
Croisières en Islande : il y aura moins d'escales cette année à Akuyeri, la "capitale du Nord" de l'Islande. @DepositPhotos.Com - surangastock
Le Commandant Charcot a ouvert la saison des croisières en accostant à Reykjavik cette semaine.
Propulsé au gaz naturel liquéfié, ce navire de la compagnie française Ponant incarne une nouvelle génération plus verte, saluée localement pour son faible impact environnemental. Mais derrière cette escale inaugurale, le climat est électrique.
L’arrivée saluée du Commandant Charcot, (Ponant), qui a ouvert le bal ce weekend des croisières en Islande pour mettre le cap sur le Groenland, s’est faite en effet dans un contexte tendu.
Depuis le 1er janvier, l’Islande impose une Infrastructure Fee de 2.500 ISK (environ 17 euros) par passager et par nuit passée dans ses ports.
Propulsé au gaz naturel liquéfié, ce navire de la compagnie française Ponant incarne une nouvelle génération plus verte, saluée localement pour son faible impact environnemental. Mais derrière cette escale inaugurale, le climat est électrique.
L’arrivée saluée du Commandant Charcot, (Ponant), qui a ouvert le bal ce weekend des croisières en Islande pour mettre le cap sur le Groenland, s’est faite en effet dans un contexte tendu.
Depuis le 1er janvier, l’Islande impose une Infrastructure Fee de 2.500 ISK (environ 17 euros) par passager et par nuit passée dans ses ports.
Croisières en Islande : le pays a imposé une taxe
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Une mesure rétroactive qui provoque une vague d’annulations : plus de 80 escales déjà perdues, selon Island Review, dont 44 à Akureyri, la "capitale du Nord", située au fond d’un fjord spectaculaire.
"Un navire pourrait débourser 440 millions ISK sur une saison", alerte l’association Cruise Iceland, appuyée par la CLIA.
Le manque de prévisibilité fiscale devient aussi préoccupant pour une industrie qui planifie ses itinéraires des années à l’avance. Un couple en croisière autour de l’île doit désormais débourser jusqu’à 40.000 ISK supplémentaires – une somme impossible à anticiper sur des voyages souvent réservés deux ans plus tôt.
La prochaine escale est prévue le 1er mai, avec l’arrivée du Norwegian Pearl.
"Un navire pourrait débourser 440 millions ISK sur une saison", alerte l’association Cruise Iceland, appuyée par la CLIA.
Le manque de prévisibilité fiscale devient aussi préoccupant pour une industrie qui planifie ses itinéraires des années à l’avance. Un couple en croisière autour de l’île doit désormais débourser jusqu’à 40.000 ISK supplémentaires – une somme impossible à anticiper sur des voyages souvent réservés deux ans plus tôt.
La prochaine escale est prévue le 1er mai, avec l’arrivée du Norwegian Pearl.