Mercredi 20 mars 2013, l'Association française des Travel Managers (AFTM) a diffusé un communiqué de presse dans lequel elle explique prendre acte "des avancées proposées par la Commission européenne le 13 mars dernier, dans le cadre du règlement CE n° 261/2004". (Lire : Commission européenne : vers un rééquilibrage entre passagers et compagnies)
L'organisation estime qu'il répondent aux attentes des voyageurs. Mais elle regrette que les spécificités du touriste d'affaires soient "insuffisamment prises en compte dans cette nouvelle série de mesures."
L'AFTM attire donc l'attention de la Commission européenne et demande des indemnisations mieux calibrées en cas de retard important, d'annulation ou de refus d'embarquement, le versement d'indemnités directement à l'acheteur, un droit d'embarquement étendu aux vols en correspondance et la prise en charge limitée à trois nuitées.
Sur ce dernier point, l'Association affirme que le plafond fixé à 100 euros maximum par nuité "ne prend pas en compte la réalité du marché hôtelier dans certaines villes et revient à transférer indûment sur le voyageurs d'affaires, et donc sur l'entreprise, l'aléa financier lié à la politique commerciale des établissements hôteliers."
Elle demande, par conséquent, à la Commission européenne de supprimer ce plafond.
L'organisation estime qu'il répondent aux attentes des voyageurs. Mais elle regrette que les spécificités du touriste d'affaires soient "insuffisamment prises en compte dans cette nouvelle série de mesures."
L'AFTM attire donc l'attention de la Commission européenne et demande des indemnisations mieux calibrées en cas de retard important, d'annulation ou de refus d'embarquement, le versement d'indemnités directement à l'acheteur, un droit d'embarquement étendu aux vols en correspondance et la prise en charge limitée à trois nuitées.
Sur ce dernier point, l'Association affirme que le plafond fixé à 100 euros maximum par nuité "ne prend pas en compte la réalité du marché hôtelier dans certaines villes et revient à transférer indûment sur le voyageurs d'affaires, et donc sur l'entreprise, l'aléa financier lié à la politique commerciale des établissements hôteliers."
Elle demande, par conséquent, à la Commission européenne de supprimer ce plafond.