Georges Colson au pupitre de la dernière Assemblée Générale du SNAV, Rachid Temal secrétaire général qui quitte son poste à la fin du mois pour le CRT Ile-de-France, Gérard Letailleur (Selectour), Thierry Debourg (Président région sud-ouest et
A l’issue de son assemblée générale extraordinaire d’hier, la feuille de route du SNAV est donc tracée. Elle n’est pas simple. Il y a du pain sur la planche et pas de quoi chômer. Tout devra être opérationnel le 1er octobre prochain.
- Démission des élus siégeant au Conseil National et, de fait, au Bureau Exécutif.
- Mise en place des quatre nouvelles instances autonomes représentant les trois métiers du tourisme (producteurs, distributeurs, réceptifs) ainsi que les régions. Le nombre d’adhérents siégeant dans ces instances sera arrêté en fonction des bonnes volontés et, sans doute, de leur représentativité. Exemple : les distributeurs qui représentent près de 70 % des adhérents seront certainement plus nombreux à siéger dans leur « groupe » que les agences réceptives qui sont, en terme de licences, très minoritaires au sein du SNAV actuel. Chacune de ces instances fixera sa politique, ses objectifs, gérera les dossiers qui lui sont propres et son budget.
- Election des adhérents qui siégeront dans l’instance centrale et dirigeante (au titre à définir). Elle sera composée du président, du trésorier, de trois représentants par métier et de trois représentants des régions qui, eux aussi, représenteront chacun des trois métiers.
- Nouvelles commissions techniques qui seront constituées et mises au service des différentes instances et des adhérents.
- Tout cela se terminera par l’élection du futur président de la nouvelle organisation. Tout adhérent en règle pourra se porter candidat, qu’il siège dans les nouvelles instances ou pas.
- Démission des élus siégeant au Conseil National et, de fait, au Bureau Exécutif.
- Mise en place des quatre nouvelles instances autonomes représentant les trois métiers du tourisme (producteurs, distributeurs, réceptifs) ainsi que les régions. Le nombre d’adhérents siégeant dans ces instances sera arrêté en fonction des bonnes volontés et, sans doute, de leur représentativité. Exemple : les distributeurs qui représentent près de 70 % des adhérents seront certainement plus nombreux à siéger dans leur « groupe » que les agences réceptives qui sont, en terme de licences, très minoritaires au sein du SNAV actuel. Chacune de ces instances fixera sa politique, ses objectifs, gérera les dossiers qui lui sont propres et son budget.
- Election des adhérents qui siégeront dans l’instance centrale et dirigeante (au titre à définir). Elle sera composée du président, du trésorier, de trois représentants par métier et de trois représentants des régions qui, eux aussi, représenteront chacun des trois métiers.
- Nouvelles commissions techniques qui seront constituées et mises au service des différentes instances et des adhérents.
- Tout cela se terminera par l’élection du futur président de la nouvelle organisation. Tout adhérent en règle pourra se porter candidat, qu’il siège dans les nouvelles instances ou pas.
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A la tribune Georges Colson plutôt satisfait du résultat s’est adressé, sans les nommer, à quelques déserteurs membres de sa famille d’origine, les producteurs. «Il faut qu’ils retrouvent au sein de notre maison la place qui leur appartient ». La démission d’une poignée de producteurs « majors » se serait tout de même traduite dans les chiffres par une baisse des cotisations de l’ordre € 40 000 sur un total de € 1 367 000.
L’heure est au prosélytisme. Pour mettre en place et assurer le fonctionnement des nouvelles instances, il semble utile de rappeler les adhérents démissionnaires et d’en séduire de nouveaux.
L’heure est au prosélytisme. Pour mettre en place et assurer le fonctionnement des nouvelles instances, il semble utile de rappeler les adhérents démissionnaires et d’en séduire de nouveaux.