L’aéroport Nice Côte d’Azur a été l’un des plus pénalisés par les grèves du mois de juin 2013, que ce soit des compagnies aériennes ou des contrôleurs aériens.
Cela n’a pas empêché le mois d’être à l’honneur avec deux nouveaux records.
Celui de la semaine la plus chargée (24 au 30 juin) avec 312 910 passagers et celui du trafic quotidien le plus fort, avec 50 500 passagers le 30 juin.
C’est la première fois que l’aéroport traite plus de 50 000 passagers en une seule journée.
Au plan national, la ligne Nice-Bordeaux est toujours en forme avec +25,2% alors que le trafic Nice Orly (+1,3%) et Nice CDG (+6,7%) retrouve vigueur.
En Europe, la palme de l’augmentation revient toujours aux destinations scandinaves (+36,5% pour la Finlande, +28,1% pour la Norvège) ou la Russie (+44,1%).
De leur côté, Tel Aviv et Dubaï tirent toujours le trafic sur le Moyen Orient alors que les Etats Unis affichent une petite forme (3,6%).
En cumulé depuis le début de l’année, le trafic atteint à fin juin plus de 5,3 millions de passagers (+4%) dont 59% à l’international.
Un excellent résultat sachant qu’il y a un an étaient lancées les bases Air France et Easyjet.
Cela n’a pas empêché le mois d’être à l’honneur avec deux nouveaux records.
Celui de la semaine la plus chargée (24 au 30 juin) avec 312 910 passagers et celui du trafic quotidien le plus fort, avec 50 500 passagers le 30 juin.
C’est la première fois que l’aéroport traite plus de 50 000 passagers en une seule journée.
Au plan national, la ligne Nice-Bordeaux est toujours en forme avec +25,2% alors que le trafic Nice Orly (+1,3%) et Nice CDG (+6,7%) retrouve vigueur.
En Europe, la palme de l’augmentation revient toujours aux destinations scandinaves (+36,5% pour la Finlande, +28,1% pour la Norvège) ou la Russie (+44,1%).
De leur côté, Tel Aviv et Dubaï tirent toujours le trafic sur le Moyen Orient alors que les Etats Unis affichent une petite forme (3,6%).
En cumulé depuis le début de l’année, le trafic atteint à fin juin plus de 5,3 millions de passagers (+4%) dont 59% à l’international.
Un excellent résultat sachant qu’il y a un an étaient lancées les bases Air France et Easyjet.
Air France n’enregistre qu’une hausse de 1%
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Toutefois, l’effet base ne joue plus pour Air France qui n’enregistre qu’une hausse de 1% avec 292 679 passagers (1 428 230 depuis le début de l’année, soit +1,1%), alors que son challenger Easyjet affiche en cumulé 1 376 819, mais avec une hausse de 11,8%.
A noter encore l’envol d’Emirates (+16,5% en juin, +22,7% depuis le début de l’année) qui récolte ainsi le bénéfice de sa volonté de mettre un 777 sur la ligne.
Autre succès d’une stratégie "intelligente", la compagnie Norwegian qui décolle avec 55,3% sur le seul mois de juin (204 132 pax depuis le début de l’année, soit +39%).
Autant d’éléments qui démontrent que le trafic ne demande qu’à se développer, il suffit pour cela de proposer des lignes nouvelles, des fréquences et des prix.
Une politique qui ne semble pas celle adoptée par Air France à Nice, dont ni Hop! ni sa filiale française Transavia ne développe une offre nouvelle, comme à Nantes ou à Lyon.
Or Nice et l’ensemble de la Côte d’Azur sans nouvelle ligne ferroviaire rapide avant longtemps ne peut compter que sur l’aérien pour se désenclaver.
Seules pour l’instant les low cost étrangères ont compris l’enjeu du trafic niçois.
A l’image d’Easyjet, le pionnier qui devrait devenir premier opérateur sur la plateforme à l’automne, au moment où Air France prendra sa décision sur le maintien ou non de ses bases de province.
Le gouvernement décidera également du sort de ses participations dans les sociétés aéroportuaires et de l’intérêt d’en céder tout ou partie à des privés.
On sait que Vinci Airport est intéressé et que derrière Vinci se profile l’ombre du Qatar, qui possède près de 6% du groupe. Un vrai cap pour l’aérien français.
A noter encore l’envol d’Emirates (+16,5% en juin, +22,7% depuis le début de l’année) qui récolte ainsi le bénéfice de sa volonté de mettre un 777 sur la ligne.
Autre succès d’une stratégie "intelligente", la compagnie Norwegian qui décolle avec 55,3% sur le seul mois de juin (204 132 pax depuis le début de l’année, soit +39%).
Autant d’éléments qui démontrent que le trafic ne demande qu’à se développer, il suffit pour cela de proposer des lignes nouvelles, des fréquences et des prix.
Une politique qui ne semble pas celle adoptée par Air France à Nice, dont ni Hop! ni sa filiale française Transavia ne développe une offre nouvelle, comme à Nantes ou à Lyon.
Or Nice et l’ensemble de la Côte d’Azur sans nouvelle ligne ferroviaire rapide avant longtemps ne peut compter que sur l’aérien pour se désenclaver.
Seules pour l’instant les low cost étrangères ont compris l’enjeu du trafic niçois.
A l’image d’Easyjet, le pionnier qui devrait devenir premier opérateur sur la plateforme à l’automne, au moment où Air France prendra sa décision sur le maintien ou non de ses bases de province.
Le gouvernement décidera également du sort de ses participations dans les sociétés aéroportuaires et de l’intérêt d’en céder tout ou partie à des privés.
On sait que Vinci Airport est intéressé et que derrière Vinci se profile l’ombre du Qatar, qui possède près de 6% du groupe. Un vrai cap pour l’aérien français.