Les touristes mexicains et leurs accompagnateurs égyptiens avaient été tués par l'armée alors qu'ils se trouvaient dans une zone désertique de l'Ouest de l'Egypte - DR : Google Maps
L'enquête sur la mort des 8 touristes mexicains et de leur 4 accompagnateurs égyptiens en septembre 2015 avance.
Selon Sud Ouest qui cite les autorités mexicaines, l'agence de voyages réceptive égyptienne qui était en charge de leur séjour aurait des responsabilités dans ce drame.
Ils avaient été tués par des avions de combat ou des hélicoptères de l'armée qui les avaient bombardés alors qu'ils se trouvaient dans une zone désertique de l'OUest du pays.
Lors d'une conférence de presse organisée mercredi 6 janvier 2016, Claudia Ruiz Massieu, ministre mexicaine des Affaires étrangères, a assuré que le gouvernement égyptien l'avait informée que "les autorités administratives et l'agence de voyages auraient dû avoir davantage de précisions sur les autorisations et qu'ils seraient donc éventuellement responsables."
Sur le moment, le gouvernement égyptien n'avait que très peu communiqué. Il avait simplement expliqué que l'armée avait attaqué le groupe "par erreur", croyant avoir affaire à des terroristes. Il avait, par ailleurs, expliqué que les touristes se trouvaient dans "une zone interdite".
Selon Sud Ouest qui cite les autorités mexicaines, l'agence de voyages réceptive égyptienne qui était en charge de leur séjour aurait des responsabilités dans ce drame.
Ils avaient été tués par des avions de combat ou des hélicoptères de l'armée qui les avaient bombardés alors qu'ils se trouvaient dans une zone désertique de l'OUest du pays.
Lors d'une conférence de presse organisée mercredi 6 janvier 2016, Claudia Ruiz Massieu, ministre mexicaine des Affaires étrangères, a assuré que le gouvernement égyptien l'avait informée que "les autorités administratives et l'agence de voyages auraient dû avoir davantage de précisions sur les autorisations et qu'ils seraient donc éventuellement responsables."
Sur le moment, le gouvernement égyptien n'avait que très peu communiqué. Il avait simplement expliqué que l'armée avait attaqué le groupe "par erreur", croyant avoir affaire à des terroristes. Il avait, par ailleurs, expliqué que les touristes se trouvaient dans "une zone interdite".
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