C’est un port qui construit des fleurons de l'industrie mais qui n’accueille que rarement des passagers en croisière.
Ce mercredi à Saint-Nazaire, l’Exploris One faisait exception. Pour marquer son seul départ depuis un port français en 2025, la jeune compagnie française avait convié une centaine de participants à bord : agents de voyages, institutionnels, partenaires financiers. Une façon de dire merci, mais aussi d’entretenir la flamme.
« Le port nous a fait une fleur », souligne Éric Lustman, directeur commercial et marketing d’Exploris, devant une salle occupée par une cinquantaine d’agents de voyages, quelques élus, actionnaires, assureurs et banquiers.
Sur scène, Philippe Videau, fondateur d’Exploris, reçoit des mains de son équipe un portrait encadré de « son » bateau.
Ce mercredi à Saint-Nazaire, l’Exploris One faisait exception. Pour marquer son seul départ depuis un port français en 2025, la jeune compagnie française avait convié une centaine de participants à bord : agents de voyages, institutionnels, partenaires financiers. Une façon de dire merci, mais aussi d’entretenir la flamme.
« Le port nous a fait une fleur », souligne Éric Lustman, directeur commercial et marketing d’Exploris, devant une salle occupée par une cinquantaine d’agents de voyages, quelques élus, actionnaires, assureurs et banquiers.
Sur scène, Philippe Videau, fondateur d’Exploris, reçoit des mains de son équipe un portrait encadré de « son » bateau.
Exploris One : encore des cabines à vendre pour les croisières Arctique 2025
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Avant son départ vers Dublin pour une croisière gastronomique qui se joue à guichets fermés, la deuxième du genre, cette escale symbolique aura permis aux vendeurs de redécouvrir le style de la maison : coque rouge rubis, ambiance francophone, excursions polaires en zodiac et gastronomie haut de gamme.
Un moment que certains avaient déjà vécu à Honfleur en 2023, pour la première édition de la croisière « Saveurs de l’Atlantique ».
« C’est maintenant qu’il faut vendre les croisières Arctique », insiste Corinne Renard, directrice des ventes. Quelques cabines restent disponibles, et de nombreux clients réservent à la dernière minute.
Car en 2026, Exploris réduira sa capacité sur l’Arctique, tout en conservant des itinéraires en Islande, au Groenland et au Spitzberg.
Un moment que certains avaient déjà vécu à Honfleur en 2023, pour la première édition de la croisière « Saveurs de l’Atlantique ».
« C’est maintenant qu’il faut vendre les croisières Arctique », insiste Corinne Renard, directrice des ventes. Quelques cabines restent disponibles, et de nombreux clients réservent à la dernière minute.
Car en 2026, Exploris réduira sa capacité sur l’Arctique, tout en conservant des itinéraires en Islande, au Groenland et au Spitzberg.
Pas de piscine mais une passerelle de commandement ouverte
D’ici là, la compagnie espère obtenir le pavillon français, qui viendrait concrétiser son positionnement francophone.
À bord, pas de piscine, mais une passerelle de commandement ouverte aux passagers, et des assiettes à la hauteur des promesses – à l'image de ce carpaccio de Saint-Jacques et caviar Prunier dégusté à Saint-Nazaire.
Avec ses 72 cabines (dont 12 suites) et une capacité ramenée à 120 passagers en régions polaires, l’Exploris One vise un luxe discret. « Nos meilleurs vendeurs, ce sont nos clients », souligne Éric Lustman, heureux de voir autant de repeaters embarquer sur cette croisière gourmande.
Prochaine étape pour Exploris : trouver un second bateau pour pouvoir jouer sur deux tableaux à la fois – affrètement d’un côté, ventes individuelles de l’autre.
À bord, pas de piscine, mais une passerelle de commandement ouverte aux passagers, et des assiettes à la hauteur des promesses – à l'image de ce carpaccio de Saint-Jacques et caviar Prunier dégusté à Saint-Nazaire.
Avec ses 72 cabines (dont 12 suites) et une capacité ramenée à 120 passagers en régions polaires, l’Exploris One vise un luxe discret. « Nos meilleurs vendeurs, ce sont nos clients », souligne Éric Lustman, heureux de voir autant de repeaters embarquer sur cette croisière gourmande.
Prochaine étape pour Exploris : trouver un second bateau pour pouvoir jouer sur deux tableaux à la fois – affrètement d’un côté, ventes individuelles de l’autre.