Le haut commissariat de la République en Polynésie française a levé jeudi matin, heure locale, l'alerte rouge sur les archipels des îles du Vent et des îles sous le Vent.
En revanche, c'est au tour de l'archipel des Australes d'être placé en alerte rouge. Le cyclone Oli se renforçait en se dirigeant vers le sud-est, avec des pointes de vent dépassant 250 km/h.
A noter : à Bora Bora, près de 700 vacanciers sur le départ étaient toujours bloqués dans leurs hôtels, le trafic aérien n'ayant pas repris.
Les hôteliers ont pris des mesures de précautions en évacuant tous les touristes hébergés dans les bungalow sur pilotis. Bernard Bousquet, directeur de l'Office du Tourisme de Tahiti à Paris précise : "ils les ont rapatriés sur la terre ferme, car la houle était à certains endroits assez forte".
Certains hôtels, comme l'Inter Continental Thalasso à Bora Bora, sont même équipés d'abris anti-cycloniques dernière génération.
Pour les familles des touristes, les professionnels ont également prévu de le tenir au courant du moindre incident. "Les voyagistes sont en contact permanent avec leurs équipes sur place pour tenir informer les familles des touristes", assure Bernard Bousquet.
En revanche, c'est au tour de l'archipel des Australes d'être placé en alerte rouge. Le cyclone Oli se renforçait en se dirigeant vers le sud-est, avec des pointes de vent dépassant 250 km/h.
A noter : à Bora Bora, près de 700 vacanciers sur le départ étaient toujours bloqués dans leurs hôtels, le trafic aérien n'ayant pas repris.
Les hôteliers ont pris des mesures de précautions en évacuant tous les touristes hébergés dans les bungalow sur pilotis. Bernard Bousquet, directeur de l'Office du Tourisme de Tahiti à Paris précise : "ils les ont rapatriés sur la terre ferme, car la houle était à certains endroits assez forte".
Certains hôtels, comme l'Inter Continental Thalasso à Bora Bora, sont même équipés d'abris anti-cycloniques dernière génération.
Pour les familles des touristes, les professionnels ont également prévu de le tenir au courant du moindre incident. "Les voyagistes sont en contact permanent avec leurs équipes sur place pour tenir informer les familles des touristes", assure Bernard Bousquet.
