La CGT et FO ont appelé à une grève illimité depuis le 3 avril 2023 - Depositphotos.com Auteur IgorVetushko
L’intersyndicale CGT / FO a appelé à la grève illimité chez CWT France depuis le 3 avril 2023.
Les revendications portent sur les négociations annuelles obligatoires.
Dans un tract, les syndicats informent qu' "aucun budget ne serait alloué pour des augmentations de salaires générales (AG) ni individuelles (AI)".
Ils ajoutent également que "CWT paie en 2023 pour l’exercice 2022 les parts variables à ses managers et pour les autres RIEN !"
Lire aussi : Business travel : CWT annonce sa recapitalisation
"Il y a un contexte actuel qu'il faut prendre en compte avec l'inflation" rappelle Carole Lalanne, déléguée syndicale CGT. "Ce n'est plus tenable pour les salariés qui ont tenu leurs objectifs non rémunérés, et d'un autre côté nous avons une fin de non recevoir. Avec 10 à 15 ans d'ancienneté, les salaires sont en moyenne de 1400 à 1500 € net par mois".
Les revendications portent sur les négociations annuelles obligatoires.
Dans un tract, les syndicats informent qu' "aucun budget ne serait alloué pour des augmentations de salaires générales (AG) ni individuelles (AI)".
Ils ajoutent également que "CWT paie en 2023 pour l’exercice 2022 les parts variables à ses managers et pour les autres RIEN !"
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"Il y a un contexte actuel qu'il faut prendre en compte avec l'inflation" rappelle Carole Lalanne, déléguée syndicale CGT. "Ce n'est plus tenable pour les salariés qui ont tenu leurs objectifs non rémunérés, et d'un autre côté nous avons une fin de non recevoir. Avec 10 à 15 ans d'ancienneté, les salaires sont en moyenne de 1400 à 1500 € net par mois".
Pour rappel, CWT a changé d'actionnaires en 2021. Les "partenaires financiers" dont Barings LCC sont devenus les nouveaux propriétaires majoritaires de CWT.
Nous avons tenté de joindre la direction, et à l'heure où nous écrivons ces lignes, nous n'avons pas eu de réponse.
Nous avons tenté de joindre la direction, et à l'heure où nous écrivons ces lignes, nous n'avons pas eu de réponse.
Publié par Céline Eymery
