La Fondation Louis Vuitton, l’écrin blanc de l’architecte star Frank Gehry, dédié à l’art contemporain et à la création culturelle, propose des expositions majeures - DR : Fondation Louis Vuitton
L’épidémie de Covid-19 a mis un coup d’arrêt au tourisme dans le monde entier.
Et les grandes villes sont les premières impactées, délaissées par un mélange de contraintes sanitaires et d’absence de vie sociale et culturelle.
Il n’empêche. Leurs atouts restent tapis dans l’ombre et ne demandent qu’à briller à nouveau, une fois la pandémie maîtrisée.
Ce n’est pas Paris et la région Ile-de-France qui diront le contraire, elles qui avaient reçu plus de 50 millions de touristes en 2019, dépassant le record de fréquentation de 2018.
Et les grandes villes sont les premières impactées, délaissées par un mélange de contraintes sanitaires et d’absence de vie sociale et culturelle.
Il n’empêche. Leurs atouts restent tapis dans l’ombre et ne demandent qu’à briller à nouveau, une fois la pandémie maîtrisée.
Ce n’est pas Paris et la région Ile-de-France qui diront le contraire, elles qui avaient reçu plus de 50 millions de touristes en 2019, dépassant le record de fréquentation de 2018.
Fondation Louis Vuitton
Attardons-nous sur trois lieux qui illustrent la créativité d’une capitale toujours en pointe en matière de culture et d’accueil.
Ainsi de la Fondation Louis Vuitton. Posé dans le bois de Boulogne, l’écrin blanc de l’architecte star Frank Gehry, dédié à l’art contemporain et à la création culturelle, propose des expositions majeures ouvertes à tous.
Si tant est que Paris manquait encore de musées consacrés à l’art moderne, la Fondation Louis Vuitton est venue de façon brillante renforcer l’offre de la capitale.
Depuis 2014, l’édifice imaginé par l’architecte américain abrite tous les ans deux expositions-événements.
Depuis 2018, elle propose aussi un programme dédié à la création, Open Space. Dans ce cadre, des artistes sont invités à concevoir des projets dans le bâtiment.
La Fondation abrite également un auditorium de 1 000 places où sont proposés des concerts classiques, jazz ou contemporains, mettant en particulier à l’honneur de jeunes virtuoses. Des conférences et des ateliers y sont aussi organisés.
Ainsi de la Fondation Louis Vuitton. Posé dans le bois de Boulogne, l’écrin blanc de l’architecte star Frank Gehry, dédié à l’art contemporain et à la création culturelle, propose des expositions majeures ouvertes à tous.
Si tant est que Paris manquait encore de musées consacrés à l’art moderne, la Fondation Louis Vuitton est venue de façon brillante renforcer l’offre de la capitale.
Depuis 2014, l’édifice imaginé par l’architecte américain abrite tous les ans deux expositions-événements.
Depuis 2018, elle propose aussi un programme dédié à la création, Open Space. Dans ce cadre, des artistes sont invités à concevoir des projets dans le bâtiment.
La Fondation abrite également un auditorium de 1 000 places où sont proposés des concerts classiques, jazz ou contemporains, mettant en particulier à l’honneur de jeunes virtuoses. Des conférences et des ateliers y sont aussi organisés.
Collection Morozov à partir du 22 septembre 2021
Après l’exposition consacrée à Charlotte Perriand (1903-1999), l’une des personnalités phares du design au 20e s., le public devrait pouvoir apprécier du 22 septembre 2021 au 22 février 2022 - prions pour que la situation sanitaire le permette - la Collection Morozov et ses icônes de l’art moderne.
L’exposition réunira plus de 200 chefs-d’œuvre de la collection d’art moderne français et russe des frères moscovites Mikhaïl Abramovitch Morozov (1870-1903) et Ivan Abramovitch Morozov (1871-1921).
Présentée pour la première fois hors de Russie, elle rassemble des œuvres majeures de Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Renoir, Monet, Bonnard, Denis, Matisse, Derain et Picasso aux côtés d’artistes emblématiques de l’avant-garde russe tels que Vroubel, Malevitch, Repine, Larionov, Serov.
L’exposition réunira plus de 200 chefs-d’œuvre de la collection d’art moderne français et russe des frères moscovites Mikhaïl Abramovitch Morozov (1870-1903) et Ivan Abramovitch Morozov (1871-1921).
Présentée pour la première fois hors de Russie, elle rassemble des œuvres majeures de Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Renoir, Monet, Bonnard, Denis, Matisse, Derain et Picasso aux côtés d’artistes emblématiques de l’avant-garde russe tels que Vroubel, Malevitch, Repine, Larionov, Serov.
Auditorium… et librairie
Hors expositions, la Fondation est accessible au public (réouverture le 22 septembre 2021).
Différentes visites sont proposées, dont certaines avec des médiateurs culturels : visites nocturnes, parcours audioguidé avec application dédiée…
Toutes valorisent notamment la dimension architecturale du site.
L’auditorium, lui, permet d’admirer les œuvres crées par l’artiste Ellsworth Kelly pour le lieu.
Pour les amateurs d’art, une grande librairie dispose de quatre univers : l’art contemporain, l’architecture, les arts appliqués et la jeunesse.
Enfin, n’oublions pas les plaisirs gustatifs. La Fondation héberge Le Frank, un restaurant gastronomique sous la baguette du chef étoilé Jean-Louis Nomicos.
Sous les poissons suspendus de Frank Gehry, la carte offre des plats raffinés et gourmands, à l’image de la haute tenue des expositions.
Différentes visites sont proposées, dont certaines avec des médiateurs culturels : visites nocturnes, parcours audioguidé avec application dédiée…
Toutes valorisent notamment la dimension architecturale du site.
L’auditorium, lui, permet d’admirer les œuvres crées par l’artiste Ellsworth Kelly pour le lieu.
Pour les amateurs d’art, une grande librairie dispose de quatre univers : l’art contemporain, l’architecture, les arts appliqués et la jeunesse.
Enfin, n’oublions pas les plaisirs gustatifs. La Fondation héberge Le Frank, un restaurant gastronomique sous la baguette du chef étoilé Jean-Louis Nomicos.
Sous les poissons suspendus de Frank Gehry, la carte offre des plats raffinés et gourmands, à l’image de la haute tenue des expositions.
Hôtel The Peninsula
L’hôtellerie de luxe est dans l’ADN de Paris.
Parmi les derniers établissements à s’être imposé dans la capitale, il faut parler de The Peninsula. Il trône avenue Kléber, dans le 16e arrondissement.
Cinq étoiles luxe, 114 chambres et 86 suites, des BMW série 7 et des Mini Cooper S Clubman pour que les clients arpentent Paris, un spa asiatique raffiné, cinq tables mémorables…
Aucun doute possible : The Peninsula appartient à la classe des très grands, celle des hôtels dont on se remémore longtemps un séjour entre leurs murs.
Parmi les derniers établissements à s’être imposé dans la capitale, il faut parler de The Peninsula. Il trône avenue Kléber, dans le 16e arrondissement.
Cinq étoiles luxe, 114 chambres et 86 suites, des BMW série 7 et des Mini Cooper S Clubman pour que les clients arpentent Paris, un spa asiatique raffiné, cinq tables mémorables…
Aucun doute possible : The Peninsula appartient à la classe des très grands, celle des hôtels dont on se remémore longtemps un séjour entre leurs murs.
Une « expérience client » inédite
Au cœur de la capitale, tout près du Paris du grand luxe et des grands monuments, l’établissement a pris ses marques dans la Ville Lumière aux côtés des fleurons historiques de l’hôtellerie parisienne.
Les chambres et suites sont parmi les plus spacieuses de Paris et sont équipées d’une technologie de pointe.
Chacune est conçue comme un appartement, avec salon, dressing et coiffeuse.
L’« expérience client » est unique avec, détails signifiants, un coffret à cirage et… un séchoir à ongles dans chaque chambre.
Les parties communes de l’hôtel évoquent un musée, avec des collections de peinture, de sculpture, de photographies et d’arts décoratifs exclusifs.
Les chambres et suites sont parmi les plus spacieuses de Paris et sont équipées d’une technologie de pointe.
Chacune est conçue comme un appartement, avec salon, dressing et coiffeuse.
L’« expérience client » est unique avec, détails signifiants, un coffret à cirage et… un séchoir à ongles dans chaque chambre.
Les parties communes de l’hôtel évoquent un musée, avec des collections de peinture, de sculpture, de photographies et d’arts décoratifs exclusifs.
Cinq restaurants
Les cinq restaurants offrent un choix unique. Adresse gastronomique, The Peninsula propose de tester le meilleur de la cuisine française (L’Oiseau Blanc), asiatique (Lili) et internationale (La Terrasse Kleber et Le Lobby).
Mention particulière pour Le Rooftop et la terrasse de L’Oiseau Blanc : posés sur le toit au 6e et dernier étage de l’hôtel, ils ouvrent une vue panoramique exceptionnelle sur Paris.
La détente n’est pas absente puisque l’hôtel dispose d’un spa de 1 800 m² (considéré comme le plus grand des palaces de la capitale), d’un centre de fitness et d’une piscine intérieure splendide.
Mention particulière pour Le Rooftop et la terrasse de L’Oiseau Blanc : posés sur le toit au 6e et dernier étage de l’hôtel, ils ouvrent une vue panoramique exceptionnelle sur Paris.
La détente n’est pas absente puisque l’hôtel dispose d’un spa de 1 800 m² (considéré comme le plus grand des palaces de la capitale), d’un centre de fitness et d’une piscine intérieure splendide.
La Terra Madre, l’Italie en vrai
Multiculturelle, la capitale est aussi pain béni pour les fans de gastronomie du monde.
Et à ceux qui désespèrent de ne pouvoir manger italien ailleurs que dans des pizzerias ou des restaurants de pâtes, nous avons le « bon plan » : La Terra Madre. L’Italie, pour de vrai !
« Caché » dans le 20e arrondissement, ce restaurant concocte une véritable cuisine italienne de famille, avec des recettes de terroir remarquables.
Sur place, ils s’appellent Rocco Angi (le fils), Rosa Maria (la mère), Carmine (le père) et Andrea (le beau-frère).
La famille, originaire du sud de l’Italie, est aux manettes de cette adresse de la rue de Ménilmontant !
Dans un décor bois et sobre de boutique de quartier, on s’y délecte de polpettes de veau, d’aubergines parmigiana, de struncatura calabraise, de mozzarella di bufala…
Et à ceux qui désespèrent de ne pouvoir manger italien ailleurs que dans des pizzerias ou des restaurants de pâtes, nous avons le « bon plan » : La Terra Madre. L’Italie, pour de vrai !
« Caché » dans le 20e arrondissement, ce restaurant concocte une véritable cuisine italienne de famille, avec des recettes de terroir remarquables.
Sur place, ils s’appellent Rocco Angi (le fils), Rosa Maria (la mère), Carmine (le père) et Andrea (le beau-frère).
La famille, originaire du sud de l’Italie, est aux manettes de cette adresse de la rue de Ménilmontant !
Dans un décor bois et sobre de boutique de quartier, on s’y délecte de polpettes de veau, d’aubergines parmigiana, de struncatura calabraise, de mozzarella di bufala…
Huile d’olive et vins italiens
Des recettes de l’Italie profonde conçues « comme à la maison », tendance calabraises et siciliennes, avec une prééminence de produits biologiques.
Elles sont servies avec le délicieux accent transalpin de Rocco et de sa famille.
La Terra Madre est aussi une vraie épicerie. On peut y acheter des produits authentiques, huile d’olive, pâtes artisanales, vins italiens…
A ceux qui ne peuvent se rendre dans le 20e, le restaurant propose un service traiteur, avec livraison dans la capitale.
Pa-ris est ma-gi-que !
Elles sont servies avec le délicieux accent transalpin de Rocco et de sa famille.
La Terra Madre est aussi une vraie épicerie. On peut y acheter des produits authentiques, huile d’olive, pâtes artisanales, vins italiens…
A ceux qui ne peuvent se rendre dans le 20e, le restaurant propose un service traiteur, avec livraison dans la capitale.
Pa-ris est ma-gi-que !
Pratique
Office de tourisme de Paris : parisinfo.com
Hôtels-restaurants :
• The Peninsula - peninsula.com/fr/paris
Chambres à partir de 978€.
• La Terra Madre - laterramadre.com
Formule midi deux plats à 15€, trois plats à 19€. Le soir à la carte.
Visiter
Fondation Louis Vuitton : fondationlouisvuitton.fr
Hôtels-restaurants :
• The Peninsula - peninsula.com/fr/paris
Chambres à partir de 978€.
• La Terra Madre - laterramadre.com
Formule midi deux plats à 15€, trois plats à 19€. Le soir à la carte.
Visiter
Fondation Louis Vuitton : fondationlouisvuitton.fr
