Pour le seul mois de juin, le trafic passager confirme une croissance solide et continue, enregistrée maintenant depuis 18 mois avec une hausse de 6,5 % par rapport à juin 2005. Avec seulement une hausse de 4,4 % de la capacité, le coefficient d’occupation a atteint 78,3 %, soit 1,5 point de plus par rapport à juin 2005. Les performances du fret sont plus décevantes avec une hausse seulement de 4,1 %, une baisse par rapport à la hausse de 5,1 % enregistrée en mai dernier.
« Le point crucial demeure le pétrole. Les prix sont proches du niveau record et nous attendons une facture pétrolière de l’ordre de 112 milliards de dollars avec un prix moyen de 66 dollars pour le baril de pétrole. L’instabilité grandissante du Moyen Orient ne plaide pas en faveur d’une baisse prochaine des prix.
La bonne nouvelle est que ni les prix extraordinaires du pétrole ni l’augmentation des taux d’intérêt ont eu d’impact négatif sur la demande », a déclaré Giovanni Bisignani, directeur général et chef de la direction de l’IATA.
Giovanni Bisignani a ajouté « Du point de vue des chiffres d’affaires, le contexte est solide. Ils ont augmenté de 10 % chaque année depuis les trois dernières années. Un management prudent des capacités s’est accompagné d’un coefficient d’occupation atteignant le niveau de 75 % pour le premier semestre de l’année. Toutefois, les compagnies aériennes finiront l’année avec des pertes de 3 milliards de dollars ».
« Le point crucial demeure le pétrole. Les prix sont proches du niveau record et nous attendons une facture pétrolière de l’ordre de 112 milliards de dollars avec un prix moyen de 66 dollars pour le baril de pétrole. L’instabilité grandissante du Moyen Orient ne plaide pas en faveur d’une baisse prochaine des prix.
La bonne nouvelle est que ni les prix extraordinaires du pétrole ni l’augmentation des taux d’intérêt ont eu d’impact négatif sur la demande », a déclaré Giovanni Bisignani, directeur général et chef de la direction de l’IATA.
Giovanni Bisignani a ajouté « Du point de vue des chiffres d’affaires, le contexte est solide. Ils ont augmenté de 10 % chaque année depuis les trois dernières années. Un management prudent des capacités s’est accompagné d’un coefficient d’occupation atteignant le niveau de 75 % pour le premier semestre de l’année. Toutefois, les compagnies aériennes finiront l’année avec des pertes de 3 milliards de dollars ».