Jeudi 21 novembre 2013, le Président de la Commission fédérale des communications (FCC) aux États-Unis, Tom Wheeler, a affirmé qu’il souhaite permettre aux voyageurs d’utiliser leurs téléphones portables et leurs tablettes dans les avions pendant des vols.
"Les technologies modernes peuvent permettre d’avoir accès à des services mobiles pendant les vols en toute sécurité et de manière fiable, estime-t-il. Il est temps de revoir notre réglementation restrictive et dépassée."
Le régulateur des télécoms américain devrait officiellement lancer sa proposition mi-décembre 2013, ajoute LeFigaro.fr. Elle autoriserait, en vol, les mobiles et les tablettes qui fonctionnent avec des réseaux 3G ou 4G, précise une source proche du dossier. L’utilisation de ces terminaux resterait cependant interdite pendant les phases de décollage et d’atterrissage.
Pour autant, si la proposition venait à être adoptée, il faudrait ensuite mettre en place une période de consultations publiques qui pourrait durer jusqu’à un an afin d’évaluer l’opportunité de la mesure. Les transporteurs devraient ensuite donner leur accord et éventuellement installer les équipements nécessaires. Ces derniers devront, à leur tout, recevoir l’approbation de l’aviation civile américaine (FAA). Le processus est donc encore long !
"Les technologies modernes peuvent permettre d’avoir accès à des services mobiles pendant les vols en toute sécurité et de manière fiable, estime-t-il. Il est temps de revoir notre réglementation restrictive et dépassée."
Le régulateur des télécoms américain devrait officiellement lancer sa proposition mi-décembre 2013, ajoute LeFigaro.fr. Elle autoriserait, en vol, les mobiles et les tablettes qui fonctionnent avec des réseaux 3G ou 4G, précise une source proche du dossier. L’utilisation de ces terminaux resterait cependant interdite pendant les phases de décollage et d’atterrissage.
Pour autant, si la proposition venait à être adoptée, il faudrait ensuite mettre en place une période de consultations publiques qui pourrait durer jusqu’à un an afin d’évaluer l’opportunité de la mesure. Les transporteurs devraient ensuite donner leur accord et éventuellement installer les équipements nécessaires. Ces derniers devront, à leur tout, recevoir l’approbation de l’aviation civile américaine (FAA). Le processus est donc encore long !