TourMaG.com - Que représente pour vous la tenue dans tel événement dans votre département ?
Michel Fuillet :"Je me félicite tout d'abord sur le fait qu'il s'agit de la première fois qu'un tel événement se déroule dans notre département. Cela est d'autant plus intéressant que nous avons prévu un pré tour qui va permettre à tous nos visiteurs professionnels d'admirer les multiples facettes touristiques du Vaucluse et de ses sites..."
T.M.com - Qu'attendez-vous de ces 400 TO étrangers ?
M.F.:"Ce qu'on en attend c'est un effet de levier, car la saison touristique n'est pas fantastique. J'espère que cela permettra de relancer l'intérêt pour l'ensemble des produits touristiques du département.
Nous sommes tous très solidaires autour de cet événement qui permettra aussi de dégager des synergies au niveau des stratégies de développement plutôt que des antagonismes..."
T.M.com - Comment définiriez-vous le "produit" Vaucluse ?
M.F.:"Je pense que le Vaucluse et son tourisme ont un très bel avenir. Mais nous avons besoin de nous repositionner pour répondre mieux aux attentes actuelles avec des phénomènes tels que les courts séjours, les 35 h ou encore les changements d'habitudes de consommation.
Pour cela tout le monde (tous les professionnels) doivent jouer le jeu. Aujourd'hui, il n'y a plus de "Veau d'or", même si notre département dispose de tout le potentiel et d'une large gamme de produits pour satisfaire tous les tourismes, qu'il soient de nature culturelle ou de loisirs."
T.M.com - La saison 2003 a vu un nouveau recul du tourisme dans votre département...
M.F.:"En effet, on a pas décollé l'année dernière. La saison 2003 a été une véritable catastrophe. Ceci étant, 2004 se présente mieux. Mais je crois que les professionnels vauclusiens ont pris conscience qu'on a plus de monopole en matière de tourisme; qu'il faut arrêter de vivre sur une notoriété et revoir notre stratégie et notre positionnement en matière d'offre.
Quand on voit l'attrait et l'évasion des Italiens et des anglo-saxons pour l'Europe de l'est, il faut se poser des questions..."
T.M.com - Précisément, êtes-vous optimiste de ce point de vue ?
M.F.:"Je suis d'un optimisme raisonné. Je crois qu'il y a maintenant une sensibilisation des professionnels et qu'il faut travailler à l'échelle du Grand sud en offrant des produits complémentaires et en s'appuyant sur le travail fait par le CRT et le CDT qui va dans le bon sens. On a besoin de se mettre les pieds par terre !"
Michel Fuillet :"Je me félicite tout d'abord sur le fait qu'il s'agit de la première fois qu'un tel événement se déroule dans notre département. Cela est d'autant plus intéressant que nous avons prévu un pré tour qui va permettre à tous nos visiteurs professionnels d'admirer les multiples facettes touristiques du Vaucluse et de ses sites..."
T.M.com - Qu'attendez-vous de ces 400 TO étrangers ?
M.F.:"Ce qu'on en attend c'est un effet de levier, car la saison touristique n'est pas fantastique. J'espère que cela permettra de relancer l'intérêt pour l'ensemble des produits touristiques du département.
Nous sommes tous très solidaires autour de cet événement qui permettra aussi de dégager des synergies au niveau des stratégies de développement plutôt que des antagonismes..."
T.M.com - Comment définiriez-vous le "produit" Vaucluse ?
M.F.:"Je pense que le Vaucluse et son tourisme ont un très bel avenir. Mais nous avons besoin de nous repositionner pour répondre mieux aux attentes actuelles avec des phénomènes tels que les courts séjours, les 35 h ou encore les changements d'habitudes de consommation.
Pour cela tout le monde (tous les professionnels) doivent jouer le jeu. Aujourd'hui, il n'y a plus de "Veau d'or", même si notre département dispose de tout le potentiel et d'une large gamme de produits pour satisfaire tous les tourismes, qu'il soient de nature culturelle ou de loisirs."
T.M.com - La saison 2003 a vu un nouveau recul du tourisme dans votre département...
M.F.:"En effet, on a pas décollé l'année dernière. La saison 2003 a été une véritable catastrophe. Ceci étant, 2004 se présente mieux. Mais je crois que les professionnels vauclusiens ont pris conscience qu'on a plus de monopole en matière de tourisme; qu'il faut arrêter de vivre sur une notoriété et revoir notre stratégie et notre positionnement en matière d'offre.
Quand on voit l'attrait et l'évasion des Italiens et des anglo-saxons pour l'Europe de l'est, il faut se poser des questions..."
T.M.com - Précisément, êtes-vous optimiste de ce point de vue ?
M.F.:"Je suis d'un optimisme raisonné. Je crois qu'il y a maintenant une sensibilisation des professionnels et qu'il faut travailler à l'échelle du Grand sud en offrant des produits complémentaires et en s'appuyant sur le travail fait par le CRT et le CDT qui va dans le bon sens. On a besoin de se mettre les pieds par terre !"
