Le 21 mars 2013, Marie-Christine Dignac, une Tarn-et-Garonnaise de 55 ans, perdait la vie au cours d'une croisière sur le Nil.
Embarquée à bord du navire « Le Beau Rivage » affrété par Marmara, qui remontait le Nil sans escale en 24 heures entre Assouan et Louxor, elle a été prise de vomissements.
Dans un état fébrile et malgré les massages cardiaques prodigués par son mari Jean-Luc et sa fille Elsa (tous deux diplômés de secourisme), elle est décédée le jeudi 21 mars "dans l'ambulance l'acheminant du débarcadère des navires de croisières à l'hôpital international de Louxor", comme le raconte le journal La Dépêche du Midi.
Embarquée à bord du navire « Le Beau Rivage » affrété par Marmara, qui remontait le Nil sans escale en 24 heures entre Assouan et Louxor, elle a été prise de vomissements.
Dans un état fébrile et malgré les massages cardiaques prodigués par son mari Jean-Luc et sa fille Elsa (tous deux diplômés de secourisme), elle est décédée le jeudi 21 mars "dans l'ambulance l'acheminant du débarcadère des navires de croisières à l'hôpital international de Louxor", comme le raconte le journal La Dépêche du Midi.
Quinze heures d'agonie
Autres articles
-
TUI France reporte la réouverture de ses clubs Marmara à la montagne
-
TUI France sort ses brochures clubs Marmara, Lookéa et circuits Nouvelles Frontières
-
Croisières : combien coûte un navire immobilisé pour cause de Covid-19 ?
-
Pullmantur : la compagnie pourrait-elle faire son retour ?
-
Royal Caribbean : embarquement à bord du Quantum of the Seas pour sa première croisière depuis le covid
Un décès tragique, d'autant plus qu'entre le début du malaise et le décès, il s'est écoulé une quinzaine d'heures.
Rapatrié en France, le corps a été transféré à l'institut médico-légal de Toulouse-Rangueil pour y être autopsié.
Selon le journal, on s'oriente "vers une explication du décès consécutif à une insuffisance cardiaque" qui aurait entraîné un oedème pulmonaire.
"La cause du décès semble s'expliquer par les complications nées du grand nombre d'heures passées sans soins et surtout la dégradation progressive de l'état de la victime".
La famille a "décidé de porter plainte en Egypte contre Marmara et contre le capitaine du bateau pour non-assistance à personne en danger", selon Le Figaro.fr.
Rapatrié en France, le corps a été transféré à l'institut médico-légal de Toulouse-Rangueil pour y être autopsié.
Selon le journal, on s'oriente "vers une explication du décès consécutif à une insuffisance cardiaque" qui aurait entraîné un oedème pulmonaire.
"La cause du décès semble s'expliquer par les complications nées du grand nombre d'heures passées sans soins et surtout la dégradation progressive de l'état de la victime".
La famille a "décidé de porter plainte en Egypte contre Marmara et contre le capitaine du bateau pour non-assistance à personne en danger", selon Le Figaro.fr.