Son Plan industriel avait été soigneusement validé, la paix sociale semblait acquise et il ne restait plus qu'à retrousser les manches pour relever un challenge.
Mais c'était sans compter avec l'intransigeance du syndicat nationaliste qui, à deux reprises déjà cette année, a déclenché des grèves et dont on peut se demander quels sont les desseins poursuivis...
La première visait soit disant à "rééquilibrer l'emploi en faveur des insulaires". La seconde évoque des inégalités de traitement de salaire dans les bureaux niçois et corse de la Compagnie pour paralyser, depuis une semaine, les transports en direction de l'Ile de Beauté !
L'avenir de la Sncm estil encore en Corse ?
Du coup, la Sncm qui a passablement souffert d'une saison médiocre est obligée de demander à sa concurrente Corsica Ferries de bien vouloir acheminer ses passagers, ses finances souffrent car elle perd plusieurs dizaines de milliers d'euros quotidiennement, son image en pâtit auprès des professionnels et du grand public et il se pourrait bien qu'un nouveau plan social vienne parachever cet exercice.
Vous avez-dit sauvegarde de l'emploi ?
Bien entendu le droit de grève existe, mais lorsque l'idéologie politique l'emporte, lorsque des passagers sont pris en otage par une poignée d'individus, lorsque le syndicat majoritaire (CGT) en appelle à l'État, inquiet du devenir et de la pérennisation de l'entreprise, on est en droit de se poser des questions.
Par exemple si l'avenir de la Sncm est vraiment en Corse...
Mais c'était sans compter avec l'intransigeance du syndicat nationaliste qui, à deux reprises déjà cette année, a déclenché des grèves et dont on peut se demander quels sont les desseins poursuivis...
La première visait soit disant à "rééquilibrer l'emploi en faveur des insulaires". La seconde évoque des inégalités de traitement de salaire dans les bureaux niçois et corse de la Compagnie pour paralyser, depuis une semaine, les transports en direction de l'Ile de Beauté !
L'avenir de la Sncm estil encore en Corse ?
Du coup, la Sncm qui a passablement souffert d'une saison médiocre est obligée de demander à sa concurrente Corsica Ferries de bien vouloir acheminer ses passagers, ses finances souffrent car elle perd plusieurs dizaines de milliers d'euros quotidiennement, son image en pâtit auprès des professionnels et du grand public et il se pourrait bien qu'un nouveau plan social vienne parachever cet exercice.
Vous avez-dit sauvegarde de l'emploi ?
Bien entendu le droit de grève existe, mais lorsque l'idéologie politique l'emporte, lorsque des passagers sont pris en otage par une poignée d'individus, lorsque le syndicat majoritaire (CGT) en appelle à l'État, inquiet du devenir et de la pérennisation de l'entreprise, on est en droit de se poser des questions.
Par exemple si l'avenir de la Sncm est vraiment en Corse...