Après l’arrivée de Gilles Gosselin en provenance de Corsair au début de l’année, voici maintenant Anne-Sophie Bonnet, toujours en provenance de Corsair, qui va prendre l’animation commerciale et les relations avec les tour-opérateurs.
Un changement qui se passe dans un climat serein puisque la destination n’a jamais aussi bien marché. « Nous avons enregistré un léger fléchissement l’année dernière probablement du à l’effet chikungunya même si les Seychelles n’étaient pas directement touchées par la maladie mais les ventes BSP de janvier et février affichent des taux de croissance à deux chiffres », explique Gilles Gosselin.
Et les engagements de réservation sur les prochains mois laissent à penser qu’il n’y aura pas la moindre promotion tarifaire avant le mois de septembre… A quoi tient le succès de la destination ? Pour le nouveau patron France, l’animation commerciale de l’Office de tourisme seychellois y est pour quelque chose.
Un changement qui se passe dans un climat serein puisque la destination n’a jamais aussi bien marché. « Nous avons enregistré un léger fléchissement l’année dernière probablement du à l’effet chikungunya même si les Seychelles n’étaient pas directement touchées par la maladie mais les ventes BSP de janvier et février affichent des taux de croissance à deux chiffres », explique Gilles Gosselin.
Et les engagements de réservation sur les prochains mois laissent à penser qu’il n’y aura pas la moindre promotion tarifaire avant le mois de septembre… A quoi tient le succès de la destination ? Pour le nouveau patron France, l’animation commerciale de l’Office de tourisme seychellois y est pour quelque chose.

Taux de remplissage record pour la classe Pearl
Mais aussi, les Seychelles gardent un côté très exclusif au moment où la concurrente et voisine Maurice tend à se démocratiser.
Cette recherche de l’exclusif se retrouve dans le taux de remplissage record de la classe Pearl, la classe Affaires d’Air Seychelles qui fonctionne avec un remplissage moyen dépassant les 80 %.
Pourtant le fond de l’avion n’est pas en reste. Si les ventes TO représentent la majorité des sièges occupés, les clients vols secs et les marins cherchant à rejoindre le port très actif de Victoria font le reste.
Le succès n’empêche pas pour autant la vigileance commerciale. Ainsi, pour rapprocher son produit à bord de celui d’Air France, son partenaire de joint venture, Air Seychelles introduira un nouveau siège en classe Pearl en juin prochain.
« Air France nous fournit les prestations de catering et de divertissement, mais nous sommes autonomes pour la politique commerciale », précise Gilles Gosselin. Les tarifs de la compagnies seychelloise seraient ainsi légèrement inférieurs à ceux d’Air France. Pour une poignée d’euros…
Nouveaux avions
Deux Twin-Otter 400 (d’une capacité de vingt sièges) vont prochainement rejoindre la flotte des « coucous » (trois Twin et deux Short 60) qui assurent les parcours inter-îles. A plus long terme, ce sont les avions long courrier qui seront remplacés. En 2010, la compagnie devrait recevoir deux Boeing 787-800.
La gestion de la flotte est l’un des éléments économiques les plus importants pour la compagnie. « Nous avons un fonctionnement très anglo-saxon. Par exemple, même si nous avons une taille modeste, nous bénéficions d’une couverture pétrole efficace ».
Ce qui a permis à Air Seychelles d’afficher un bénéfice de 2,7 millions d’euros pour le dernier exercice. Une efficacité qui n’en cache pas moins le côté familial et chaleureux d’une entreprise de 700 employés. « Fly the créole spirit » dit son slogan. Chaud, chaud, Air Seychelles..
Mais aussi, les Seychelles gardent un côté très exclusif au moment où la concurrente et voisine Maurice tend à se démocratiser.
Cette recherche de l’exclusif se retrouve dans le taux de remplissage record de la classe Pearl, la classe Affaires d’Air Seychelles qui fonctionne avec un remplissage moyen dépassant les 80 %.
Pourtant le fond de l’avion n’est pas en reste. Si les ventes TO représentent la majorité des sièges occupés, les clients vols secs et les marins cherchant à rejoindre le port très actif de Victoria font le reste.
Le succès n’empêche pas pour autant la vigileance commerciale. Ainsi, pour rapprocher son produit à bord de celui d’Air France, son partenaire de joint venture, Air Seychelles introduira un nouveau siège en classe Pearl en juin prochain.
« Air France nous fournit les prestations de catering et de divertissement, mais nous sommes autonomes pour la politique commerciale », précise Gilles Gosselin. Les tarifs de la compagnies seychelloise seraient ainsi légèrement inférieurs à ceux d’Air France. Pour une poignée d’euros…
Nouveaux avions
Deux Twin-Otter 400 (d’une capacité de vingt sièges) vont prochainement rejoindre la flotte des « coucous » (trois Twin et deux Short 60) qui assurent les parcours inter-îles. A plus long terme, ce sont les avions long courrier qui seront remplacés. En 2010, la compagnie devrait recevoir deux Boeing 787-800.
La gestion de la flotte est l’un des éléments économiques les plus importants pour la compagnie. « Nous avons un fonctionnement très anglo-saxon. Par exemple, même si nous avons une taille modeste, nous bénéficions d’une couverture pétrole efficace ».
Ce qui a permis à Air Seychelles d’afficher un bénéfice de 2,7 millions d’euros pour le dernier exercice. Une efficacité qui n’en cache pas moins le côté familial et chaleureux d’une entreprise de 700 employés. « Fly the créole spirit » dit son slogan. Chaud, chaud, Air Seychelles..