Après une petite investigation, on peut nuancer un certain nombre de termes du communiqué publié en fin de semaine dernière (CF. LIRE). Premièrement, le gouvernement italien et surtout l’organisme public Sviluppo ne fait qu’envisager de participer au sauvetage de la CIT.
Interrogé, l’une de nos sources proches du dossier nous précise que «Le gouvernement italien reste dans l’attente du business plan de redressement. Ce ne sera que sur base de celui-ci qu’il prendra une décision définitive ».
En ce qui concerne la France, contrairement à la Belgique, aucune information quant au refinancement de la filiale française n’a filtré. Ce qui pourrait signifier en d’autres mots que rien n’est encore décidé à ce sujet.
Une onde de choc dans un marché ébranlé
Pour autant, les professionnels misent sur un rétablissement de l'entreprise. A cela plusieurs raisons : tout d'abord l'engagement d'Accor qui a accepté de "remettre au pot". Autrement dit, qui parie sur l'avenir d'un adhérent de taille de l'Alliance.
Ensuite, le marché français représente une part non négligeable du "gâteau" du Groupe italien. Enfin, l'effondrement de CIT Evasion représenterait pour les organismes de garantie un sinistre de près d'1 million d'euros et serait une véritable onde de choc dans un marché déjà passablement ébranlé par deux exercices médiocres.
Interrogé, l’une de nos sources proches du dossier nous précise que «Le gouvernement italien reste dans l’attente du business plan de redressement. Ce ne sera que sur base de celui-ci qu’il prendra une décision définitive ».
En ce qui concerne la France, contrairement à la Belgique, aucune information quant au refinancement de la filiale française n’a filtré. Ce qui pourrait signifier en d’autres mots que rien n’est encore décidé à ce sujet.
Une onde de choc dans un marché ébranlé
Pour autant, les professionnels misent sur un rétablissement de l'entreprise. A cela plusieurs raisons : tout d'abord l'engagement d'Accor qui a accepté de "remettre au pot". Autrement dit, qui parie sur l'avenir d'un adhérent de taille de l'Alliance.
Ensuite, le marché français représente une part non négligeable du "gâteau" du Groupe italien. Enfin, l'effondrement de CIT Evasion représenterait pour les organismes de garantie un sinistre de près d'1 million d'euros et serait une véritable onde de choc dans un marché déjà passablement ébranlé par deux exercices médiocres.