"La loi sera appliquée en toute fermeté" à l'égard des opposants et syndicalistes auteurs des manifestations sociales dans la région de Sidi Bouzid, a averti dans une intervention télévisée, mardi 28 décembre, le chef de l'Etat tunisien.
Il a recommandé de veiller à "faire respecter la loi" et averti que celle-ci "sera appliquée en toute fermeté" à l'égard d'une "minorité d'extrémistes".
Ces manifestations qui ont pour fondement des revendications sociales face au chômage et à la précarité se sont poursuivies ces derniers jours à Tunis et dans plusieurs villes du pays, en signe de solidarité avec les populations de Sidi Bouzid.
Le chef de l'Etat tunisien a d'abord appelé "à faire respecter la loi et à dissuader tout éventuel dépassement, de manière à consacrer les attributs de la paix, de la quiétude et la sécurité".
Il a également mis l'accent sur la nécessité "d'accorder au volet social tout l'intérêt requis" et de "renforcer le dialogue avec la société civile".
Déclarant comprendre la situation des jeunes chômeurs, il a annoncé des mesures supplémentaires pour faire face au "difficile" problème du chômage, notant que plus de 80.000 diplômés de l'enseignement supérieur intègrent chaque année le marché de l'emploi.
Il a recommandé de veiller à "faire respecter la loi" et averti que celle-ci "sera appliquée en toute fermeté" à l'égard d'une "minorité d'extrémistes".
Ces manifestations qui ont pour fondement des revendications sociales face au chômage et à la précarité se sont poursuivies ces derniers jours à Tunis et dans plusieurs villes du pays, en signe de solidarité avec les populations de Sidi Bouzid.
Le chef de l'Etat tunisien a d'abord appelé "à faire respecter la loi et à dissuader tout éventuel dépassement, de manière à consacrer les attributs de la paix, de la quiétude et la sécurité".
Il a également mis l'accent sur la nécessité "d'accorder au volet social tout l'intérêt requis" et de "renforcer le dialogue avec la société civile".
Déclarant comprendre la situation des jeunes chômeurs, il a annoncé des mesures supplémentaires pour faire face au "difficile" problème du chômage, notant que plus de 80.000 diplômés de l'enseignement supérieur intègrent chaque année le marché de l'emploi.