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Tourisme durable : un idéal de solidarité et de responsabilité

une prise de conscience de plus en plus partagée


Protéger la nature et l’environnement est un enjeu mondial qui dépasse les seuls courants écologiques. Dans ce contexte certains voyagistes font entendre leur voix. Cette forme de tourisme n’est encore qu’une niche mais tous les spécialistes le proclament aujourd’hui, le tourisme équitable et durable s’avère être, à l’instar du commerce équitable, l’un des thèmes porteurs de demain.


Rédigé par Michèle Sani - redaction@tourmag.com le Mercredi 1 Mars 2006

Eléphant à Taita / Olivier Trompette
Eléphant à Taita / Olivier Trompette
La pollution des mers et de l’air, l’effet de serre, la destruction de la couche d’ozone, la réduction des forêts tropicales sont des préoccupations partagées. Il en est pour preuve la multiplication de ces conférences mondiales qui engagent tous les pays à adopter le principe d’un développement durable et écologiquement rationnel.

Cette prise de conscience est de plus en plus partagée par les voyagistes qui s’appuient, dans leurs programmes, sur le respect de l’environnement des pays qu’ils font visiter. Certains tour-opérateurs se sont même spécialisés. Ils défendent un certain nombre de valeurs et s’emploient à préserver des territoires encore sauvages et des communautés fragiles.
Malgré toute la générosité du monde on ne peut faire ce métier sans une connaissance du terrain et sans avoir l’approche pragmatique d’un professionnel du tourisme.

La plupart de ces voyagistes s’adressent à un marché ciblé de voyageurs qui recherchent l’authenticité d’une société, d’un peuple, d’un pays plutôt qu’au touriste lambda qui part en groupe et suit un programme pré-établi. Ils engagent leurs clients à prévenir et même corriger les impacts nocifs de la pollution de l’eau, de l’air, du sol, du bruit et des écosystèmes. Il peut arriver que le programme prime sur la destination.

Il en est un, Voyageurs du Monde, qui mène son action en amont. Avant d’être ses partenaires les fournisseurs doivent répondre à un véritable cahier des charges qui les engage dans un tourisme durable.

La cahier des charges de Voyageurs du Monde : passage obligé pour les partenaires

Jean-François Rial, P.-D.G. de Voyageurs du Monde est particulièrement sensible au respect des populations dans leur environnement. Il reste cependant sceptique quand évoque le civisme et le sens des responsabilités des clients. « Je ne me fais pas trop d’illusions. Nous ne sommes pas des donneurs de leçons. » Il n’est pas non plus de ceux qui donnent de l’argent directement aux populations rencontrées au cours d’un circuit. Il préfère faire des dons et consacre un budget de l’ordre de 70 000 € pour les ONG.

La politique de Voyageurs du Monde est de mettre en priorité ses fournisseurs face à leurs responsabilités.

« Nous avons établi un cahier des charges qui est imposé à nos partenaires à travers le monde. Nous y évoquons tous les sujets, des conditions de travail des employés à la politique des hôteliers en matière de respect de l’environnement et de leur façon d’utiliser leurs ressources naturelles. Nous faisons en sorte que le tourisme génère un maximum d’emplois locaux afin que les populations y trouvent leur compte. »

Extrait d’un courrier adressé par Voyageurs du Monde à un prestataire chinois :

- Les salaires des employés sont-ils conformes au niveau salarial de l'activité hôtelière et au niveau de vie en Chine ?
- Le respect des équipes fait-il parti de l'engagement de l'équipe des dirigeants de ces hôtels ? (Vérification notamment qu'il n’y a pas de ségrégation raciale, religieuse ni sociale).
- Les clients sont-ils informés de l'utilisation "intelligente" de l'eau notamment dans les régions isolées telles que le Xinjiang ou le Guizhou (rappel sur les consignes d'économie et sur le rythme du nettoyage du linge)
- Dans le cas de nouvelles implantations hôtelières, vérifier que leur construction n'ait pas donné lieu à des expulsions de populations locales ou à des profanations de lieux sacrés.

Tour en reconnaissant les difficultés à pratiquer une telle politique pour le tourisme de masse, il fait campagne pour faire du tourisme mondial un tourisme durable. « Que chacun respecte la Charte du Voyageur du CET serait déjà une première approche ».

Le villageois, l’éléphant et le chercheur

Créée en 1996, le voyagiste Saïga est le fruit de deux compétences, l’écologie et la gestion d’une activité touristique. Ses programmes s’adressent à tous les publics, au curieux amateur de la nature comme au naturaliste.

« L’idée de départ était de proposer à nos clients la découverte d’un milieu naturel tout en allant à la rencontre de l’homme qui vit dans ce milieu. Notre objectif est de faire partager les cultures et les traditions des sociétés rencontrées. Quand le public adhère à cette façon de voyager, le programme prime sur la destination » explique Phillippe Marais, directeur de Saïga.

Le tourisme « éco-solidaire » immerge le client dans la vie quotidienne d’une équipe de scientifiques ou de chercheurs. En participant à des travaux, à des chantiers ou des études, il contribue à la conservation d’un patrimoine naturel ou à la sauvegarde de cette harmonie de vie souvent fragile qui relie l’homme à son milieu naturel.

Il en est pour exemple un programme éco-solidaire réalisé à l’initiative de Saïga au Kenya. Son but est de mettre fin au conflit de territoire qui oppose des villageois à une population d’éléphants. Les clients accompagnent les chercheurs sur le terrain. Avec eux, ils observent et collectent des informations sur le comportement et les déplacements des éléphants afin de préserver - et le cas échéant déplacer – à terme les activités agricoles des villageois.
Saïga a développé un partenariat avec « Nature et Découvertes » qui a voulu ainsi élargir son offre en termes d’activités naturalistes et pédagogiques.

Seule reste l’empreinte de nos pas

Atalante qui a vingt ans déjà a été rejoint par l’éditeur des guides de voyages Lonely Planet. L’entreprise fut créée par Frédéric Faure et Christophe Leservoisier, deux hommes également passionnés, l’un par le voyage et l’autre par l’expédition en haute montagne.

Chez Atalante tout le monde voyage. Certains partagent leur temps entre l’agence et l’accompagnement. D’autres consacrent deux à trois mois par an à reconnaître de nouveaux parcours et à améliorer la programmation, conscients que la qualité de l’information repose sur la connaissance du terrain.

Ce voyagiste est à l’origine de la Charte Ethique du Voyageur qui rappelle, s’il en était besoin combien le respect est toujours le gage d’une meilleure rencontre. Le tourisme sexuel, les tenues à adopter, les rapports avec l’argent, les biens, la nourriture sont quelques-uns des sujets abordés dans cette charte où il est dit que « chaque culture, religion et mode de vie est soumise à des règles et à des traditions qu’il convient de respecter et de comprendre plutôt que de juger… »

La responsabilité vis-à-vis de l’environnement du pays d’accueil est mise en exergue. Oui, les voyageurs se doivent de ne laisser aucun déchets derrière eux leurs déchets, quels qu’ils soient. Oui, ils ne doivent rien laisser, « hors l’empreinte de leurs pas. »
Site de la charte éthique du voyageur : www.atalante.fr/qui/charte.html

En quelques mots

Le tourisme durable consiste, selon l’OMT, « à répondre aux besoins des touristes et à ceux des communautés d’accueil tout en protégeant l’environnement et en développant des opportunités pour le futur ».

Le tourisme « intégré » fut à l’origine expérimenté en Casamance (Sénégal) à l’initiative du français Christian Sanglio. Il repose sur l’intégration des activités touristiques à la vie locale et au service du développement. Précurseur du tourisme durable il s’oppose au tourisme enclavé.

Le tourisme équitable est un concept récent qui se réfère à celui du commerce équitable. Il propose une rémunération correcte de l’hôte du pays d’accueil et réduit les aléas du commerce entre régions consommatrices riches et les régions productrices pauvres.

Le tourisme alternatif met en avant tous les éléments qui constituent l’identité d’un pays. Il suppose que les activités soient gérées majoritairement par les populations locales.

L’éco tourisme est un concept créé pour décrire un voyage de découverte dans une nature préservée avec, pour l’Union Mondiale de la Conservation, la visite de milieux naturels relativement intacts. L’une des bases de l’éco-tourisme est la conservation du milieu naturel assorti d’une aide financière.

Le tourisme citoyen se définit par certaines associations militantes qui n’hésitent pas à boycotter des pays ou des régions qu’ils jugent politiquement incorrects.

La Charte du CETO (Extrait)

Respecter tout le monde et chacun
- Participer au développement économique durable sur place
- Aider au respect de l’environnement, de la culture et du patrimoine du pays d’accueil.
- Appuyer des mouvements d’envergure mondiale en signant notamment la déclinaison française du code mondial d’éthique, la charte tourisme et éthique initiée par le Secrétariat d’Etat au Tourisme
- Attirer l’attention du voyageur sur le respect de la culture du pays d’accueil

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Tags : amadeus
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Commentaires

1.Posté par Eric Eustache le 14/03/2006 10:19 | Alerter
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Bravo pour ce petit article.

Il est bon de rappeler que le tourisme n'existe que parce que le monde est plein de choses magnifiques à voir. L'industrie touristique devrait donc avoir à coeur, plus qu'aucune autre, de préserver l'environnement. Une necessité urgente désormais, puisqu'en moins d'un siècle, la population humaine a été multipliée par presque 5 ! Du coup, l'impact des activités humaines sur l'environnement s'est accru proportionnellement: une vaste étude des Nations-Unies, l'Etude du millénaire sur les écosystèmes, qui a mobilisée 1200 scientifiques pendant 4 ans, démontre que les 30 dernières années ont causé plus d'atteintes à l'environnement terrestre que toutes celles des siècles précédents.

Il y a donc une véritable urgence à agir, à se mobiliser. De ce point de vue, l'industrie touristique, à laquelle j'ai participé durant 15 ans, devrait être aux avant-postes du changement : pour préserver le sujet même de son activité et préparer son avenir, qui, sans cela, pourrait s'assombrir fortement (avec par exemple une augmentation forte des coûts du transport aérien pour lutter contre l'effet de serre..).

Bien à vous,

Eric Eustache

2.Posté par fish and relax le 14/03/2006 12:31 | Alerter
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bravo!
projet de developpement durable Maroc (culture,ecovillage,loisirs,sports,peche)

plus d'info sur: http://fishandrelax.site.voila.fr

3.Posté par Mouhamed Faouzou Deme le 14/03/2006 12:34 | Alerter
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Je pense que cet article fait un appel du pied au tours operateurs et voyagistes mais egalement il rappel tout le potentiel touristique africain. Que l'Afrique doit veritablement jouer sa partition dans le developpement du tourisme en insistant sur les phenoménes specifiques a l'Afrique d'une part et d'autres part s'organiser a preserver ce qui reste des sites ou l'on peut ; et devons creer les conditions d'un tourisme durable avec les differents themes de tourisme tels que le tourisme intégré le tourisme equitable, et l'eco-tourisme qui sont des activités a meme de garantir un profit partagé entre population et collectivité locale.
Je lance un appel a tous les TO et voyagistes de prendre conscience de leur responsabilité pour repenser les activités de tourisme en direction de l'afrique pour ré-orienter les themes ainsi que les programme de tourisme vers un cadre plus respectueux de l'environement des moeurs et des traditons qui est la mission premiere d'un voyage de decouverte.
Aux Africains professionnels du tourisme je demande une mobilisation et un engagement pour faire du tourisme un facteur d'accelération de la croissance.
Mouhemed Faouzou Deme Administrateur Maison du Senegal

4.Posté par Philippe Falbet le 22/03/2006 16:42 | Alerter
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Bonjour,
les réactions à cet article sont intéressantes, je me permet d'y ajouter mon opinion.
Je travaille pour un tour opérateur indépendant spécialiste du tourisme sur mesure, j'ai 15 ans d'expérience, terrain puis agence. Nous essayons de tendre vers une démarche commerciale plus responsable. Entendons par là, choix de petits partenaires en direct, lodges respectant des critères plus éthiques, mais aussi, parce qu'il faut d'abord balayer devant sa porte, souci de recyclage, économies de papier, solutions en interne pour ne pas recevoir 3 millions de brochures par jour et les mettre directement à la poubelle, questionnements incessants pour évoluer vers toujours plus de cohérence, projets locaux encouragés, etc.

Voici mon opinion quant à cet article : C'est une bonne chose que certains professionnels, encore trop rares, se posent des questions et luttent pour évoluer vers plus de respect environnemental et des populations locales, vers une redistribution des richesses qui repartent souvent au nord, etc.
Mais ne nous voilons pas la face : Nous sommes dans une logique de marché et le seul fait de prendre l'avion est écologiquement incorrect. L'ONERA propose dans le futur un mélange kérosène-mélanges composites, pour foncer dans le mur des déséquilibres à 97 km/h au lieu de 100.
Les ONG ne font pas toutes du bon boulot sur le terrain, je dirais même que celles qui font un boulot correct sont moins nombreuses que les autres. Facile, de permettre un micro crédit à un habitant voulant installer l'eau chaude chez lui pour recevoir des touristes au Guatemala, mais ne pas le former sur l'accueil dont il n'a absolument aucune idée, alors qu'il s'est endetté. Facile, de juger par nos yeux européens ce qui nous semble correct, sans mettre au centre le souci de transparence qui pourtant fait tout !! Facile, de ne pas modifier nos comportements de touristes voyeurs en Inde ou ailleurs dans le quart monde, en prônant l'échange.

Facile aussi, pour le français aujourd'hui beaucoup plus averti, de ne plus croire que les concepts de "durable", "solidaire" ou autre, ne justifient pas une durabilité de l'économie marchande. De lire entre les lettres du tourisme équitable les abus d'un Max Havelaar, où les paysans du sud (c'est un autre débat) le disent souvent : "el comercio justo no es justo".
Arrétons de communiquer à tout va, cela va détruire les concepts avant de les asseoir, avant que les gens s'y reconnaissent, y croient, ne tuons pas les concepts alors qu'ils apparaissent à peine, nous les voulons durables? Agissons en conséquence. Agir, c'est choisir, de parler à son client le temps qu'il faut (une conversation "durable"), savoir dire non à un hôtel de chaîne et expliquer pourquoi, redéfinir sa politique quitte à perdre des clients, être droit. Redonner ses lettres de noblesse au voyage, penser en termes d'empreinte écologique et humaine. C'est permettre à l'intérieur du temps de travail, à chacun, de creuser, d'avancer, d'aller au fond des choses, de ne pas consacrer tout son temps à une logique de rentabilité, et de reconnaitre ce temps.
Ces termes supposent plein, plein de choses, c'est beaucoup plus que l'idée qu'on s'en fait, qu'on qualifie de durable ... alors qu'on n'identifie même pas ce que la portée de ce mot signifie !!!!
Les gens croiront à ce type de démarche uniquement si il est fondée, sincère et concrète, dans le cas contraire cela ne sert à rien. Ou plutôt, si, cela sert à se rassurer tout en continuant à faire du chiffre. Car qu'est ce qui compte vraiment, qu'est ce qui fait qu'on se lève pour aller bosser le matin, à part le chiffre???
Bien à vous,
Philippe








5.Posté par philippe falbet le 22/03/2006 17:04 | Alerter
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Autre chose, je vous invite à aller jeter un coup d'oeil à cette "plume d'humeur" de Peyo d'Andurain, co fondateur de Saiga
http://www.saiga-voyage-nature.fr/engagemt.php3

Philippe Falbet

6.Posté par Patrick Martin le 19/01/2007 00:37 | Alerter
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Voici un site qui répertorie de bons exemples d'écotourisme et de tourisme responsable...


7.Posté par Lycée Hotelier Villa San Giovanni - (RC) - ITALIE le 24/05/2008 12:11 | Alerter
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Nous sommes une classe de la section touristique du Lycée Hotelier de Villa San Giovanii - RC - Italie. Actuellement, nous faisons un projet de travail et d'études sur le tourisme écologique. Nous travaillons avec notre prof de français sur l'argument (en français bien sur) et en particulier nous nous sommes penchés sur le problème du travail et de l'exploitation des enfants dans le secteur du tourisme, notamment l'affreux problème du "tourisme sexuel". Nous devons tous devenir des écotouristes et nous, futurs travailleurs dans le monde du tourisme, devons intervenir en première ligne pour lutter contre ce phénomène.

8.Posté par rachid mouatassim le 07/06/2008 01:47 | Alerter
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salut tous le monde je suis un etudient chercheure de la faculte des lettre et de sience humain de SAIS /FES,j'ai entraine de prepare une thése de douctoura sur le theme du "le tourisme durable comme un elevateure de developpemnt locale dans la region de geulmim sud de Maroc."comme vous s'avez bien cette region est une zone semi aride qui souffre de beacoup de problemes consernent exactementtla degradation des ressourses naturelles surtout le manque de l'eau,l'ensablement ,degradation de couverte vegetalle...mais cette region a des ptentialite touristique trés importante mais sous expoloites.la question comment on peut realise un develeppement touristique durable dans cette region sahraouine?j'attendez voutre coumentaire et voutres observation et orientation avec beacoup de jois. rachid moutassim agadir Maroc

9.Posté par juliette le 10/06/2008 19:14 | Alerter
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Bonjour
Je suis actuellement en train de monter un prjet de guest house (auberge pour voyageurs petits/moyen budget) en thailande.

Je souhaite en faire un endroit agreable pour tous, et surtout respectant l'environnement naturel, local, la population.
Utiliser l'energie solaire, recycler et préserver l'eau, faire travailler les petits locaux et non les grosses entreprise, et sensibiliser les voyageurs a cette demarche.
Je souhaite obtenir plus d'information sur ce type de tourisme. pouvez vous m'aider a me procurer ces informations ?
Merci d'avance
Juliette


10.Posté par Lamic Jean-Pierre le 15/07/2008 19:43 | Alerter
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Bonjour,
Ce message pour vous informer de la parution de mon ouvrage intitulé : Tourisme durable, utopie ou réalité? Editions L'Harmattan, avril 2008
Il répond à la problématique, vue par un acteur de terrain.
Vous pouvez également vous connecter sur http://blog.voyages-eco-responsables.org/
Nous y présentons la charte des Voyagistes éco-responsables, et la charte des Voyageurs éco-responsables.
Bien cordialement
Jean-Pierre Lamic

11.Posté par Michael KARIMI le 16/07/2008 11:13 | Alerter
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Nous sur les pentes du mont Kenya avons construit un camp pour des touristes. Le camp est près de la montagne et encadre également les cavernes qui ont été employées par les gens du pays pour lutter pour l'indépendance. Les personnes locales sont directement impliquées et ont un certain travail à faire et c'est nouveauté pour le secteur.
Nous considérons en tourisme responsable d'encourager la conservation et la création de la richesse par l'initiative et avec l'appui de tous.
Donc http://www.,footsafaris.com
Cordialement,
Michel

12.Posté par marouane le 15/10/2008 21:18 | Alerter
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salut a tt le monde je ss un etudiant en gestion hotelier et je ss entrain de preparer un projet sur le tourisme durable et je voudrai bien avoir votre aide si c possible bien sur . contacter moi par l'adresse email et si vous avez des documents et des idees ca me ferai l'immence plaisire de les avoir :) merci a tts

13.Posté par LASRY ANASS le 13/02/2009 16:34 | Alerter
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FERME D'HOTE QUARYATI PRES DE MARRAKECH

Madame, Monsieur,

Nous sommes un hôtel récemment ouvert sur la route de L'Ourika (Atlas marocain) près de Marrakech et nous souhaiterions faire partie de votre catalogue de destinations car nous pensons que notre produit correspond vraiment à la demande écotouriste , très actuelle.

De plus nous nous sommes engagés depuis le départ sur la base d'un tourisme durable.

En effet, nous employons entre autre les jeunes des villages alentours afin de les former à l'hôtellerie-restauration

Notre site web : www.quaryati.com

Aussi, pourriez-vous me renseigner à propos des démarches ?

Cordialement.



LASRY ANAS
General Manager
Tel : 00.212.(0)63.57.12.96
Web site : www.quaryati.com
quaryati2@gmail.com
contact@quaryati.com

14.Posté par matel dite tema ba le 20/02/2009 21:30 | Alerter
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merci pour cet article moi je suis technicienne supérieur en tourisme et j ai écri mon mémoire sur la déstruction des écosystèmes: quel impact sur le tourisme durable
et j aimerais expérimenter cela

15.Posté par matel dite tema ba le 20/02/2009 21:34 | Alerter
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c' est toujour matel si toutefois vous cherchez une stagaire dans le domaine du tourisme durabble contactez moi en fait je suis tecnicienne supérieur en tourisme et gestion hotelière sortie de l' ecole supérieur polytechnique de dakar
tel 77 533 35 58


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