Accepteriez-vous d'embarquer dans un avion sans pilote ? C'est certainement une question que les voyageurs se poseront dans un futur plus ou moins proche.
En effet, l'ONERA, le centre français de recherche spatial, accompagnés de ses partenaires européens, a développé un appareil en libre-service, sans pilote, capable de transporter jusqu'à quatre personnes : le PPlane (Personal Plane).
Depuis trois ans, les scientifiques mettent en place ce concept pour lequel 4 millions d'euros ont déjà été dépensés.
Le système serait intégralement automatisé avec un décollage effectué à partir d'une rampe de lancement de 200 mètres. A l'atterrissage, l'avion serait réceptionné par un wagonnet.
Pendant le vol, il serait piloté depuis le sol par des téléopérateurs en liaison avec des contrôleurs aériens.
Le Pplane pourrait ainsi transporter ses passagers, tel un taxi, entre deux destinations pour lesquelles aucune liaison directe aérienne n'existe.
Le tarif des billets serait équivalent à celui du TGV, selon le site belge 7sur7.be.
Pour le moment, le projet n'est pas abouti même si "c'est un principe électromagnétique qui a déjà été étudié aux Etats-Unis pour la catapultage d'avions de combat de marine, expliquait Claude Le Tallec, responsable technique et scientifique du projet, à Aeronews.
Par contre l'utiliser pour propulser des passagers autres que des militaires, cela n'a pas encore été fait. Il faudrait éviter une accélération pas trop importante."
Car oui, le prochain obstacle à surmonter reste bien celui de l'adhésion du grand public à un tel concept.
En effet, l'ONERA, le centre français de recherche spatial, accompagnés de ses partenaires européens, a développé un appareil en libre-service, sans pilote, capable de transporter jusqu'à quatre personnes : le PPlane (Personal Plane).
Depuis trois ans, les scientifiques mettent en place ce concept pour lequel 4 millions d'euros ont déjà été dépensés.
Le système serait intégralement automatisé avec un décollage effectué à partir d'une rampe de lancement de 200 mètres. A l'atterrissage, l'avion serait réceptionné par un wagonnet.
Pendant le vol, il serait piloté depuis le sol par des téléopérateurs en liaison avec des contrôleurs aériens.
Le Pplane pourrait ainsi transporter ses passagers, tel un taxi, entre deux destinations pour lesquelles aucune liaison directe aérienne n'existe.
Le tarif des billets serait équivalent à celui du TGV, selon le site belge 7sur7.be.
Pour le moment, le projet n'est pas abouti même si "c'est un principe électromagnétique qui a déjà été étudié aux Etats-Unis pour la catapultage d'avions de combat de marine, expliquait Claude Le Tallec, responsable technique et scientifique du projet, à Aeronews.
Par contre l'utiliser pour propulser des passagers autres que des militaires, cela n'a pas encore été fait. Il faudrait éviter une accélération pas trop importante."
Car oui, le prochain obstacle à surmonter reste bien celui de l'adhésion du grand public à un tel concept.