J'ai toujours beaucoup de mal à croire aux promesses des politiques. Il paraît qu'elles n'engagent que ceux qui les croient...
Cette fois-ci cependant, j'ai un à priori favorable mais... pragmatique : quel gouvernement pourrait se mettre à dos 50 000 salariés (et autant d'électeurs) qui vivent du tourisme ? Poser la question c'est y répondre.
Par ailleurs, point trop n'en faut : les professionnels du tourisme dont l'activité n'était déjà pas florissante se voient imposer un nouveau business model au plus mauvais moment. On a beau savoir rebondir... il y a des limites à la souplesse !
Et si on ne veut pas casser complètement un secteur économique, il va bien falloir mettre de l'huile dans les rouages.
A l'heure où les banquiers dépouillés par Madoff n'ont plus que la bourse (plate) pour pleurer, Oséo représente le dernier espoir pour des professionnels en quête d'espèces sonnantes et trébuchantes (pas trop quand même...)
Cette fois-ci cependant, j'ai un à priori favorable mais... pragmatique : quel gouvernement pourrait se mettre à dos 50 000 salariés (et autant d'électeurs) qui vivent du tourisme ? Poser la question c'est y répondre.
Par ailleurs, point trop n'en faut : les professionnels du tourisme dont l'activité n'était déjà pas florissante se voient imposer un nouveau business model au plus mauvais moment. On a beau savoir rebondir... il y a des limites à la souplesse !
Et si on ne veut pas casser complètement un secteur économique, il va bien falloir mettre de l'huile dans les rouages.
A l'heure où les banquiers dépouillés par Madoff n'ont plus que la bourse (plate) pour pleurer, Oséo représente le dernier espoir pour des professionnels en quête d'espèces sonnantes et trébuchantes (pas trop quand même...)