L’obligation de traduire en arabe les coordonnées inscrites sur les visas des touristes voulant se rendre en Libye n’est pas une nouveauté. Cette procédure émanant d’un décret était officiellement suspendue depuis deux ans. Le problème fut ce volte face brutal décidé et appliqué dans une même matinée dimanche dernier. Il a surpris tout le monde, clients, voyagistes, affréteurs (Go), affrété, réceptifs libyens et Quai d’Orsay.
lire l'article de Michèle Sani