
MalgrĂ© les projets Ă grande vitesse dâinterconnexion entre capitales europĂ©ennes, lâavion restera encore longtemps le seul moyen de connexion intercontinentale. Depositphotos.com Auteur vsurkov
Le constructeur aérien Airbus est sur un petit nuage.
Face à son concurrent américain Boeing qui patauge toujours un MAX 735 dans la semoule, il enchaßne les commandes et prend le large.
Le courant semble porteur, malgré les vaticinations des aprÚs-covidiens qui voulaient rogner les ailes au transport aérien.
Certes, le contexte actuel nâest pas favorable mais il ne semble pas devoir entamer la tendance lourde dâune industrie qui prĂ©voyait, il y a peu, de doubler la mise Ă lâhorizon 2037.
MalgrĂ© les projets Ă grande vitesse dâinterconnexion entre capitales europĂ©ennes, lâavion restera encore longtemps le seul moyen de connexion intercontinentale.
On comprend les dĂ©fenseurs de lâenvironnement qui veulent en finir avec ce moyen de transport polluant.
Face à son concurrent américain Boeing qui patauge toujours un MAX 735 dans la semoule, il enchaßne les commandes et prend le large.
Le courant semble porteur, malgré les vaticinations des aprÚs-covidiens qui voulaient rogner les ailes au transport aérien.
Certes, le contexte actuel nâest pas favorable mais il ne semble pas devoir entamer la tendance lourde dâune industrie qui prĂ©voyait, il y a peu, de doubler la mise Ă lâhorizon 2037.
MalgrĂ© les projets Ă grande vitesse dâinterconnexion entre capitales europĂ©ennes, lâavion restera encore longtemps le seul moyen de connexion intercontinentale.
On comprend les dĂ©fenseurs de lâenvironnement qui veulent en finir avec ce moyen de transport polluant.
Un appareil Ă©lectrique ou Ă lâhydrogĂšne ce n'est pas pour demain
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Mais il ne faut pas rĂȘver : on ne verra pas de sitĂŽt voler un appareil Ă©lectrique ou Ă lâhydrogĂšne, prĂ©tendent les spĂ©cialistes.
Pour ĂȘtre de plus en plus vertâŠueuse, lâindustrie Ă©voluera grĂące Ă des petits pas, des nouvelles technologies, de nouveaux matĂ©riaux et des appareils de moins en moins gourmands en kĂ©rosĂšne.
Airbus peut donc produire, vendre et dormir sur ses deux ailes.
On nâen jurerait pas pour BoeingâŠ