Lionel Guérin - Photo DR
Et c'est plutôt une bonne nouvelle pour la compagnie.
Que l'on se rassure cependant, l'homme n'abandonne pas Hop (Hop, Hourra, désolé, mais c'est un toc), pour laquelle il a fortement œuvré.
Son bras droit, Philippe Micouleau aura désormais la charge de poursuivre l'édification de cette compagnie,
L'harmonisation sociale surtout…
Et lui-même pourra s'appuyer sur le pilier de la belle Hélène, le roc indestructible, fidèle parmi les fidèles.
J'ai pas franchement l'habitude de cirer les pompes. Mais à force d'observer, d'écouter, force est de constater que Lionel Guérin, c'est quand même le joker particulièrement efficace du patron d'Air France, Alexandre de Juniac.
Et que, dans la situation pour le moins tendue que traverse notre belle compagnie, particulièrement dans ses opérations court-courrier, Guérin est un atout. Capable de Guérir, le Guérin...
C'est vrai que le type est discret. Et que, sur le plan du transport aérien, c'est un vrai pro. Au cas où on l'aurait oublié, c'est un pilote, ingénieur, gestionnaire… et grand négociateur social. Ça peut servir !
Bon, d'accord, avec l'aide de son fidèle Kalie, le perroquet qui l'accompagne quasi tout le temps.
Et en plus, il est écolo, mais au bon sens du terme : pas un ayatollah intégriste. Un vrai, pour qui la terre et la nature sont des biens naturels qu'il faut soigner sans pour autant en faire une affaire de pouvoir politique.
Et là, c'est de la vraie écologie, même lorsque l'on participe au transport aérien.
Ne dit-il pas que "le transport aérien mondial émet autant de CO² que l'informatique" ! Soit seulement 3% des émissions dans le monde… Ça, s'est pour madame Hidalgo et ses frasques écolo-politiciennes.
Que l'on se rassure cependant, l'homme n'abandonne pas Hop (Hop, Hourra, désolé, mais c'est un toc), pour laquelle il a fortement œuvré.
Son bras droit, Philippe Micouleau aura désormais la charge de poursuivre l'édification de cette compagnie,
L'harmonisation sociale surtout…
Et lui-même pourra s'appuyer sur le pilier de la belle Hélène, le roc indestructible, fidèle parmi les fidèles.
J'ai pas franchement l'habitude de cirer les pompes. Mais à force d'observer, d'écouter, force est de constater que Lionel Guérin, c'est quand même le joker particulièrement efficace du patron d'Air France, Alexandre de Juniac.
Et que, dans la situation pour le moins tendue que traverse notre belle compagnie, particulièrement dans ses opérations court-courrier, Guérin est un atout. Capable de Guérir, le Guérin...
C'est vrai que le type est discret. Et que, sur le plan du transport aérien, c'est un vrai pro. Au cas où on l'aurait oublié, c'est un pilote, ingénieur, gestionnaire… et grand négociateur social. Ça peut servir !
Bon, d'accord, avec l'aide de son fidèle Kalie, le perroquet qui l'accompagne quasi tout le temps.
Et en plus, il est écolo, mais au bon sens du terme : pas un ayatollah intégriste. Un vrai, pour qui la terre et la nature sont des biens naturels qu'il faut soigner sans pour autant en faire une affaire de pouvoir politique.
Et là, c'est de la vraie écologie, même lorsque l'on participe au transport aérien.
Ne dit-il pas que "le transport aérien mondial émet autant de CO² que l'informatique" ! Soit seulement 3% des émissions dans le monde… Ça, s'est pour madame Hidalgo et ses frasques écolo-politiciennes.
Bon, en revanche, il va avoir un sacré boulot, le Guérin.
Parce que, le court-courrier d'Air France, c'est loin d'être gagné.
L'héritage laissé par cet inénarrable Gourgeon va être difficile à traiter.
Entre les low cost de plus en plus envahissantes, l'offensive grandissante du TGV en France, les dissensions sociales inhérentes à la compagnie… et les bases de province.
Il ne cache pas, l'œil malin, que ces fameuses "bases de province", c'est un échec. Retentissant (ndlr).
Pour le moment, car, éternel optimiste, il a visiblement des idées. Et réfute en même temps l'amalgame sur toutes ces bases.
Certaines, explique-t-il, sont en sureffectif certain. Mais d'autres commencent à faire preuve de leur efficacité.
Et le principe de la navette est bon. Reste quand même à fournir, enfin, à nos passagers ce qu'ils attendent vraiment : des avions à l'heure, une véritable facilité à le prendre, sans toutes ces contraintes pénibles et dévoreuses de temps.
Principalement sur Paris, d'ailleurs, ce qui pénalise fortement la pratique de l'aéroplane, face au train. Là, Lionel Guérin aura quand même fort à faire, même en proposant des tarifs compétitifs face à la SNCF !
Néanmoins, pour lui, le problème des bases de province n'est pas insoluble, loin de là. Il veut, comme à son habitude, intégrer les personnels à ses propres visions et, surtout, leur inculquer un véritable esprit d'entreprise, comme il l'avait, en son temps, fait pour airlinair et, depuis deux ans, pour Hop !.
En fait, il ne refuse pas que les salariés puissent être basés en province, bien au contraire, mais je veux leur donner le véritable "esprit Hop".
Esprit que j'ai eu l'occasion de rencontrer plusieurs fois cette année, malgré le tarif prohibitif du bagage en soute…
Un sacré pari pour celui qui aurait pu être Président d'Air France… Mais qui n'avait peut-être pas le poids politique.
Dommage ? L'avenir le dira surement…
Parce que, le court-courrier d'Air France, c'est loin d'être gagné.
L'héritage laissé par cet inénarrable Gourgeon va être difficile à traiter.
Entre les low cost de plus en plus envahissantes, l'offensive grandissante du TGV en France, les dissensions sociales inhérentes à la compagnie… et les bases de province.
Il ne cache pas, l'œil malin, que ces fameuses "bases de province", c'est un échec. Retentissant (ndlr).
Pour le moment, car, éternel optimiste, il a visiblement des idées. Et réfute en même temps l'amalgame sur toutes ces bases.
Certaines, explique-t-il, sont en sureffectif certain. Mais d'autres commencent à faire preuve de leur efficacité.
Et le principe de la navette est bon. Reste quand même à fournir, enfin, à nos passagers ce qu'ils attendent vraiment : des avions à l'heure, une véritable facilité à le prendre, sans toutes ces contraintes pénibles et dévoreuses de temps.
Principalement sur Paris, d'ailleurs, ce qui pénalise fortement la pratique de l'aéroplane, face au train. Là, Lionel Guérin aura quand même fort à faire, même en proposant des tarifs compétitifs face à la SNCF !
Néanmoins, pour lui, le problème des bases de province n'est pas insoluble, loin de là. Il veut, comme à son habitude, intégrer les personnels à ses propres visions et, surtout, leur inculquer un véritable esprit d'entreprise, comme il l'avait, en son temps, fait pour airlinair et, depuis deux ans, pour Hop !.
En fait, il ne refuse pas que les salariés puissent être basés en province, bien au contraire, mais je veux leur donner le véritable "esprit Hop".
Esprit que j'ai eu l'occasion de rencontrer plusieurs fois cette année, malgré le tarif prohibitif du bagage en soute…
Un sacré pari pour celui qui aurait pu être Président d'Air France… Mais qui n'avait peut-être pas le poids politique.
Dommage ? L'avenir le dira surement…
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