Pourtant, force est de constater que dans cette "révolution des jasmins" pas un seul touriste n'a été molesté, comme le rappelait notre journaliste Michèle Sani, présente ce week à Djerba.
A tel point que beaucoup d'entre eux ont préféré rester quitte à signer des décharges à leur hôteliers...
Dans la plupart des zones touristiques, aucun trouble n'est venu perturber le quotidien de nos compatriotes en vacances.
Faut-il rappeler aussi que le site des avis aux voyageurs du Quai d'Orsay regorge de destinations où certaines zones sont déconseillées sans pour autant interdire l'ensemble du pays ?
Bref, il semble qu'après avoir mis un certain temps à prendre position sur les morts par balle quotidiens, les pouvoirs publics français, ont été pris de panique et réagi quelque peu épidermiquement.
Les voyagistes ont, de gré ou de force, suivi. Il est un peu tard pour avoir des regrets mais désormais la question taraude tous les esprits : combien de temps avant le retour à la normale et quelle répercussion pour les résa ?
En effet, l'été avait plutôt bien démarré chez la plupart des voyagistes. Or, quant on connait le nombre de clients français (600 000) qui choisissent la Tunisie pour leurs vacances, on peut légitimement se poser la question de savoir vers où cette demande se déportera et si cela aura lieu.
Pour la Tunisie, la question est également vitale. Dans un pays où le secteur du tourisme est l'un des premiers sinon le 1er pourvoyeur d'emplois, il importe de rétablir très vite le calme et de laisser les institutions faire leur travail.
Rien ne serait pire qu'un pays livré aux règlements de compte et aux milices de tous ordres qui pourraient porter rapidement un coup fatal à l'économie tunisienne.
A tel point que beaucoup d'entre eux ont préféré rester quitte à signer des décharges à leur hôteliers...
Dans la plupart des zones touristiques, aucun trouble n'est venu perturber le quotidien de nos compatriotes en vacances.
Faut-il rappeler aussi que le site des avis aux voyageurs du Quai d'Orsay regorge de destinations où certaines zones sont déconseillées sans pour autant interdire l'ensemble du pays ?
Bref, il semble qu'après avoir mis un certain temps à prendre position sur les morts par balle quotidiens, les pouvoirs publics français, ont été pris de panique et réagi quelque peu épidermiquement.
Les voyagistes ont, de gré ou de force, suivi. Il est un peu tard pour avoir des regrets mais désormais la question taraude tous les esprits : combien de temps avant le retour à la normale et quelle répercussion pour les résa ?
En effet, l'été avait plutôt bien démarré chez la plupart des voyagistes. Or, quant on connait le nombre de clients français (600 000) qui choisissent la Tunisie pour leurs vacances, on peut légitimement se poser la question de savoir vers où cette demande se déportera et si cela aura lieu.
Pour la Tunisie, la question est également vitale. Dans un pays où le secteur du tourisme est l'un des premiers sinon le 1er pourvoyeur d'emplois, il importe de rétablir très vite le calme et de laisser les institutions faire leur travail.
Rien ne serait pire qu'un pays livré aux règlements de compte et aux milices de tous ordres qui pourraient porter rapidement un coup fatal à l'économie tunisienne.