Air France : un vol dérouté à la suite d'un malaise du pilote

AF695 entre Miami et CDG

Les 434 passagers du vol AF695, entre Miami et CDG, ont eu la mauvaise surprise de se voir déroutés vers Boston, lundi 1er avril 2013, après que le pilote ait fait un malaise. Ils sont finalement arrivés à destination avec près de 24 heures de retard.

Rédigé par La Rédaction le Lundi 8 Avril 2013

Lundi 1er avril 2013, le vol AF695, parti de Miami vers 18 heures pour rejoindre Paris-Charles de Gaulle, a du faire demi-tour pour se poser à Boston, en raison d'un malaise du pilote.

Selon des informations rapportées par le site crash-aerien.aero et Le Parisien, et confirmées par Air France, il aurait été pris de soudaines et violentes crampes à l'estomac. Suffisamment sérieuses pour renoncer à la traversée de l'Atlantique.

C'est ainsi que la co-pilote a dû prendre les commandes du Boeing 747-400 qui transportait 434 passagers. Il s'est posé à Boston-Logan à 21 heures. Sur place, les voyageurs ont été pris en charge par la compagnie, selon un porte-parole d'Air France.

Le vol est finalement reparti le lendemain à 15h45. Il est arrivé à destination, le 3 avril 2013 au matin avec un peu moins de 24 heures de retard.

Le transporteur indique que les passagers vont tous être contactés pour leur offrir un dédommagement commercial.

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Commentaires

1.Posté par Marc le 08/04/2013 23:34 | Alerter

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Dommage de l'orientation de l'article "vol dérouté", "malaise du pilote", "mauvaise surprise".

J'interviens souvent "contre" Air France pour diverses raisons, toujours avec des chiffres et des faits, mais ici je pense bien que l'attitude du pilote doit être soulignée comme raisonnée et responsable.
Cela peut arriver à n'importe quel être humain d'éprouver un souci de santé et le reconnaître à temps a permis ici de "sécuriser" le vol pour les 431 passagers ... il est vrai avec un retard de 24h à l'arrivée.

La carte "prudence" a été jouée et cela est une attitude tout à fait louable pour le pilote.

Quand on pense que certains prennent les commandes pour un vol Trans-Atlantique en ayant dormi une heure ou à peine plus pendant leur escale de repos, cela est rassurant de voir qu'il reste des pilotes "responsables" de leurs actes qui reconnaissent leur incapacité à assurer un vol en toute sécurité.

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