.
www.lufthansa.com
« Ce résultat et son écho sur le marché confirment notre orientation stratégique. Le groupe s’est amélioré, élargi et notre rentabilité s’est accrue. Nous investissons dans le futur et nous prévoyons de recruter 2500 nouveaux collaborateurs cette année.».
Compte tenu de cette évolution, le Directoire de Lufthansa a revu à la hausse les prévisions pour l’ensemble de l’année et s’attend désormais à un bénéfice opérationnel de l’ordre de 750 millions d’euros.
En Inde et Chine, Lufthansa est n°1 parmi toutes les compagnies européennes
M. Mayrhuber a souligné : « Tous les segments d’activité de Lufthansa ont fait preuve d’une gestion efficace, ont renforcé leur portefeuille clients et ont réalisé de belles performances grâce aux nouveaux produits. ».
Le pôle d’activités « Passage Airlines » a contribué de manière décisive à améliorer les résultats sur un marché très concurrentiel. Des rendements en hausse et une augmentation soutenue de la demande ont favorisé ce développement. Sur les marchés asiatiques en pleine croissance, le groupe a enregistré un succès tout particulier et se trouve bien préparé pour l’avenir.
« En Inde et en Chine, Lufthansa est le numéro un parmi toutes les compagnies aériennes européennes et nous continuons à investir, par exemple, dans de nouvelles destinations », a déclaré Wolfgang Mayrhuber. La toute récente commande de 35 nouveaux avions pour élargir et moderniser la flotte fait partie de cette stratégie de croissance.
Wolfgang Mayrhuber est également très satisfait de l’évolution de l’action. Pendant les neuf premiers mois de l’année, le cours a enregistré une augmentation de plus de 30%.
1,13 milliards d’euros d’économies fin septembre
Dans cette optique, le plan d’action est l’un des moyens qui doit conduire à l’amélioration des résultats, à hauteur de 1,2 milliards d’euros d’ici la fin de l’année. Wolfgang Mayrhuber souligne que celui-ci sera achevé dans les délais et avec succès. A fin septembre, ce plan a permis de réaliser 1,13 milliards d’euros d’économies durables. Une gestion des coûts stricts continuera d’être une priorité permanente.
S’il devait poursuivre cette tendance, le secteur aurait besoin avant tout d’un cadre rigoureux et d’un soutien politique en faveur de grands projets d’infrastructure. « Cela signifie une plus grande flexibilité et moins de bureaucratie. Nous ne pouvons plus nous permettre une période de 12 ans pour une piste d’atterrissage à Francfort d’une longueur de 2,8 kilomètres », explique M. Mayrhuber.
Cela suppose également la création d’un espace aérien homogène au sein de l’Europe, qui, à l’heure actuelle, est géré par quelque 50 organisations de contrôle aérien différentes. « Sur ce point, rien n’a changé depuis dix ans. Pourtant, le « Single European Sky », ou Ciel unique européen, est le plus grand projet à l’échelle européenne avec le plus fort potentiel pour contribuer à la baisse des émissions de CO2 dans le trafic aérien.
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Les chiffres clés des neuf premiers mois 2006
Le groupe Lufthansa a enregistré un chiffre d’affaires de plus de 15 milliards d’euros au cours des neuf premiers mois de l’année, ce qui correspond à une hausse de 12,9%. Pendant cette période, plus de 40 millions de passagers ont volé avec Lufthansa, un nouveau chiffre record.
Les recettes sont passées à 11,6 milliards d’euros, soit une augmentation de 13,2%. Les autres bénéfices d’exploitation se chiffrent à 887 millions d’euros, soit une baisse de 16,7% par rapport à l’année précédente. En 2005, la vente des parts à Amadeus et Loyalty Partner a permis de réaliser des bénéfices comptables de l’ordre de 290 millions d’euros.
En hausse de 9,6%, les frais d’exploitation sont passés à 15,2 milliards d’euros, restant ainsi en dessous du chiffre d’affaires. Le prix élevé du pétrole a entraîné une nouvelle hausse des coûts du carburant pendant la période de référence.
Les dépenses des compagnies aériennes du groupe pour le kérosène ont atteint 2,6 milliards d’euros pendant les neuf premiers mois, ce qui représente une hausse de 39,1%, soit 719 millions d’euros, par rapport à l’année 2005. « Et sans le succès des mesures prises pour garantir son prix, le carburant aurait coûté 144 millions d’euros de plus. » précise le communiqué.
Lufthansa a amélioré son bénéfice opérationnel sur les 3 derniers mois
Au cours des trois premiers trimestres, le groupe Lufthansa a amélioré son bénéfice opérationnel qui est passé à 691 millions d'euros, soit une hausse de 46,7%. Les bénéfices après impôts se chiffrent à 414 millions d’euros (versus 416 millions d’euros l’année précédente). Cette légère baisse provient des effets positifs exceptionnels en 2005 résultant des bénéfices comptables réalisés par la vente de parts et de la reprise de SWISS.
Le groupe a augmenté son cash-flow opérationnel de 6,9% pour atteindre les 1,4 milliards d’euros. Ainsi, les investissements de 1,3 milliard d’euros (dont 590 millions d’euros dans des avions), supérieurs de 25,4% à ceux de l’année précédente, ont pu être entièrement financés par le cash-flow.
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