A la suite de l’accord de l’Union Européenne donné le 6 février dernier, le président Mumtaz Teker a finalisé l’adhésion de l’APST (Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme) à la réassurance (dite publique) dans le cadre du fonds de garantie des opérateurs de voyages et de séjours (FGOVS) représenté par la Caisse centrale de réassurance (CCR).
Cette réassurance prend effet au 1er mars 2023 jusqu’au 31 décembre 2023.
"Elle couvre toutes les défaillances ouvertes pendant cette période au 1er euro pour 75% du montant de chaque sinistre, pour un montant maximum global de 40 fois les primes encaissées par l’APST (montant estimé plus de 360 M€)", nous indique l'APST.
Le cout net de cette réassurance pour l’APST est de 48,75% des cotisations de cette période (calculées au prorata sur l'année 2023), car 75% des primes sont cédées au fonds et une commission de gestion de 35% des primes cédées est perçue par l’APST.
Lire aussi : Réassurance publique : l'Europe donne son feu vert à la France
"C'est une bonne chose et cela va nous permettre de pérenniser plus de projets, commente Mumtaz Teker. Je ne dirais pas que c'est un soulagement puisque nous n'attendons pas de risque particulier et que l'APST a continué à faire son devoir, sans compter sur la réassurance jusqu'à présent".
Cette réassurance prend effet au 1er mars 2023 jusqu’au 31 décembre 2023.
"Elle couvre toutes les défaillances ouvertes pendant cette période au 1er euro pour 75% du montant de chaque sinistre, pour un montant maximum global de 40 fois les primes encaissées par l’APST (montant estimé plus de 360 M€)", nous indique l'APST.
Le cout net de cette réassurance pour l’APST est de 48,75% des cotisations de cette période (calculées au prorata sur l'année 2023), car 75% des primes sont cédées au fonds et une commission de gestion de 35% des primes cédées est perçue par l’APST.
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"C'est une bonne chose et cela va nous permettre de pérenniser plus de projets, commente Mumtaz Teker. Je ne dirais pas que c'est un soulagement puisque nous n'attendons pas de risque particulier et que l'APST a continué à faire son devoir, sans compter sur la réassurance jusqu'à présent".
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