Messieurs,
Rapporter un évènement auquel on n'a pas assisté n'est jamais un exercice facile. L'adoption de 8 résolutions proposées par le Conseil d'Administration à l'Assemblée Générale s'est faite à l'unanimité (sans abstention).
Si des adhérents souhaitent intervenir, ils peuvent le faire (AFAT n'est pas une régime soviétique). D'ailleurs ils ne s'en sont pas privés lors de la proposition d'augmentation de la cotisation. Le débat a porté sur le choix à effectuer entre:
- la réduction, la stagnation ou la croissance des services fournis par le réseau
- le paiement de ces services à l'utilisation,
- le prélèvement opaque du coût des services sur les supercom
- le financement des services par la cotisation avec pour corollaire la "gratuité " de leur accessibilité.
La période d'incertitude qui s'annonce pour les agences de voyages a suscité un échange sur l'opportunité de procéder cette année à une augmentation sensible (bien qu'elle ne corresponde qu'à une progression linéaire de + 3,5% par an depuis 2000).
L'exercice du débat démocratique est-il tellement inhabituel dans nos métiers qu'il en paraisse totalement incongru à certains ?
Venons-en aux informations "erronées" :
1/ Si la convention de Budapest, victime de son succès (près de 500 participants contre 400 prévus) a bien été déficitaire, celle de Fès a dégagé un léger bénéfice. Par ailleurs, le déficit hongrois n'a jamais été utilisé comme prétexte pour justifier l'augmentation de la cotisation.
2/ Henry Bouche n'était pas "administrateur" mais membre du Conseil de Surveillance. Il a été remplacé par Benjamin Bonnet (Action Voyages Montpellier).
Enfin sur l'interprétation :
- Ce que vous qualifiez de "quasi vote de défiance" est à mon sens un exercice salutaire de démocratie.
- Vous laissez entendre que les "sujets qui fâchent" n'ont pas été abordés : L'AG s'est prolongée jusqu'à 19h30 par un échange "questions- réponses" au cours duquel tous les sujets ont pu être abordés, comme ce fut le cas, à Fès, lors d'une séance plénière à laquelle tu assistais.
Et pour tout dire, il n'existe pas plus de "sujets qui fâchent" que de pensée unique. L'expression de points de vue différents est pour moi une source d'enrichissement de la réflexion.
Jean-Pierre Mas
Rapporter un évènement auquel on n'a pas assisté n'est jamais un exercice facile. L'adoption de 8 résolutions proposées par le Conseil d'Administration à l'Assemblée Générale s'est faite à l'unanimité (sans abstention).
Si des adhérents souhaitent intervenir, ils peuvent le faire (AFAT n'est pas une régime soviétique). D'ailleurs ils ne s'en sont pas privés lors de la proposition d'augmentation de la cotisation. Le débat a porté sur le choix à effectuer entre:
- la réduction, la stagnation ou la croissance des services fournis par le réseau
- le paiement de ces services à l'utilisation,
- le prélèvement opaque du coût des services sur les supercom
- le financement des services par la cotisation avec pour corollaire la "gratuité " de leur accessibilité.
La période d'incertitude qui s'annonce pour les agences de voyages a suscité un échange sur l'opportunité de procéder cette année à une augmentation sensible (bien qu'elle ne corresponde qu'à une progression linéaire de + 3,5% par an depuis 2000).
L'exercice du débat démocratique est-il tellement inhabituel dans nos métiers qu'il en paraisse totalement incongru à certains ?
Venons-en aux informations "erronées" :
1/ Si la convention de Budapest, victime de son succès (près de 500 participants contre 400 prévus) a bien été déficitaire, celle de Fès a dégagé un léger bénéfice. Par ailleurs, le déficit hongrois n'a jamais été utilisé comme prétexte pour justifier l'augmentation de la cotisation.
2/ Henry Bouche n'était pas "administrateur" mais membre du Conseil de Surveillance. Il a été remplacé par Benjamin Bonnet (Action Voyages Montpellier).
Enfin sur l'interprétation :
- Ce que vous qualifiez de "quasi vote de défiance" est à mon sens un exercice salutaire de démocratie.
- Vous laissez entendre que les "sujets qui fâchent" n'ont pas été abordés : L'AG s'est prolongée jusqu'à 19h30 par un échange "questions- réponses" au cours duquel tous les sujets ont pu être abordés, comme ce fut le cas, à Fès, lors d'une séance plénière à laquelle tu assistais.
Et pour tout dire, il n'existe pas plus de "sujets qui fâchent" que de pensée unique. L'expression de points de vue différents est pour moi une source d'enrichissement de la réflexion.
Jean-Pierre Mas
