
L'afflux de touristes français devrait en revanche augmenter de 10% ou 13% cette année et ceux de Grande-Bretagne de 25%.
"Il y aura une baisse globale de l'entrée de touristes en Russie cette année, mais ce sont les chiffres (des touristes) de la CEI qui influencent les statistiques" a tempéré le responsable en précisant que la baisse la plus significative concernait les voyageurs venant de Pologne et d'Ukraine.
Mais "dans le cas des pays dont les touristes dépensent le plus - France, Allemagne, Italie, Grande-Bretagne - il y aura une hausse", a souligné M. Strjalkovski. Au total, "je ne pense pas que ce sera mauvais en terme de bénéfices", a souligné le responsable.
Le nombre de touristes polonais et ukrainiens avait déjà reculé de plus de 270% en 2004 par rapport à 2003 après l'instauration d'un régime de visas entre la Russie et la Pologne et parce que les Ukrainiens ont perdu la possibilité d'utiliser leur passeport soviétique.
Les ressortissants de la CEI ont aussi moins tendance à utiliser des visas de tourisme pour entrer et travailler en Russie suite à des changements de la législation.
L'afflux de touristes français devrait en revanche augmenter de 10% ou 13% cette année et ceux de Grande-Bretagne de 25%, a assuré M. Strjalkovski.
Mais "dans le cas des pays dont les touristes dépensent le plus - France, Allemagne, Italie, Grande-Bretagne - il y aura une hausse", a souligné M. Strjalkovski. Au total, "je ne pense pas que ce sera mauvais en terme de bénéfices", a souligné le responsable.
Le nombre de touristes polonais et ukrainiens avait déjà reculé de plus de 270% en 2004 par rapport à 2003 après l'instauration d'un régime de visas entre la Russie et la Pologne et parce que les Ukrainiens ont perdu la possibilité d'utiliser leur passeport soviétique.
Les ressortissants de la CEI ont aussi moins tendance à utiliser des visas de tourisme pour entrer et travailler en Russie suite à des changements de la législation.
L'afflux de touristes français devrait en revanche augmenter de 10% ou 13% cette année et ceux de Grande-Bretagne de 25%, a assuré M. Strjalkovski.