Valérie Marie, responsable d’agence Boiloris, Ambassade Fram, a le contact direct et aisé. Dans son quartier du XVe arrondissement de Paris, où elle travaille depuis 5 ans, elle a fini par tisser des relations presque amicales avec ses clients - DR : S.L.
Valérie Marie a toujours évolué dans un milieu féminin, où elle se sent à l’aise.
« Déjà en BTS, nous étions 32 filles pour un garçon ! Aux soirées brochures, il n’y a que des femmes, et quand les agences ont un vendeur, elles le gardent précieusement.
Généralement, les hommes en agence sont les dirigeants » remarque la jeune femme, qui ne ressent aucun état d’âme.
Valérie Marie est tombée dans le tourisme par hasard, aux journées portes ouvertes de son lycée.
« Tout ce que je savais, c’est que je ne voulais pas faire de longues études » se souvient-elle.
Elle passe son BTS dans son pays nantais et la voici à Paris. En janvier dernier, à la suite du rachat de son agence par Boiloris, elle troque son adresse rue de la Convention, contre la rue Saint Charles, 30 mètres plus loin.
Avec ses anciens clients, dont l’agence a conservé le fichier, les liens sont devenus presque amicaux.
« Ils me font des confidences et me demandent des nouvelles de mes filles, car ils m’ont connue enceinte. C’est pour eux que j’ai mis leur photo sur écran » explique Valérie Marie en cliquant sur deux jolis minois. « C’est l’aspect relationnel de mon travail. »
« Déjà en BTS, nous étions 32 filles pour un garçon ! Aux soirées brochures, il n’y a que des femmes, et quand les agences ont un vendeur, elles le gardent précieusement.
Généralement, les hommes en agence sont les dirigeants » remarque la jeune femme, qui ne ressent aucun état d’âme.
Valérie Marie est tombée dans le tourisme par hasard, aux journées portes ouvertes de son lycée.
« Tout ce que je savais, c’est que je ne voulais pas faire de longues études » se souvient-elle.
Elle passe son BTS dans son pays nantais et la voici à Paris. En janvier dernier, à la suite du rachat de son agence par Boiloris, elle troque son adresse rue de la Convention, contre la rue Saint Charles, 30 mètres plus loin.
Avec ses anciens clients, dont l’agence a conservé le fichier, les liens sont devenus presque amicaux.
« Ils me font des confidences et me demandent des nouvelles de mes filles, car ils m’ont connue enceinte. C’est pour eux que j’ai mis leur photo sur écran » explique Valérie Marie en cliquant sur deux jolis minois. « C’est l’aspect relationnel de mon travail. »
Rodée à la patience
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L’agence bénéficie de l’effet de nouveauté auprès des chalands de la rue Saint Charles particulièrement animée les jours de marché.
Notre chef d’agence est malgré tout obligée d’élargir constamment son volant de clientèle : « Ça demande de l’imagination, du temps et beaucoup de phoning. »
Valérie Marie organise ainsi des soirées à thèmes, en partenariat avec ses fournisseurs ; une activité relativement nouvelle pour elle.
Elle aime toujours autant son métier, malgré la tendance de la clientèle à être de plus en plus tatillonne et versatile.
« L’écoute et la phase de découverte du client sont très importantes pour cerner ses besoins et gagner sa confiance. »
Rodée à la patience, notre chef d’agence considère qu’un dossier n’est jamais bouclé.
Elle se souvient ainsi de ce client en voyage de noces, qui n’avait pas reçu de cadeau d’accueil : étourderie de l’hôtelier. Après réclamation du client, son hôte répare aussitôt l’oubli, avec une bonne bouteille pour se faire pardonner. À son retour, le jeune époux osa demander une indemnisation.
« Pour évoluer professionnellement, il faudrait que j’aille dans le montage de produits, par exemple. Mais je doute qu’un tel changement corresponde à une hausse de salaire. Quant à revenir à Nantes, je n’y songe pas. Il n’y a pas de travail et mon mari est Parisien ! »
Notre chef d’agence est malgré tout obligée d’élargir constamment son volant de clientèle : « Ça demande de l’imagination, du temps et beaucoup de phoning. »
Valérie Marie organise ainsi des soirées à thèmes, en partenariat avec ses fournisseurs ; une activité relativement nouvelle pour elle.
Elle aime toujours autant son métier, malgré la tendance de la clientèle à être de plus en plus tatillonne et versatile.
« L’écoute et la phase de découverte du client sont très importantes pour cerner ses besoins et gagner sa confiance. »
Rodée à la patience, notre chef d’agence considère qu’un dossier n’est jamais bouclé.
Elle se souvient ainsi de ce client en voyage de noces, qui n’avait pas reçu de cadeau d’accueil : étourderie de l’hôtelier. Après réclamation du client, son hôte répare aussitôt l’oubli, avec une bonne bouteille pour se faire pardonner. À son retour, le jeune époux osa demander une indemnisation.
« Pour évoluer professionnellement, il faudrait que j’aille dans le montage de produits, par exemple. Mais je doute qu’un tel changement corresponde à une hausse de salaire. Quant à revenir à Nantes, je n’y songe pas. Il n’y a pas de travail et mon mari est Parisien ! »