Il n’y a aucun gagnant dans cette crise, seulement des perdants...
TM - C'est en effet aujourd'hui la pierre d'achoppement. Les clients ne comprennent pas qu'on ne puisse leur rembourser un voyage qu'ils n'ont pas effectué ?
AM. :"Nous autres voyagistes, soulevons la difficulté relative à l’existence d’un cas de force majeure qui fait obstacle à tout remboursement, l’article L 211-16 du Code du Tourisme nous exonérant de toute responsabilité en pareil cas.
En effet, il est très rare que des phénomènes naturels d’une telle ampleur se produisent. Nul ne conteste d’ailleurs, le caractère de force majeure.
Nul ne conteste non plus, que lorsqu’ils le peuvent les tours opérateurs et les agences de voyage, dans le cadre d’un geste commercial reportent, dans la mesure du possible, le voyage.
C’est pourquoi nous avons négocié et obtenu de nos partenaires que nos clients puissent reporter leur voyage sur une durée pouvant atteindre une année et n’avons pas perdu de vue qu’il n’est pas équitable de leur faire assumer le coût d’une fermeture des aéroports dont ils ont été, autant que nous, victimes.
Il n’y a aucun gagnant dans cette crise. Tous les acteurs concernés sont perdants : transporteurs aériens, prestataires touristiques, voyagistes, distributeurs et bien sûr les voyageurs.
Le bon sens aurait voulu que les associations de consommateurs cherchent à comprendre la situation et à admettre qu’un évènement aussi extraordinaire touche l’ensemble de la société et qu’il est juste et équitable que tout le monde en partage la charge.
Il ne peut y avoir d’un côté les "gentils", ces pauvres consommateurs victimes d’une situation et de l’autre des professionnels surinformés.
Des prosfessionnels disposant forcément de moyens financiers importants qui pourraient oser se retrancher derrière la force majeure, empêchant de ce fait de dédommager les voyageurs bloqués ou empêchés par la fermeture de l’espace aérien."
AM. :"Nous autres voyagistes, soulevons la difficulté relative à l’existence d’un cas de force majeure qui fait obstacle à tout remboursement, l’article L 211-16 du Code du Tourisme nous exonérant de toute responsabilité en pareil cas.
En effet, il est très rare que des phénomènes naturels d’une telle ampleur se produisent. Nul ne conteste d’ailleurs, le caractère de force majeure.
Nul ne conteste non plus, que lorsqu’ils le peuvent les tours opérateurs et les agences de voyage, dans le cadre d’un geste commercial reportent, dans la mesure du possible, le voyage.
C’est pourquoi nous avons négocié et obtenu de nos partenaires que nos clients puissent reporter leur voyage sur une durée pouvant atteindre une année et n’avons pas perdu de vue qu’il n’est pas équitable de leur faire assumer le coût d’une fermeture des aéroports dont ils ont été, autant que nous, victimes.
Il n’y a aucun gagnant dans cette crise. Tous les acteurs concernés sont perdants : transporteurs aériens, prestataires touristiques, voyagistes, distributeurs et bien sûr les voyageurs.
Le bon sens aurait voulu que les associations de consommateurs cherchent à comprendre la situation et à admettre qu’un évènement aussi extraordinaire touche l’ensemble de la société et qu’il est juste et équitable que tout le monde en partage la charge.
Il ne peut y avoir d’un côté les "gentils", ces pauvres consommateurs victimes d’une situation et de l’autre des professionnels surinformés.
Des prosfessionnels disposant forcément de moyens financiers importants qui pourraient oser se retrancher derrière la force majeure, empêchant de ce fait de dédommager les voyageurs bloqués ou empêchés par la fermeture de l’espace aérien."