
Vacances 2025 : les Français entre envie d’évasion et contraintes économiques - Photo : Depositphotos.com @Yumis
À l’approche de l’été 2025, une enquête IPSOS pour l’Alliance France Tourisme révèle que, malgré un contexte international et économique difficile, le désir de vacances reste fort chez les Français.
Si 63 % associent les congés à un besoin d’évasion et 61 % à la joie, les contraintes budgétaires sont notables.
Un Français sur quatre déclare qu’il ne partira pas, une tendance marquée chez les ruraux (31 %), les seniors (27 %) et les foyers modestes (32 %). Ceux qui partiront adapteront leur budget, en réduisant notamment les dépenses non essentielles.
Si 63 % associent les congés à un besoin d’évasion et 61 % à la joie, les contraintes budgétaires sont notables.
Un Français sur quatre déclare qu’il ne partira pas, une tendance marquée chez les ruraux (31 %), les seniors (27 %) et les foyers modestes (32 %). Ceux qui partiront adapteront leur budget, en réduisant notamment les dépenses non essentielles.
Des vacances sous le signe de l’adaptation économique
Si une majorité des Français prévoit de partir en vacances en 2025, les arbitrages financiers sont incontournables. Parmi ceux qui envisagent de partir pour au moins une semaine, 50 % sont certains de concrétiser leur projet, 27 % restent flexibles, et 23 % ont déjà renoncé.
Le budget moyen envisagé est de 1 820 €, mais 31 % prévoient de dépenser moins de 1 000 €, 33 % entre 1 000 € et 2 000 €, et seulement 16 % dépasseront 3 000 €. Face à l’inflation, 39 % des vacanciers prévoient de réduire leur budget, principalement en limitant les dépenses « plaisir » (70 %) ou en écourtant leurs séjours (30 %).
Les motivations principales pour partir restent le besoin d’air et d’évasion (63 %) et le plaisir de passer du temps en famille (40 %). Toutefois, 28 % expriment des inquiétudes budgétaires et 6 % mentionnent le stress lié à l’organisation des vacances. Les seniors et les foyers modestes sont particulièrement touchés par ces contraintes, réduisant leur capacité à voyager. Ces choix reflètent une tendance à la prudence et à l’ajustement face aux défis économiques actuels.
Le budget moyen envisagé est de 1 820 €, mais 31 % prévoient de dépenser moins de 1 000 €, 33 % entre 1 000 € et 2 000 €, et seulement 16 % dépasseront 3 000 €. Face à l’inflation, 39 % des vacanciers prévoient de réduire leur budget, principalement en limitant les dépenses « plaisir » (70 %) ou en écourtant leurs séjours (30 %).
Les motivations principales pour partir restent le besoin d’air et d’évasion (63 %) et le plaisir de passer du temps en famille (40 %). Toutefois, 28 % expriment des inquiétudes budgétaires et 6 % mentionnent le stress lié à l’organisation des vacances. Les seniors et les foyers modestes sont particulièrement touchés par ces contraintes, réduisant leur capacité à voyager. Ces choix reflètent une tendance à la prudence et à l’ajustement face aux défis économiques actuels.
Destinations, transports et nouvelles pratiques de voyage
En 2025, 68 % des Français choisiront la France pour leurs vacances, un choix encore plus marqué chez les 55-75 ans (74 %). L’Europe attire 26 % des vacanciers, surtout les 18-34 ans (34 %), tandis que 13 % prévoient de voyager hors Europe.
La voiture reste le mode de transport favori (61 %), en particulier pour les séjours en France (72 %). L’avion est privilégié pour les destinations européennes (55 %) et extra-européennes (90 %). Le train séduit 18 % des vacanciers, notamment les jeunes (28 % des 18-34 ans).
Côté hébergement, les locations saisonnières individuelles sont majoritaires (39 %), suivies par l’hôtel (26 %) et l’hébergement gratuit chez des proches (20 %). Le camping séduit encore 17 % des vacanciers pour les longs séjours.
De nouvelles tendances émergent : le "workation" intéresse 24 % des vacanciers, atteignant 45 % chez les jeunes adultes. Les mini-breaks gagnent aussi du terrain, surtout parmi les CSP+ et les hauts revenus. Les pratiques alternatives comme le Wwoofing attirent 26 % des jeunes, bien que l’échange de maisons et le Couchsurfing restent marginaux. Enfin, les principales préoccupations des vacanciers incluent la crainte des arnaques (73 %), les mauvaises conditions météorologiques (35 %) et les problèmes budgétaires (21 %).
La voiture reste le mode de transport favori (61 %), en particulier pour les séjours en France (72 %). L’avion est privilégié pour les destinations européennes (55 %) et extra-européennes (90 %). Le train séduit 18 % des vacanciers, notamment les jeunes (28 % des 18-34 ans).
Côté hébergement, les locations saisonnières individuelles sont majoritaires (39 %), suivies par l’hôtel (26 %) et l’hébergement gratuit chez des proches (20 %). Le camping séduit encore 17 % des vacanciers pour les longs séjours.
De nouvelles tendances émergent : le "workation" intéresse 24 % des vacanciers, atteignant 45 % chez les jeunes adultes. Les mini-breaks gagnent aussi du terrain, surtout parmi les CSP+ et les hauts revenus. Les pratiques alternatives comme le Wwoofing attirent 26 % des jeunes, bien que l’échange de maisons et le Couchsurfing restent marginaux. Enfin, les principales préoccupations des vacanciers incluent la crainte des arnaques (73 %), les mauvaises conditions météorologiques (35 %) et les problèmes budgétaires (21 %).