De bonnes raisons d’attendre
Depuis au moins cinq ans, et de façon plus prononcée depuis la crise économique de 2008-2009, le calendrier de réservation des entreprises touristiques a rétréci considérablement.
Plutôt que de réserver sa chambre d’hôtel des mois à l’avance, comme par le passé, le consommateur d’aujourd’hui attend souvent à la toute dernière minute pour procéder à la réservation, parfois même une fois rendu devant l’établissement, à partir de son appareil mobile. Les raisons qui incitent à un tel comportement sont nombreuses.
En voici quelques-unes.
* La multiplication des courts séjours entraîne une plus grande flexibilité quant aux dates.
* La réservation en ligne est accessible et rapide, surtout combinée à la technologie mobile.
* En période d’incertitude économique, les consommateurs:
o craignent pour leur emploi;
o appréhendent la faillite des compagnies aériennes;
o ne savent pas à l’avance s’ils pourront prendre des vacances et quelles en seront les dates.
* L’offre des promotions de dernière minute étant devenue imposante, les gens attendent pour profiter de ces bas tarifs.
Les offres de dernière minute permettent aux entreprises d’écouler les invendus. Mais le phénomène gagne en popularité et occupe une place grandissante dans le marché du voyage.
Les agences en ligne comme Expedia ont leur section «dernière minute», tout comme certains hôtels et certaines compagnies aériennes.
Les agences «opaques», comme Priceline et Hotwire, qui ne divulguent le nom du fournisseur qu’une fois la transaction complétée, favorisent aussi les ventes de dernière minute et ont beaucoup de succès.
L’agence Lastminute.com, quant à elle, offre désormais des forfaits de dernière… seconde!
On peut aussi se demander si les comportements de réservation des voyageurs plus jeunes, comme ceux des générations X et Y, à la recherche de liberté et plus restreints dans le temps que les baby-boomers en fin de carrière ou à la retraite, y sont pour quelque chose.
C’est, du moins, ce que suppose Dori Saltzman de Travel Market Report.com.
Plutôt que de réserver sa chambre d’hôtel des mois à l’avance, comme par le passé, le consommateur d’aujourd’hui attend souvent à la toute dernière minute pour procéder à la réservation, parfois même une fois rendu devant l’établissement, à partir de son appareil mobile. Les raisons qui incitent à un tel comportement sont nombreuses.
En voici quelques-unes.
* La multiplication des courts séjours entraîne une plus grande flexibilité quant aux dates.
* La réservation en ligne est accessible et rapide, surtout combinée à la technologie mobile.
* En période d’incertitude économique, les consommateurs:
o craignent pour leur emploi;
o appréhendent la faillite des compagnies aériennes;
o ne savent pas à l’avance s’ils pourront prendre des vacances et quelles en seront les dates.
* L’offre des promotions de dernière minute étant devenue imposante, les gens attendent pour profiter de ces bas tarifs.
Les offres de dernière minute permettent aux entreprises d’écouler les invendus. Mais le phénomène gagne en popularité et occupe une place grandissante dans le marché du voyage.
Les agences en ligne comme Expedia ont leur section «dernière minute», tout comme certains hôtels et certaines compagnies aériennes.
Les agences «opaques», comme Priceline et Hotwire, qui ne divulguent le nom du fournisseur qu’une fois la transaction complétée, favorisent aussi les ventes de dernière minute et ont beaucoup de succès.
L’agence Lastminute.com, quant à elle, offre désormais des forfaits de dernière… seconde!
On peut aussi se demander si les comportements de réservation des voyageurs plus jeunes, comme ceux des générations X et Y, à la recherche de liberté et plus restreints dans le temps que les baby-boomers en fin de carrière ou à la retraite, y sont pour quelque chose.
C’est, du moins, ce que suppose Dori Saltzman de Travel Market Report.com.