A priori on pourrait se dire : en quoi ça me concerne ? A quoi on répondra qu'à partir du moment où une agence de voyage utilise un terminal GDS pour faire ses réservations, elle règle (logique) une prestation correspondant à un service.
Oui mais, la concurrence ayant les vertus que l'on connaît, certaines agences parviennent, grâce aux incentives accordées par les dits GDS, à "neutraliser" voire à métamorphoser la dépense en un avantage financier, substantiel même, pour certaines. Surtout dans les Réseaux. Mais comme il ne faut pas abuser des bonnes choses, il est est à parier que cela ne durera pas très longtemps...
En effet, par une sorte de jeu de chaises musicales, les Compagnies aériennes qui veulent profiter de l'aubaine pour réduire significativement leur "fees", vont faire, indirectement, reporter sur le Réseau ces frais.
Pour y parvenir, un certain nombre a mis en place des sites internet permettant aux agences de réserver directement. D'autres comme Northwest, biaisent carrément les cartes, en pénalisant les billets achetés par les passagers en dehors de leur site (et dans une agence).
La resa d'un billet, parcours du combattant
Bien entendu, on pourrait arguer qu'à partir du moment où l'on peut faire ses resa sur un support informatique, qu'il soit ou non, un GDS, peu importe. Mais ce serait aller un peu vite en besogne.
Imaginez que demain ces sites se multiplient. La réservation d'un billet pourrait aller se transformer rapidement en parcours du combattant, avec l'obligation pour les agents de faire du "porte à porte" sur chaque site pour trouver le meilleur tarif.
Impensable ? C'est pourtant déjà le cas aujourd'hui pour les sites BtoB des tour opérateurs, même si cela n'induit pas les mêmes conséquences.
Il est difficile d'anticiper sur l'évolution du marché, même si aux Etats Unis, les jeux semblent d'ores et déjà bien avancés. Mais si l'on veut éviter que dans cette redistribution des cartes les atouts n'échoient exclusivement entre les mains des opérateurs aériens, il faut prendre date pour "limiter les dégâts".
S'il l'on peut difficilement imaginer la disparition d'un outil comme les GDS, encore faut-il que ce ne soit pas à n'importe quel prix et pas toujours aux mêmes de régler la "douloureuse".
Oui mais, la concurrence ayant les vertus que l'on connaît, certaines agences parviennent, grâce aux incentives accordées par les dits GDS, à "neutraliser" voire à métamorphoser la dépense en un avantage financier, substantiel même, pour certaines. Surtout dans les Réseaux. Mais comme il ne faut pas abuser des bonnes choses, il est est à parier que cela ne durera pas très longtemps...
En effet, par une sorte de jeu de chaises musicales, les Compagnies aériennes qui veulent profiter de l'aubaine pour réduire significativement leur "fees", vont faire, indirectement, reporter sur le Réseau ces frais.
Pour y parvenir, un certain nombre a mis en place des sites internet permettant aux agences de réserver directement. D'autres comme Northwest, biaisent carrément les cartes, en pénalisant les billets achetés par les passagers en dehors de leur site (et dans une agence).
La resa d'un billet, parcours du combattant
Bien entendu, on pourrait arguer qu'à partir du moment où l'on peut faire ses resa sur un support informatique, qu'il soit ou non, un GDS, peu importe. Mais ce serait aller un peu vite en besogne.
Imaginez que demain ces sites se multiplient. La réservation d'un billet pourrait aller se transformer rapidement en parcours du combattant, avec l'obligation pour les agents de faire du "porte à porte" sur chaque site pour trouver le meilleur tarif.
Impensable ? C'est pourtant déjà le cas aujourd'hui pour les sites BtoB des tour opérateurs, même si cela n'induit pas les mêmes conséquences.
Il est difficile d'anticiper sur l'évolution du marché, même si aux Etats Unis, les jeux semblent d'ores et déjà bien avancés. Mais si l'on veut éviter que dans cette redistribution des cartes les atouts n'échoient exclusivement entre les mains des opérateurs aériens, il faut prendre date pour "limiter les dégâts".
S'il l'on peut difficilement imaginer la disparition d'un outil comme les GDS, encore faut-il que ce ne soit pas à n'importe quel prix et pas toujours aux mêmes de régler la "douloureuse".