
A la question de savoir si le Groupe breton Salaün qui a repris les agences Pauli l'avait sollicité, Gilbert Lieber répond clairement ''Non''
« Ce partenariat avec FTI (LIRE) qui fait voyager 1,5 million de personnes par an et réalise un volume d'affaires de 1, 200 milliard d'euros nous a permis d'harmoniser nos méthodes de travail, de consolider nos achats et de minimiser nos prises de risques en matière d'affrètements.
Cela s'est traduit par une baisse importante de nos prix, de l'ordre de 15 %, dans nos catalogues 2010.
La parution de nos brochures, plus tardive de ce fait que les années précédentes, a été bien accueillie par les agences de voyages et les réseaux ».
Gilbert Leiber et sa fille qui a repris les rênes de l'entreprise précisent qu'il ne s'agissait en aucun cas d'un accord capitalistique. Ils n'en excluent pas pour autant l'idée.
« Cela pourrait un jour déboucher sur ce type d'accord mais ce n'est pas du tout dans notre actualité. »
Cela s'est traduit par une baisse importante de nos prix, de l'ordre de 15 %, dans nos catalogues 2010.
La parution de nos brochures, plus tardive de ce fait que les années précédentes, a été bien accueillie par les agences de voyages et les réseaux ».
Gilbert Leiber et sa fille qui a repris les rênes de l'entreprise précisent qu'il ne s'agissait en aucun cas d'un accord capitalistique. Ils n'en excluent pas pour autant l'idée.
« Cela pourrait un jour déboucher sur ce type d'accord mais ce n'est pas du tout dans notre actualité. »
40 000 à 50 000 clients par an
Très présents dans l'est de la France avec leur activité de tour opérateur et de distribution avec leur mini réseau d'une quinzaine de points de ventes Starter et les Voyages Lesage réalisent bon an mal an un trafic de 40 000 à 50 000 clients.
Et quid de la cession du mini-réseau ? « Nos poins de ventes nous appartiennent. Il nous arrive en effet d'être interrogés.
Cela pourrait être un projet encore faudrait-il qu'il apporte quelque chose aux deux parties. Et si cela devait se faire, ce serait, vous le comprendrez, en toute discrétion »
A la question de savoir si le Groupe breton Salaün qui a repris les agences Pauli l'avait sollicité, Gilbert Leiber répond clairement "Non".
Et quid de la cession du mini-réseau ? « Nos poins de ventes nous appartiennent. Il nous arrive en effet d'être interrogés.
Cela pourrait être un projet encore faudrait-il qu'il apporte quelque chose aux deux parties. Et si cela devait se faire, ce serait, vous le comprendrez, en toute discrétion »
A la question de savoir si le Groupe breton Salaün qui a repris les agences Pauli l'avait sollicité, Gilbert Leiber répond clairement "Non".