Pour Abdelali Chaoui, Pdg de Royal Tours, « Les clients n’ont pas à repayer les hôtels car tous les hôtels sont supposés être payés par notre réceptif Leader Tours »
Les problèmes locaux ont commencé dimanche avec des clients Royal Tours rejetés par leurs hôtels tunisiens.
« Lorsque nous avons appris la nouvelle, nous avons immédiatement joué franc jeu avec les réseaux pour les prévenir de nos soucis », explique Geneviève Dimitropoulos, la directrice des ventes de Royal Tours.
De fait, dès lundi, par exemple, le réseau AS Voyages prenait la décision de reprotéger les clients envoyés en Tunisie par l’intermédiaire de Royal Tours.
« Les clients sont refusés par les hôtels qui leur demandent de repayer les prestations », indique-t-on chez AS Voyages.
Abdelali Chaoui, le Pdg de Royal Tours reconnaît les problèmes. « Les clients n’ont pas à repayer les hôtels car tous les hôtels sont supposés être payés par notre réceptif Leader Tours », explique-t-il.
« Lorsque nous avons appris la nouvelle, nous avons immédiatement joué franc jeu avec les réseaux pour les prévenir de nos soucis », explique Geneviève Dimitropoulos, la directrice des ventes de Royal Tours.
De fait, dès lundi, par exemple, le réseau AS Voyages prenait la décision de reprotéger les clients envoyés en Tunisie par l’intermédiaire de Royal Tours.
« Les clients sont refusés par les hôtels qui leur demandent de repayer les prestations », indique-t-on chez AS Voyages.
Abdelali Chaoui, le Pdg de Royal Tours reconnaît les problèmes. « Les clients n’ont pas à repayer les hôtels car tous les hôtels sont supposés être payés par notre réceptif Leader Tours », explique-t-il.
Une destination secondaire pour Royal Tours
Autres articles
-
Les vacances d'été se joueront-elles en dernière minute ? 🔑
-
Aurélien Aufort : "L'été n'est pas fait mais l'avant et l'après saison sont plutôt bons"
-
La Tunisie vise 1,3 million de voyageurs français en 2024
-
Futuroscopie - Du "bled" à l’hôtel de luxe : les diasporas africaines évoluent🔑
-
Travel Explorer, Voyamar et Héliades en roadshow
Autant dire que le torchon brûle entre le tour-opérateur et son réceptif tunisien. « Nous avons résilié le contrat », ajoute froidement Abdelali Chaoui.
Pour l’instant, les clients sont reprotégés principalement chez Voyamar qui utilise la même entreprise réceptive en Tunisie.
La Tunisie est une destination secondaire pour Royal Tours qui réalise le gros de son activité au Maroc. D’après Abdelali Chaoui, ce ne sont que 25 clients environ qui sont affectés par le différend tunisien.
Même si les solutions sont trouvées au cas par cas pour les clients déjà inscrits sur le reste de la saison, Royal Tours ne cherche pas à remplacer son réceptif tunisien.
Pour Abdelali Chaoui, c’est clair : le TO a tout simplement décidé de jeter l’éponge sur la Tunisie !
A l’APS dont Royal Tours est adhérent, Raoul Nabet, le président, se dit au courant de la situation tunisienne mais refuse de commenter plus avant la situation financière du tour-opérateur.
Même si les agences continuent de revendre les produits Royal Tours notamment le Maroc, il est clair que l’épisode actuel pourrait porter préjudice à la commercialisation des VDM.
Pour l’instant, les clients sont reprotégés principalement chez Voyamar qui utilise la même entreprise réceptive en Tunisie.
La Tunisie est une destination secondaire pour Royal Tours qui réalise le gros de son activité au Maroc. D’après Abdelali Chaoui, ce ne sont que 25 clients environ qui sont affectés par le différend tunisien.
Même si les solutions sont trouvées au cas par cas pour les clients déjà inscrits sur le reste de la saison, Royal Tours ne cherche pas à remplacer son réceptif tunisien.
Pour Abdelali Chaoui, c’est clair : le TO a tout simplement décidé de jeter l’éponge sur la Tunisie !
A l’APS dont Royal Tours est adhérent, Raoul Nabet, le président, se dit au courant de la situation tunisienne mais refuse de commenter plus avant la situation financière du tour-opérateur.
Même si les agences continuent de revendre les produits Royal Tours notamment le Maroc, il est clair que l’épisode actuel pourrait porter préjudice à la commercialisation des VDM.
