La créatrice du massage californien s’est inspirée des techniques de ses précurseurs "New Age" en y intégrant des massages orientaux (shiatsu, ayurvédique) et occidentaux (amérindien, suédois) © Laurent Hamels - Fotolia.com
Créé à la fin des années 1960 à San Francisco par une américaine Margaret Elke, le massage californien intègre des éléments issus de techniques orientales et occidentales.
Cette américaine s’inspire alors des techniques développées dans le célèbre institut Esalen, un centre d’éducation d’inspiration « New Age » fondé quelques années plus tôt par deux hippies.
Situé à Big Sur en Californie, sur un lieu jadis propriété d’une tribu d’indiens les « Esselen », l’institut Esalen s’emploie à promouvoir un développement harmonieux et global de la personne.
Il se définit comme un centre d’éducation alternative et éclectique, influencé par des philosophes, artistes et penseurs spirituels.
50 ans après sa création il se caractérise toujours par une approche individuelle et éclectique de la spiritualité.
Il propose chaque année plusieurs centaines de séminaires dans des domaines aussi variés que la psychologie, la sexualité, la recherche de spiritualité etc.
Cette américaine s’inspire alors des techniques développées dans le célèbre institut Esalen, un centre d’éducation d’inspiration « New Age » fondé quelques années plus tôt par deux hippies.
Situé à Big Sur en Californie, sur un lieu jadis propriété d’une tribu d’indiens les « Esselen », l’institut Esalen s’emploie à promouvoir un développement harmonieux et global de la personne.
Il se définit comme un centre d’éducation alternative et éclectique, influencé par des philosophes, artistes et penseurs spirituels.
50 ans après sa création il se caractérise toujours par une approche individuelle et éclectique de la spiritualité.
Il propose chaque année plusieurs centaines de séminaires dans des domaines aussi variés que la psychologie, la sexualité, la recherche de spiritualité etc.
Une centaine de touchers réunis dans le SGM
Mais revenons à Margaret Elke.
La créatrice du massage californien s’est donc inspirée des techniques de ses précurseurs « New Age » en y intégrant des massages orientaux (shiatsu, ayurvédique) et occidentaux (amérindien, suédois).
A partir de ses recherches, elle a synthétisé une centaine de touchers, réunis dans ce qui deviendra le « Sensitive Gestalt Massage » (SGM).
Elle s’expatrie en Europe à la fin des années 1970 pour enseigner cette technique qu’elle considère comme un outil complémentaire au travail psycho-thérapeutique.
Dans les années 1978/1979, à partir des techniques mises au point par Margaret Elke, un couple de psychothérapeutes, Ulla Bandelow et Raoul Bécart popularisent le SGM en Europe.
Le terme est déposé et son utilisation est réservée aux praticiens et enseignants certifiés ayant pris un engagement déontologique
La créatrice du massage californien s’est donc inspirée des techniques de ses précurseurs « New Age » en y intégrant des massages orientaux (shiatsu, ayurvédique) et occidentaux (amérindien, suédois).
A partir de ses recherches, elle a synthétisé une centaine de touchers, réunis dans ce qui deviendra le « Sensitive Gestalt Massage » (SGM).
Elle s’expatrie en Europe à la fin des années 1970 pour enseigner cette technique qu’elle considère comme un outil complémentaire au travail psycho-thérapeutique.
Dans les années 1978/1979, à partir des techniques mises au point par Margaret Elke, un couple de psychothérapeutes, Ulla Bandelow et Raoul Bécart popularisent le SGM en Europe.
Le terme est déposé et son utilisation est réservée aux praticiens et enseignants certifiés ayant pris un engagement déontologique
Un voyage intérieur relaxant
Le massage californien traite, traditionnellement, le corps dans son intégralité. Une séance dure généralement une heure, le temps nécessaire au praticien pour parcourir tout le corps.
Les gestes sont facilités par l’utilisation d’une huile.
Cette méthode harmonieuse et sans à-coup invite la personne massée à s’abandonner et à entamer un voyage intérieur.
Par le biais d’effleurements plus ou moins prononcés, la chaleur des mains du donneur se répand harmonieusement de la tête aux pieds, stimulant une activité plus efficace des nombreuses veines de l’organisme.
La séance se déroule de manière graduée, les gestes ont tendance à s’intensifier avec le déroulement, sans être agressifs, pour revenir ensuite au calme.
Les formations aux pratiques californiennes préconisent un même sens dans l’enchaînement des manœuvres : les pressions appliquées se dirigeant vers le cœur.
Mieux oxygéné et naturellement détendu, le demandeur ressent rapidement les effets escomptés, en jouissant d’une meilleure souplesse et d’une légèreté nouvelle, directement liées aux stimulations dont ses veines ont fait l’objet.
Baptisé « massage californien », le SGM est reconnu par l’Association Internationale de Somatothérapie.
Les gestes sont facilités par l’utilisation d’une huile.
Cette méthode harmonieuse et sans à-coup invite la personne massée à s’abandonner et à entamer un voyage intérieur.
Par le biais d’effleurements plus ou moins prononcés, la chaleur des mains du donneur se répand harmonieusement de la tête aux pieds, stimulant une activité plus efficace des nombreuses veines de l’organisme.
La séance se déroule de manière graduée, les gestes ont tendance à s’intensifier avec le déroulement, sans être agressifs, pour revenir ensuite au calme.
Les formations aux pratiques californiennes préconisent un même sens dans l’enchaînement des manœuvres : les pressions appliquées se dirigeant vers le cœur.
Mieux oxygéné et naturellement détendu, le demandeur ressent rapidement les effets escomptés, en jouissant d’une meilleure souplesse et d’une légèreté nouvelle, directement liées aux stimulations dont ses veines ont fait l’objet.
Baptisé « massage californien », le SGM est reconnu par l’Association Internationale de Somatothérapie.