Thomas Cook France entend augmenter le taux de redevance de 1.15% - DR
J’écrivais récemment sur le flou le plus complet dans lequel baignent les franchisés de Thomas Cook face au renouvellement de leur contrat et du changement d’enseigne de leurs points de vente.
Naïvement, et comme les principaux intéressés, je pensais qu tout ceci allait s’éclaircir. Que nenni ! Et bien au contraire.
Vous avez pu lire et entendre la déception et la colère de Didier Munin, patron de Boiloris.
Fidèle à la marque, ce dernier attendait non seulement un renouvellement de contrat « gagnant-gagnant », comme on dit maintenant.
Le tout assorti de conditions claires et du respect des engagements pris par Michel Resseguier, patron de TC France lors de la dernière Convention du réseau à Marrakech.
Eh bien, rien. Pour l’instant, le groupe de travail organisé par Thomas Cook et composé de points de ventes à l’enseigne Jet Tours, il n’y a rien de concret… si ce n’est que « on va y arriver ».
Naïvement, et comme les principaux intéressés, je pensais qu tout ceci allait s’éclaircir. Que nenni ! Et bien au contraire.
Vous avez pu lire et entendre la déception et la colère de Didier Munin, patron de Boiloris.
Fidèle à la marque, ce dernier attendait non seulement un renouvellement de contrat « gagnant-gagnant », comme on dit maintenant.
Le tout assorti de conditions claires et du respect des engagements pris par Michel Resseguier, patron de TC France lors de la dernière Convention du réseau à Marrakech.
Eh bien, rien. Pour l’instant, le groupe de travail organisé par Thomas Cook et composé de points de ventes à l’enseigne Jet Tours, il n’y a rien de concret… si ce n’est que « on va y arriver ».
Dominique Gobert - Photo DR
Super et sacrément rassurant pour bon nombre de ces petites entreprises qui, finalement, ne savent pas trop comment ils vont pouvoir s’en sortir.
Enfin, pas tout à fait, parce que, d’après ce qui sont un peu mieux informés que les autres, concernant le nouveau contrat, TC France entend augmenter le taux de redevance de 1.15%.
Justifié par l’attrait d’avoir en « référencés » de nouveaux producteurs.
La vision « constructive » de l’avenir, selon TC France, ce qui ne fait pas rire, ni construire la confiance des distributeurs du réseau.
Pas plus d’ailleurs que le brouillard qui enveloppe la future concurrence frontale entre franchisés et intégrés dans une même zone, parfois face à face.
Apparemment, aucune solution n’a été inventée…
Enfin, pas tout à fait, parce que, d’après ce qui sont un peu mieux informés que les autres, concernant le nouveau contrat, TC France entend augmenter le taux de redevance de 1.15%.
Justifié par l’attrait d’avoir en « référencés » de nouveaux producteurs.
La vision « constructive » de l’avenir, selon TC France, ce qui ne fait pas rire, ni construire la confiance des distributeurs du réseau.
Pas plus d’ailleurs que le brouillard qui enveloppe la future concurrence frontale entre franchisés et intégrés dans une même zone, parfois face à face.
Apparemment, aucune solution n’a été inventée…
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Eh puis, quid du prix demandé par Thomas Cook pour la vente de ses points de vente intégrés ? Si j’en crois Didier Munin, qui aurait bien aimé en acquérir quelques uns, la valorisation (et je cite) correspond à quatre fois la valeur du point de vente : « ils ont un mode de valorisation qui doit venir de Londres et qui ne correspond pas au marché français ».
Et finalement, me vient à l’esprit une simple réflexion : tout ceci est-il bien sérieux ? A l’instar de TUI, Thomas Cook ne semble pas avoir, du moins en France, une véritable stratégie et semble réagir au gré du vent.
La question est relativement simple : Thomas Cook France ne jouerait-il pas une sorte de double jeu, du genre « un coup j’te vois, un coup j’te vois pas » ? En clair, veut-il vraiment se débarrasser de ses points de vente ou au contraire, tient-il à empêcher ses concurrents avides de s’en emparer ? Là est la question. Parce qu’il est bien certain que d’autres aimeraient bien conclure certains accords avec des ex-franchisés Thomas Cook…
Club Med, par exemple, qui semble s’agiter pas mal ces derniers temps vers une distribution plus… marquée,
Et finalement, me vient à l’esprit une simple réflexion : tout ceci est-il bien sérieux ? A l’instar de TUI, Thomas Cook ne semble pas avoir, du moins en France, une véritable stratégie et semble réagir au gré du vent.
La question est relativement simple : Thomas Cook France ne jouerait-il pas une sorte de double jeu, du genre « un coup j’te vois, un coup j’te vois pas » ? En clair, veut-il vraiment se débarrasser de ses points de vente ou au contraire, tient-il à empêcher ses concurrents avides de s’en emparer ? Là est la question. Parce qu’il est bien certain que d’autres aimeraient bien conclure certains accords avec des ex-franchisés Thomas Cook…
Club Med, par exemple, qui semble s’agiter pas mal ces derniers temps vers une distribution plus… marquée,