
La musique est plurielle. ĂclatĂ©e en de nombreux genres musicaux portant lâempreinte soit dâune Ă©poque, soit dâune gĂ©ographie, soit de lâĂ©volution de certains instruments, elle est Ă©galement soumise Ă des modes et des processus de rĂ©invention qui en font toute la richesse et la diversitĂ© - Depositphotos.com Auteur monkeybusiness
⊠Premier point : si les relations entre patrimoine architectural et tourisme sont indĂ©niables et constituent la base, voire le moteur du dĂ©placement touristique, la musique quel quâen soit le genre, ne peut en dire autant.
Et pourtant, Ă peu prĂšs toutes les Ă©tudes et enquĂȘtes rĂ©alisĂ©es sur la totalitĂ© ou une partie de la population confirment une vĂ©ritĂ© anthropologique : plus de 90% des hommes et femmes quel quâen soit lâĂąge, dĂ©clarent "aimer la musique".
Mieux, ils sont à peu prÚs autant à déclarer écouter quotidiennement de la musique. Une pratique amplifiée par le développement du numérique et des écrans.
Mais, la musique est plurielle. ĂclatĂ©e en de nombreux genres musicaux portant lâempreinte soit dâune Ă©poque, soit dâune gĂ©ographie, soit de lâĂ©volution de certains instruments, elle est Ă©galement soumise Ă des modes et des processus de rĂ©invention qui en font toute la richesse et la diversitĂ©.
De la musique sacrĂ©e Ă la musique Ă©lectro, toutes les Ă©poques et territoires ont produit des thĂšmes et rythmes musicaux ainsi que des chansons qui en sont devenus les porte-paroles dans le monde. Alors que lâopĂ©ra est typique de lâItalie, des pays plus rĂ©cents comme le BrĂ©sil ont enfantĂ© la samba tandis que la JamaĂŻque est devenue le royaume du reggae.
La France pour sa part reste une terre indiscutable de chansons que textes et mĂ©lodies apparentent Ă de la poĂ©sie tandis que le monde anglo saxon se confirme comme la scĂšne gĂ©niale du jazz, du rock, de la popâŠ
Et pourtant, Ă peu prĂšs toutes les Ă©tudes et enquĂȘtes rĂ©alisĂ©es sur la totalitĂ© ou une partie de la population confirment une vĂ©ritĂ© anthropologique : plus de 90% des hommes et femmes quel quâen soit lâĂąge, dĂ©clarent "aimer la musique".
Mieux, ils sont à peu prÚs autant à déclarer écouter quotidiennement de la musique. Une pratique amplifiée par le développement du numérique et des écrans.
Mais, la musique est plurielle. ĂclatĂ©e en de nombreux genres musicaux portant lâempreinte soit dâune Ă©poque, soit dâune gĂ©ographie, soit de lâĂ©volution de certains instruments, elle est Ă©galement soumise Ă des modes et des processus de rĂ©invention qui en font toute la richesse et la diversitĂ©.
De la musique sacrĂ©e Ă la musique Ă©lectro, toutes les Ă©poques et territoires ont produit des thĂšmes et rythmes musicaux ainsi que des chansons qui en sont devenus les porte-paroles dans le monde. Alors que lâopĂ©ra est typique de lâItalie, des pays plus rĂ©cents comme le BrĂ©sil ont enfantĂ© la samba tandis que la JamaĂŻque est devenue le royaume du reggae.
La France pour sa part reste une terre indiscutable de chansons que textes et mĂ©lodies apparentent Ă de la poĂ©sie tandis que le monde anglo saxon se confirme comme la scĂšne gĂ©niale du jazz, du rock, de la popâŠ
La musique stimule, soigne...

Ăvidemment, sans la danse, son complĂ©ment indispensable et indissociable, la musique nâest rien ou presque !
Se complĂ©tant harmonieusement, les deux genres amplifient Ă lâextrĂȘme leurs influences culturelles et Ă©conomiques sur la sociĂ©tĂ© contemporaine.
Sans oublier leur extraordinaire influence sur le cerveau humain aujourdâhui dĂ©montrĂ©e par les recherches des laboratoires de neurosciences.
Combinée ou non à la danse, la musique dispose à la fois de vertus curatives, éducatives, cognitives⊠Elle stimule, elle soigne, elle ravive les souvenirs, elle aide parfois à retrouver la parole.
Un langage universel
De plus, les thÚmes et rythmes musicaux jouent un rÎle considérable sur les humeurs. Ils rendent joyeux ou au contraire incitent à la mélancolie.
Un constat dâautant plus vrai que selon de nombreuses Ă©tudes, toutes les cultures sont influencĂ©es de façon comparable par lâĂ©coute musicale. Ce qui fait de la musique un langage universel, le seul que lâhumanitĂ© tout entiĂšre est capable de partager.
Le seul qui lui permette de communiquer. Le seul qui dĂ©clenche des Ă©motions comparables dâun bout Ă lâautre de la terre.
Câest dire Ă quel point lâexploitation plus intensive de la musique peut se rĂ©vĂ©ler rentable pour le secteur touristique, par dĂ©finition international. Nul besoin de sous titrage !
Un constat dâautant plus vrai que selon de nombreuses Ă©tudes, toutes les cultures sont influencĂ©es de façon comparable par lâĂ©coute musicale. Ce qui fait de la musique un langage universel, le seul que lâhumanitĂ© tout entiĂšre est capable de partager.
Le seul qui lui permette de communiquer. Le seul qui dĂ©clenche des Ă©motions comparables dâun bout Ă lâautre de la terre.
Câest dire Ă quel point lâexploitation plus intensive de la musique peut se rĂ©vĂ©ler rentable pour le secteur touristique, par dĂ©finition international. Nul besoin de sous titrage !
Un public pluriel
Plurielle, la musique dispose tout naturellement de publics pluriels qui, toutes générations confondues, se segmentent entre spécialistes, amateurs actifs et amateurs passifs.
Une catĂ©gorisation grossiĂšre, loin de reflĂ©ter les multiples sous segmentations nĂ©cessaires Ă lâĂ©dification dâune typologie exhaustive des publics musicaux, mais bien suffisante Ă lâĂ©laboration dâune typologie de publics touristiques.
Lesquels consomment soit accessoirement de la musique au cours de leurs circuits et séjours touristiques et vacances, soit font de cette consommation le but principal de leurs déplacements.
Entre les deux extrĂȘmes, des nuances selon les Ăąges, les nationalitĂ©s, les budgets, les habitus culturels et gĂ©nĂ©rationnels. Mais, cette sous segmentation pointilleuse nâest pas le but de notre recherche. Elle nĂ©cessiterait trop dâenquĂȘtes dâensemble trop lourdes Ă rĂ©aliserâŠ
Une catĂ©gorisation grossiĂšre, loin de reflĂ©ter les multiples sous segmentations nĂ©cessaires Ă lâĂ©dification dâune typologie exhaustive des publics musicaux, mais bien suffisante Ă lâĂ©laboration dâune typologie de publics touristiques.
Lesquels consomment soit accessoirement de la musique au cours de leurs circuits et séjours touristiques et vacances, soit font de cette consommation le but principal de leurs déplacements.
Entre les deux extrĂȘmes, des nuances selon les Ăąges, les nationalitĂ©s, les budgets, les habitus culturels et gĂ©nĂ©rationnels. Mais, cette sous segmentation pointilleuse nâest pas le but de notre recherche. Elle nĂ©cessiterait trop dâenquĂȘtes dâensemble trop lourdes Ă rĂ©aliserâŠ
Pour une définition du touriste musical
Le touriste musical nâest en fait dans la majoritĂ© des cas quâun amateur de musique doublĂ© dâun consommateur de voyages ou de dĂ©placements de courte durĂ©e, impliquant au moins une nuit hors de son domicile.
Impossible à quantifier, il est probablement trÚs présent dans les rangs des touristes internationaux et nationaux qui sillonnent la planÚte et leur territoires nationaux.
Et, il est probablement dâautant plus nombreux que lâoffre musicale a considĂ©rablement augmentĂ©, sous la forme de festivals, fĂȘtes populaires, concerts gĂ©ants, musĂ©es, lieux de mĂ©moire, expositions, mises en valeur de quartiers entiers tandis que lâespace public sâest laissĂ© coloniser dans certaines villes et pays, par des musiciens et chanteurs amateurs, le transformant en une immense scĂšne.
Impossible à quantifier, il est probablement trÚs présent dans les rangs des touristes internationaux et nationaux qui sillonnent la planÚte et leur territoires nationaux.
Et, il est probablement dâautant plus nombreux que lâoffre musicale a considĂ©rablement augmentĂ©, sous la forme de festivals, fĂȘtes populaires, concerts gĂ©ants, musĂ©es, lieux de mĂ©moire, expositions, mises en valeur de quartiers entiers tandis que lâespace public sâest laissĂ© coloniser dans certaines villes et pays, par des musiciens et chanteurs amateurs, le transformant en une immense scĂšne.
Un tourisme sourd aux vibrations sonores
Pour autant, et lĂ rĂ©side mon propos : lâoffre musicale ne semble pas toujours exploitĂ©e Ă la hauteur de la demande. Alors que quelques rares sites touristiques, villes, théùtres, lieux de mĂ©moire tirent une grande partie de leurs revenus des flux touristiques, dâautres peinent Ă transformer en tourisme leur patrimoine musical.
Pire ! Nombreux sont ceux qui le nĂ©gligent, plus occupĂ©s Ă mettre en tourisme des monuments historiques et religieux, des paysages et des expressions artistiques comme la peinture, la sculpture, lâarchitecture dâhier et dâaujourdâhui.
Comme si le tourisme culturel ne pouvait ĂȘtre gĂ©nĂ©rĂ© que par lâusage dâun sens, la vue, lâouĂŻe pour sa part est dĂ©laissĂ©e. Le son est sacrifiĂ© sur lâautel du spectacle visuel. La musique et ses multiples composantes comme la chanson, sont relĂ©guĂ©es au rang dâexpressions dâautant plus subalternes quâelles appartiennent Ă un prĂ©sent trop proche pour ĂȘtre sublimĂ©s par la consommation touristique.
Exploitant le goĂ»t immodĂ©rĂ© du passĂ© affichĂ© par notre Ă©poque, le tourisme dĂ©laisse souvent les expressions du prĂ©sent et de ce spectacle en perpĂ©tuel mouvement que constitue lâunivers musical actuel.
Certes, il se targue aujourdâhui de rĂ©pondre aux demandes expĂ©rientielles du "nouveau touriste" en lui proposant une palette de visites dĂ©couvertes offrant chacune Ă sa façon une rencontre avec la population, un semblant dâimmersion⊠Vaste bluff que ces prĂ©tendues "nouvelles" expĂ©riences gustatives, olfactives, visuelles⊠qui ont de tout temps constituĂ© lâessence du voyage et la principale motivation du voyageur !
MĂȘme constat concernant la lenteur. On veut faire passer pour une nouveautĂ© la demande de lenteur par opposition Ă la vitesse, lâaccĂ©lĂ©ration, lâurgence !
Imposture encore que cette prĂ©tendue nouvelle attente dâĂ©motion ressassĂ©e Ă lâenvi par des commentateurs superficiels, ignorants des grandes Ă©motions Ă©prouvĂ©es et Ă©voquĂ©es dans les Ă©crits de Rousseau, Chateaubriand, Stendhal, Flaubert puis Henry Miller, Allen Ginsberg, Paul Morand⊠et aujourdâhui par ces aventuriers hors normes que furent Nicolas Bouvier, quâest Sylvain Tesson !
Pire ! Nombreux sont ceux qui le nĂ©gligent, plus occupĂ©s Ă mettre en tourisme des monuments historiques et religieux, des paysages et des expressions artistiques comme la peinture, la sculpture, lâarchitecture dâhier et dâaujourdâhui.
Comme si le tourisme culturel ne pouvait ĂȘtre gĂ©nĂ©rĂ© que par lâusage dâun sens, la vue, lâouĂŻe pour sa part est dĂ©laissĂ©e. Le son est sacrifiĂ© sur lâautel du spectacle visuel. La musique et ses multiples composantes comme la chanson, sont relĂ©guĂ©es au rang dâexpressions dâautant plus subalternes quâelles appartiennent Ă un prĂ©sent trop proche pour ĂȘtre sublimĂ©s par la consommation touristique.
Exploitant le goĂ»t immodĂ©rĂ© du passĂ© affichĂ© par notre Ă©poque, le tourisme dĂ©laisse souvent les expressions du prĂ©sent et de ce spectacle en perpĂ©tuel mouvement que constitue lâunivers musical actuel.
Certes, il se targue aujourdâhui de rĂ©pondre aux demandes expĂ©rientielles du "nouveau touriste" en lui proposant une palette de visites dĂ©couvertes offrant chacune Ă sa façon une rencontre avec la population, un semblant dâimmersion⊠Vaste bluff que ces prĂ©tendues "nouvelles" expĂ©riences gustatives, olfactives, visuelles⊠qui ont de tout temps constituĂ© lâessence du voyage et la principale motivation du voyageur !
MĂȘme constat concernant la lenteur. On veut faire passer pour une nouveautĂ© la demande de lenteur par opposition Ă la vitesse, lâaccĂ©lĂ©ration, lâurgence !
Imposture encore que cette prĂ©tendue nouvelle attente dâĂ©motion ressassĂ©e Ă lâenvi par des commentateurs superficiels, ignorants des grandes Ă©motions Ă©prouvĂ©es et Ă©voquĂ©es dans les Ă©crits de Rousseau, Chateaubriand, Stendhal, Flaubert puis Henry Miller, Allen Ginsberg, Paul Morand⊠et aujourdâhui par ces aventuriers hors normes que furent Nicolas Bouvier, quâest Sylvain Tesson !
Un touriste intemporel
Dans ses attentes, le touriste est en effet intemporel. Depuis quâil sillonne le monde, poussĂ© par une curiositĂ© insatiable, il recherche lâauthenticitĂ©, il voue un culte indicible au "beau", il traque lâinĂ©dit, il sâĂ©meut devant la nouveautĂ©, il sâenivre de couleurs, de formes, dâodeurs, de sons, et la musique Ă cet Ă©gard constitue une composante essentielle du patrimoine que lui offre lâailleurs.
Qui nâest pas revenu des pampas argentines, le cĆur et les oreilles gorgĂ©s de milongas ? Qui a rĂ©sistĂ© Ă lâappel des hĂ©ritiers de Miles Davis et Charlie Parker dans les innombrables clubs de jazz que recĂšle le monde ?
Omni prĂ©sente dans nos vies quotidiennes, la musique et le dĂ©sir de musique ont toujours accompagnĂ© le voyageur et continuent de le faire. Câest une certitude. Mais, parfois, elle constitue le but dâun voyage et son but unique.
Câest notamment le cas de certains publics festivaliers qui dâune annĂ©e sur lâautre, ou trĂšs Ă lâavance, rĂ©servent leurs billets pour ne pas rater un concert. Alors que le plus souvent, elle en est une composante plus ou moins importante qui guide en partie le voyageur, au mĂȘme titre, quâune Ă©glise romane, un musĂ©e dâart contemporain... Tandis que, dans de nombreux cas encore, elle est la grande absente des descriptifs touristiques.
⊠Face Ă ce public, comment faciliter lâaccĂšs au plus grand nombre et comment composer et organiser au prĂ©alable de vĂ©ritables sites touristiques mettant en scĂšne ses sons, ses rythmes, ses auteurs, ses interprĂštes ?
Tels sont donc les dĂ©fis que devraient sâimposer les territoires, villes ou rĂ©gions, Ă lâexemple des success stories repĂ©rables en Europe et dans le monde. Mais, la rĂ©ciproque est malheureusement vraie. Les Ă©vĂ©nements musicaux ne font pas souvent beaucoup dâefforts pour promouvoir le territoire oĂč ils se produisent.
On ne se rend pas la politesse. On sâignore. Qui sait par exemple oĂč ont lieu des manifestations musicales pourtant trĂšs populaires comme les "Vieilles charrues" ? Heureusement, les choses commencent Ă changerâŠ
Dans les articles de cette sĂ©rie estivale, notre propos est de mettre en valeur les stratĂ©gies rĂ©ussies des destinations internationales concurrentes et de dĂ©montrer que des liens plus Ă©troits peuvent ĂȘtre tissĂ©s entre musique et tourisme pour le plus grand bonheur des vacanciers⊠Mais, cela, sans pour autant prĂ©tendre Ă lâexhaustivitĂ©âŠ
Qui nâest pas revenu des pampas argentines, le cĆur et les oreilles gorgĂ©s de milongas ? Qui a rĂ©sistĂ© Ă lâappel des hĂ©ritiers de Miles Davis et Charlie Parker dans les innombrables clubs de jazz que recĂšle le monde ?
Omni prĂ©sente dans nos vies quotidiennes, la musique et le dĂ©sir de musique ont toujours accompagnĂ© le voyageur et continuent de le faire. Câest une certitude. Mais, parfois, elle constitue le but dâun voyage et son but unique.
Câest notamment le cas de certains publics festivaliers qui dâune annĂ©e sur lâautre, ou trĂšs Ă lâavance, rĂ©servent leurs billets pour ne pas rater un concert. Alors que le plus souvent, elle en est une composante plus ou moins importante qui guide en partie le voyageur, au mĂȘme titre, quâune Ă©glise romane, un musĂ©e dâart contemporain... Tandis que, dans de nombreux cas encore, elle est la grande absente des descriptifs touristiques.
⊠Face Ă ce public, comment faciliter lâaccĂšs au plus grand nombre et comment composer et organiser au prĂ©alable de vĂ©ritables sites touristiques mettant en scĂšne ses sons, ses rythmes, ses auteurs, ses interprĂštes ?
Tels sont donc les dĂ©fis que devraient sâimposer les territoires, villes ou rĂ©gions, Ă lâexemple des success stories repĂ©rables en Europe et dans le monde. Mais, la rĂ©ciproque est malheureusement vraie. Les Ă©vĂ©nements musicaux ne font pas souvent beaucoup dâefforts pour promouvoir le territoire oĂč ils se produisent.
On ne se rend pas la politesse. On sâignore. Qui sait par exemple oĂč ont lieu des manifestations musicales pourtant trĂšs populaires comme les "Vieilles charrues" ? Heureusement, les choses commencent Ă changerâŠ
Dans les articles de cette sĂ©rie estivale, notre propos est de mettre en valeur les stratĂ©gies rĂ©ussies des destinations internationales concurrentes et de dĂ©montrer que des liens plus Ă©troits peuvent ĂȘtre tissĂ©s entre musique et tourisme pour le plus grand bonheur des vacanciers⊠Mais, cela, sans pour autant prĂ©tendre Ă lâexhaustivitĂ©âŠ
Pour en lire davantage...
Vous pourrez en lire plus sur lâouvrage "En avant la musique". Josette Sicsic. Editions LâHarmattan.
Journaliste, consultante, confĂ©renciĂšre, Josette Sicsic observe depuis plus de 25 ans, les mutations du monde afin dâen analyser les consĂ©quences sur le secteur du tourisme.
AprĂšs avoir dĂ©veloppĂ© pendant plus de 20 ans le journal Touriscopie, elle est toujours sur le pont de lâactualitĂ© oĂč elle dĂ©code le prĂ©sent pour prĂ©voir le futur. Sur le site www.tourmag.com, rubrique Futuroscopie, elle publie plusieurs fois par semaine les articles prospectifs et analytiques.
Contact : 06 14 47 99 04
Mail : touriscopie@gmail.com
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