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Les recherches pour retrouver les boites noires du vol AF 447 Rio-Paris d'Air France qui s'est abîmé en mer le 1er juin dernier, sont officiellement stoppées.
Pour autant, les familles des victimes qui veulent toujours connaître les causes de la disparition de l'appareil qui a fait 228 victimes, ne s'en contentent pas et pour cause.
Aussi, le père et le frère de Clara Amado, 31 ans, une hôtesse de l'air qui fait partie des victimes se sont constitués partie civile dans ce dossier.
Selon Me Jean-Claude Guidicelli, qui assiste la famille varoise dans ses démarches, il s'agit à ce jour de la deuxième famille française à suivre la même procédure.
L'avocat a indiqué qu'il allait demander la mise en examen d'Air France avant le 24 septembre prochain, date d'une quatrième rencontre à Paris entre les familles des victimes du vol et la direction de la compagnie aérienne.
"On veut des réponses à nos questions et connaître les causes exactes de l'accident et on veut que les responsables assument", a-t-il déclaré.
Pour autant, les familles des victimes qui veulent toujours connaître les causes de la disparition de l'appareil qui a fait 228 victimes, ne s'en contentent pas et pour cause.
Aussi, le père et le frère de Clara Amado, 31 ans, une hôtesse de l'air qui fait partie des victimes se sont constitués partie civile dans ce dossier.
Selon Me Jean-Claude Guidicelli, qui assiste la famille varoise dans ses démarches, il s'agit à ce jour de la deuxième famille française à suivre la même procédure.
L'avocat a indiqué qu'il allait demander la mise en examen d'Air France avant le 24 septembre prochain, date d'une quatrième rencontre à Paris entre les familles des victimes du vol et la direction de la compagnie aérienne.
"On veut des réponses à nos questions et connaître les causes exactes de l'accident et on veut que les responsables assument", a-t-il déclaré.

















