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Contrairement aux indications fournies par la rédaction de TourMaG, Messieurs Gobert et Da Luz n'ont pas "été relaxés en appel", la Cour d'appel ne statuant pas sur l'action publique mais uniquement sur l'action civile.
La cour d'appel de Paris a condamné Messieurs Gobert et Da Luz estimant que les termes "Le colonel grec" constituaient une faute ayant porté préjudice à Monsieur Richard Vainopoulos qu'il convient d'indemniser et a motivé sa condamnation comme suit :
"Si la référence à ce régime pourrait être en lui-même métaphorique, tel n'est pas le cas lorsqu'il fait référence à l'origine nationale de la personne visée. Cet élément exclut que les intimés puissent prétendre s'exonérer de la présomption de volonté de nuire qui est le propre de l'injure. L'humour supposé de l'auteur n'est pas de nature à atténuer cette appréciation".
La cour d'appel de Paris a condamné Messieurs Gobert et Da Luz estimant que les termes "Le colonel grec" constituaient une faute ayant porté préjudice à Monsieur Richard Vainopoulos qu'il convient d'indemniser et a motivé sa condamnation comme suit :
"Si la référence à ce régime pourrait être en lui-même métaphorique, tel n'est pas le cas lorsqu'il fait référence à l'origine nationale de la personne visée. Cet élément exclut que les intimés puissent prétendre s'exonérer de la présomption de volonté de nuire qui est le propre de l'injure. L'humour supposé de l'auteur n'est pas de nature à atténuer cette appréciation".
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