TUI Group a présenté ses résultats annuels pour 2025.
Au cours de l’exercice 2025, 34,7 millions de clients ont voyagé avec TUI, soit une progression de 5 %. Le chiffre d’affaires atteint 24,2 milliards d’euros, contre 23,2 milliards un an plus tôt. L’EBIT sous-jacent atteint « le meilleur résultat de l’histoire de l’entreprise », avec 1,46 milliard d’euros, dépassant les prévisions annoncées en août.
Sebastian Ebel, PDG du groupe, souligne : « 2025 a été une année fructueuse pour TUI. Dans un contexte de marché extrêmement concurrentiel, nous avons réalisé le meilleur résultat de l’histoire de l’entreprise et dépassé les prévisions d’EBIT pour l’exercice 2025. » Il met en avant les atouts d’un « écosystème TUI » fondé sur des marques fortes et un réseau de distribution mondial en expansion.
Au cours de l’exercice 2025, 34,7 millions de clients ont voyagé avec TUI, soit une progression de 5 %. Le chiffre d’affaires atteint 24,2 milliards d’euros, contre 23,2 milliards un an plus tôt. L’EBIT sous-jacent atteint « le meilleur résultat de l’histoire de l’entreprise », avec 1,46 milliard d’euros, dépassant les prévisions annoncées en août.
Sebastian Ebel, PDG du groupe, souligne : « 2025 a été une année fructueuse pour TUI. Dans un contexte de marché extrêmement concurrentiel, nous avons réalisé le meilleur résultat de l’histoire de l’entreprise et dépassé les prévisions d’EBIT pour l’exercice 2025. » Il met en avant les atouts d’un « écosystème TUI » fondé sur des marques fortes et un réseau de distribution mondial en expansion.
Ce qu'il faut retenir :
TUI réalise une année 2025 "record" avec un EBIT sous-jacent de 1,46 Md€ (+12,6 %), dépassant ses prévisions.
Le chiffre d’affaires atteint 24,2 Md€ (+4,4 %) avec 34,7 millions de clients (+5 %).
Segment Expériences de vacances
Situation financière
Marchés + Compagnies aériennes
Le chiffre d’affaires atteint 24,2 Md€ (+4,4 %) avec 34,7 millions de clients (+5 %).
Segment Expériences de vacances
- EBIT sous-jacent : 1,31 Md€ (1,09 Md€ en 2024).
- Hôtels : 759 M€ (record).
- Croisières : 482 M€ (+108 M€), taux d’occupation de 99 %, +18 % de journées passagers.
- TUI Musement : 10,6 millions d’activités vendues.
Situation financière
- Dette nette réduite de 20 % à 1,3 Md€.
- Nouvelle politique de dividendes : 0,10 €/action en 2025, puis 10 à 20 % du BPA sous-jacent dès 2026.
Marchés + Compagnies aériennes
- EBIT sous-jacent : 217 M€ (304 M€ en 2024), impacté par les investissements technologiques et la transition vers une marketplace mondiale.
- Forfaits dynamiques : 3,3 millions de clients (+11 %), désormais un pilier de l’offre.
- Région Nord (UK, Irlande, Scandinavie) : EBIT sous-jacent de 140 M€ (165 M€ en 2024).
- Région Centre (Allemagne, Autriche, Suisse, Pologne) : EBIT sous-jacent de 98 M€ (128 M€ en 2024).
- Région Ouest (Pays-Bas, Belgique, France) : EBIT sous-jacent de –21 M€ (10 M€ en 2024).
- Croissance attendue du chiffre d’affaires : +2 à +4 %.
- Hausse prévue de l’EBIT sous-jacent : +7 à +10 %.
- Mise en service du Mein Schiff Flow et développement de 70 nouveaux hôtels.
TUI Group : le segment Expériences de vacances progresse
Le segment Expériences de vacances – hôtels, croisières, TUI Musement – constitue un moteur majeur, avec un EBIT sous-jacent de 1,31 milliard d’euros, contre 1,09 milliard l’année précédente.
Les hôtels affichent un record à 759 millions d’euros, tandis que les croisières bondissent à 482 millions d’euros, portées par un taux d’occupation de 99 % et une hausse de 18 % des journées passagers. TUI Musement progresse également, avec 10,6 millions d’activités vendues.
La dette nette du groupe recule de 20 %, à 1,3 milliard d’euros. « Nous avons ramené notre dette nette à 1,3 milliard d’euros (…) et les principales agences de notation ont relevé notre note de crédit », rappelle Mathias Kiep, directeur financier. Le groupe annonce introduire une nouvelle politique de dividendes, comprenant un premier versement de 0,10 € par action au titre de 2025, puis une distribution de 10 à 20 % du bénéfice par action sous-jacent à partir de 2026.
Les hôtels affichent un record à 759 millions d’euros, tandis que les croisières bondissent à 482 millions d’euros, portées par un taux d’occupation de 99 % et une hausse de 18 % des journées passagers. TUI Musement progresse également, avec 10,6 millions d’activités vendues.
La dette nette du groupe recule de 20 %, à 1,3 milliard d’euros. « Nous avons ramené notre dette nette à 1,3 milliard d’euros (…) et les principales agences de notation ont relevé notre note de crédit », rappelle Mathias Kiep, directeur financier. Le groupe annonce introduire une nouvelle politique de dividendes, comprenant un premier versement de 0,10 € par action au titre de 2025, puis une distribution de 10 à 20 % du bénéfice par action sous-jacent à partir de 2026.
Le segment Marchés + Compagnies aériennes en baisse versus 2024
Autres articles
-
TUI France célèbre la sortie de Zootopie 2 avec un dispositif multicanal
-
A Paris, La Maison du Danemark met à l'honneur le Noël danois
-
Black Friday 2025 : toutes les offres voyage à ne pas manquer !
-
Vous avez dit "No kids" ? TUI France prend le contrepied et mise sur le... "No adult" !
-
TUI France nomme un directeur du tour-opérating
Le segment Marchés + Compagnies aériennes (qui comprend les voyagistes TUI dans les régions Nord, Centre et Ouest voir encadré) enregistre un EBIT sous-jacent de 217 millions d’euros, en baisse par rapport à l’an dernier, en raison notamment des investissements dans la transformation de la marketplace mondiale et des systèmes informatiques, précise le groupe dans un communiqué. TUI observe toutefois une évolution positive vers les forfaits dynamiques, qui séduisent 3,3 millions de clients (+11 %).
Les réservations pour l’hiver 2025/26 progressent de 1 %, tandis que les premières tendances pour l’été 2026 sont jugées « positives ».
TUI prévoit pour 2026 une hausse de son chiffre d’affaires de 2 à 4 % et une progression de l’EBIT sous-jacent de 7 à 10 %. Le parc hôtelier doit poursuivre son expansion avec 70 établissements en développement, tandis que le prochain navire Mein Schiff Flow doit entrer en service à l’été 2026.
Le groupe place également l’intelligence artificielle au cœur de sa stratégie. « L'intelligence artificielle représente une formidable opportunité pour TUI », déclare Sebastian Ebel. Les agences de voyages utilisent déjà l’outil pour concevoir des itinéraires complexes, directement réservable via un bouton TUI.
À moyen terme, TUI vise une croissance annuelle moyenne de l’EBIT sous-jacent de 7 à 10 %, un ratio d’endettement net sous 0,5x, ainsi qu’une distribution pérenne de dividendes.
Les réservations pour l’hiver 2025/26 progressent de 1 %, tandis que les premières tendances pour l’été 2026 sont jugées « positives ».
TUI prévoit pour 2026 une hausse de son chiffre d’affaires de 2 à 4 % et une progression de l’EBIT sous-jacent de 7 à 10 %. Le parc hôtelier doit poursuivre son expansion avec 70 établissements en développement, tandis que le prochain navire Mein Schiff Flow doit entrer en service à l’été 2026.
Le groupe place également l’intelligence artificielle au cœur de sa stratégie. « L'intelligence artificielle représente une formidable opportunité pour TUI », déclare Sebastian Ebel. Les agences de voyages utilisent déjà l’outil pour concevoir des itinéraires complexes, directement réservable via un bouton TUI.
À moyen terme, TUI vise une croissance annuelle moyenne de l’EBIT sous-jacent de 7 à 10 %, un ratio d’endettement net sous 0,5x, ainsi qu’une distribution pérenne de dividendes.
Focus par marché :
Région Nord : Royaume-Uni, Irlande, Scandinavie
La région Nord demeure le premier contributeur du segment, avec un EBIT sous-jacent de 140 millions d’euros, contre 165 millions l’année précédente.
Région Centre : Allemagne, Autriche, Suisse, Pologne
La région Centre enregistre un EBIT sous-jacent de 98 millions d’euros, en baisse par rapport aux 128 millions de l’exercice précédent.
Région Ouest : Pays-Bas, Belgique, France
La région Ouest est la seule zone déficitaire, avec un EBIT sous-jacent de –21 millions d’euros, contre +10 millions un an plus tôt.
La région Nord demeure le premier contributeur du segment, avec un EBIT sous-jacent de 140 millions d’euros, contre 165 millions l’année précédente.
Région Centre : Allemagne, Autriche, Suisse, Pologne
La région Centre enregistre un EBIT sous-jacent de 98 millions d’euros, en baisse par rapport aux 128 millions de l’exercice précédent.
Région Ouest : Pays-Bas, Belgique, France
La région Ouest est la seule zone déficitaire, avec un EBIT sous-jacent de –21 millions d’euros, contre +10 millions un an plus tôt.


















