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Le Parrot World de Seine-et-Marne prépare déjà son extension

Un nouveau parcours Guyane est en préparation, avant de rajouter un nouveau continent


Adrien Vignot, directeur de Parrot World, est particulièrement satisfait de sa 1ère vraie saison estivale, après un lancement chahuté en 2020 et une montée en puissance en 2021. Fort des espaces disponibles, le parc - qui présente les espèces amazoniennes et patagoniennes - prépare de nouveaux itinéraires.


Rédigé par le Mardi 23 Août 2022

Une immense volière sous laquelle les oiseaux évoluent - presque - librement (©BC)
Une immense volière sous laquelle les oiseaux évoluent - presque - librement (©BC)
La saison estivale 2022 sera un bon cru. Le parc a rencontré son public en quête de ces nouvelles expériences plus immersives que contemplatives. Le concept de Parrot World est de présenter en – quasi – liberté des centaines d’oiseaux tropicaux, de la famille des perroquets et compères, sous un immense filet qui recouvre un itinéraire ponctué de mares, de rivières et d’enclos où évoluent les espèces terrestres et fluviales : capybaras, coatis, loutres géantes… Un second parcours est dédié aux espèces du Sud du continent : manchots, vigognes, ….

Situé à une douzaine de kilomètres de Disneyland Paris, Parrot World profite naturellement de son affluence pour proposer une autre option de visite, encore faut-il arriver à émerger face au mastodonte. « Nous n’avons pas d’accords directs, mais Disneyland nous signale dans sa documentation comme une attraction de proximité », se satisfait Adrien Vignot. « Plusieurs hôtels de la grande zone hôtelière de Disneyland, ainsi que des campings, nous ont inclus dans leurs offres avec la possibilité de vendre des billets. C’est déjà un signe de reconnaissance d’un parc qui a une approche différente, mêlant la pédagogie à la visite simple ».

La mauvaise nouvelle de la fin de l’été est l’arrêt de la seule ligne de bus qui assurait la liaison entre le parking de Disneyland et Parrot World. Pas assez de trafic, justifie la Région, et l’accès reste à 98% en voiture particulière ou en autocar. « Nous avons conclu un accord avec une société de VTC qui pratique des tarifs très intéressants pour ceux qui veulent continuer de venir depuis Marne-la-Vallée. Par ailleurs, nous sommes de plus en plus inclus dans les parcours de certains prestataires, comme Charme & Découverte en Seine-et-Marne, qui ont découvert l’existence du parc. C’est un axe de travail pour les mois à venir car c’est la possibilité d’un produit complet avec visite commentée et déjeuner au restaurant Le Panoramic qui ouvre sur notre parcours golf ».


Ajouter un nouvel itinéraire ou un nouveau continent chaque année

La famille de jaguars reste une attraction majeure outre les perroquets (©BC)
La famille de jaguars reste une attraction majeure outre les perroquets (©BC)
Comme beaucoup de ses confrères parcs animaliers, Parrot World a rapidement inauguré un programme « Soigneur d’un jour » pour les adultes et il devrait le compléter en début de l’an prochain par un programme « Junior » plus accessible. Il a aussi créer des lodges ouverts sur le parc, dont l’un sur l’enclos des jaguars, qui viennent le soir ou au matin s’ébattre devant les occupants médusés.

Les nouveautés devraient s’enchaîner chaque année pour renouveler l’intérêt d’un public vite blasé. En plus du programme « Junior », 2023 devrait voir l’ouverture d’une nouvelle volière pour perruches ondulées, la version miniature de leurs grands cousins aras et perroquets.

L’année suivante, en ajout à l’Amazonia Trek et au Patagonia Trek, un Guyane Trek devrait emmener les visiteurs dans la forêt tropicale guyanaise et ses espèces endémiques. Elle le fruit d’un partenariat déjà engagé par la Fondation Parrot World avec l’Office Français de la Biodiversité qui finance des programmes locaux de conservation.

Le travail de la fondation sur la conservation des espèces devrait conduire le parc à élargir ses horizons « La conservation est finalement la base de notre motivation », insiste Adrien Vignot. « Le parc est une vitrine du travail qui est fait dans ce domaine et c’est ce qui va nous amener à nous intéresser à l’Asie dans un avenir un peu plus lointain, car il y a énormément de travail à y réaliser dans la conservation des espèces en danger ».

Lire aussi :
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