Le vol inaugural quittera New York le 17 juillet pour atterrir à Lyon le 18. Et commencer ainsi une exploitation régulière de cinq rotations hebdomadaires pendant la saison d’été. A partir du 1er septembre, la compagnie maintiendra quatre rotations.
Le vol opéré en B 757 sera bi classe avec une vocation majoritairement loisir puisque le programme d’hiver sera réduit. A l’instar de l’autre vol provincial de Delta, celui de Nice.
Mais à l’inverse de Nice où les Américains sont majoritaires sur le vol, Lyon bénéficiera surtout d’un remplissage côté français. Autrement dit, si Nice est surtout commercialisé par Delta aux Etats-Unis, c’est la puissance d’Air France sur son marché qui pèsera surtout dans les résultats du Lyon.
Pour Béatrice de Rotalier, la directrice France de Delta, le remplissage du vol est « satisfaisant » en classe Economique pour la période d’été, même si le report de la date d’ouverture a créé « une certaine confusion dans les esprits ».
Le vol opéré en B 757 sera bi classe avec une vocation majoritairement loisir puisque le programme d’hiver sera réduit. A l’instar de l’autre vol provincial de Delta, celui de Nice.
Mais à l’inverse de Nice où les Américains sont majoritaires sur le vol, Lyon bénéficiera surtout d’un remplissage côté français. Autrement dit, si Nice est surtout commercialisé par Delta aux Etats-Unis, c’est la puissance d’Air France sur son marché qui pèsera surtout dans les résultats du Lyon.
Pour Béatrice de Rotalier, la directrice France de Delta, le remplissage du vol est « satisfaisant » en classe Economique pour la période d’été, même si le report de la date d’ouverture a créé « une certaine confusion dans les esprits ».
La compagnie compte sur la clientèle Affaires
Mais pour atteindre l’équilibre économique, la compagnie compte néanmoins sur la clientèle Affaires. « Le vrai rendez-vous se fera à la rentrée », estime la directrice de Delta. Or, c’est bien l’absence de clientèle Affaires qui avait fait capoté la première tentative de Delta Air Lines il y a huit ans.
Lyon-New York est en effet une deuxième tentative pour Delta. La première expérience s’était arrêtée faute de résultats probants. Quelles sont les chances de réussite de ce nouveau vol aujourd’hui ? Retour en arrière.
A l’époque, la gamme tarifaire était tout simplement hors marché. Air France pesait de tout son poids pour faire monter en puissance le hub de CDG. Pire encore, Lufthansa dont l’escale lyonnaise était très active, avait à l’époque fait le forcing dans la région pour drainer la clientèle Affaires vers son hub de Francfort.
Le manque de réactivité face à la concurrence avait été décisif. La clientèle Affaires lyonnaise avait tout simplement boudé ce vol. Avec quatre rotations par semaine, l’offre n’est pas parfaite pour le business traveller mais avec le développement du hub secondaire de Lyon, la position d’Air France dans la région s’est affermie.
Les deux compagnies partagent désormais les coûts et les recettes. Alors, cette fois-ci pourrait bien être la bonne.
Lyon-New York est en effet une deuxième tentative pour Delta. La première expérience s’était arrêtée faute de résultats probants. Quelles sont les chances de réussite de ce nouveau vol aujourd’hui ? Retour en arrière.
A l’époque, la gamme tarifaire était tout simplement hors marché. Air France pesait de tout son poids pour faire monter en puissance le hub de CDG. Pire encore, Lufthansa dont l’escale lyonnaise était très active, avait à l’époque fait le forcing dans la région pour drainer la clientèle Affaires vers son hub de Francfort.
Le manque de réactivité face à la concurrence avait été décisif. La clientèle Affaires lyonnaise avait tout simplement boudé ce vol. Avec quatre rotations par semaine, l’offre n’est pas parfaite pour le business traveller mais avec le développement du hub secondaire de Lyon, la position d’Air France dans la région s’est affermie.
Les deux compagnies partagent désormais les coûts et les recettes. Alors, cette fois-ci pourrait bien être la bonne.
















