
La taxe vise à financer les infrastructures locales, particulièrement mises à rude épreuve dans les Cyclades, comme à Santorin @www.deposit-photos.com
Les croisiéristes devront désormais payer pour descendre à terre en Grèce. Entrée en vigueur ce lundi, la nouvelle “cruise fee” instaurée par le gouvernement s’applique à l’ensemble des ports du pays. Son montant varie en fonction de la période de l’année, et surtout du port d’escale : les îles les plus populaires sont les plus chères.
Entre le 1er juin et le 30 septembre, en pleine saison touristique, les passagers débarquant à Mykonos ou à Santorin paieront 20 euros par personne, contre 5 euros dans les autres ports grecs. Ce tarif s’applique à tous les passagers, adultes comme enfants, quel que soit le statut du port (escale ou tête de ligne), et hors TVA.
En intersaison (avril-mai et octobre), la taxe tombe à 12 euros pour Mykonos et Santorin, et 3 euros pour les autres escales. En basse saison (de novembre à mars), elle est réduite à 4 euros pour les deux îles vedettes, et 1 euro ailleurs.
Entre le 1er juin et le 30 septembre, en pleine saison touristique, les passagers débarquant à Mykonos ou à Santorin paieront 20 euros par personne, contre 5 euros dans les autres ports grecs. Ce tarif s’applique à tous les passagers, adultes comme enfants, quel que soit le statut du port (escale ou tête de ligne), et hors TVA.
En intersaison (avril-mai et octobre), la taxe tombe à 12 euros pour Mykonos et Santorin, et 3 euros pour les autres escales. En basse saison (de novembre à mars), elle est réduite à 4 euros pour les deux îles vedettes, et 1 euro ailleurs.
La taxe de débarquement, une "redevance de tourisme durable"
Autres articles
-
Alpes-Maritimes : le préfet veut imposer des quotas pour les navires de croisière
-
Exploris : "Il y a des échanges avec des investisseurs, rien n'est finalisé" [ABO]
-
Toujours plus prisée, la Grèce régule son tourisme
-
Cruisepro veut élargir l’horizon du marché français de la croisière
-
Ponant Explorations à la rencontre des agences en France et en Europe
Officiellement désignée comme “redevance de tourisme durable”, cette taxe vise à limiter le surtourisme et à financer les infrastructures locales, particulièrement mises à rude épreuve dans les Cyclades. L'an dernier, Mykonos à elle seule a accueilli 1,29 million de croisiéristes répartis sur 768 escales, selon l’Association des ports helléniques.
Le paiement est à la charge des compagnies de croisières, agents maritimes ou opérateurs locaux, via une plateforme numérique dédiée. En cas de non-paiement, les autorités portuaires pourront interdire de nouvelles escales ou débarquements.
Seuls les débarquements pour raisons médicales et les membres d’équipage sont exemptés.
Le paiement est à la charge des compagnies de croisières, agents maritimes ou opérateurs locaux, via une plateforme numérique dédiée. En cas de non-paiement, les autorités portuaires pourront interdire de nouvelles escales ou débarquements.
Seuls les débarquements pour raisons médicales et les membres d’équipage sont exemptés.