La Commission européenne exigerait qu'Air France lâchec des créneaux à Orly - DR
Ce n'est pas une douche froide, mais une véritable gueule de bois, avec laquelle s'est réveillée la direction d'Air France, mardi 2 février 2021.
En effet, pour valider l'opération survie de la compagnie aérienne, qui passera encore par plusieurs milliards d'euros apportés par l'Etat Français, la Commission européenne a décidé d'infliger une lourde compensation.
Selon nos confrères du journal, La Tribune, l'instance demande à Air France de céder des créneaux horaires de décollage et d'atterrissage à l'aéroport d'Orly dans le cadre de la recapitalisation de la compagnie française.
Ce n'est pas quelques slots, mais s'apparenterait à plusieurs milliers.
En effet, pour valider l'opération survie de la compagnie aérienne, qui passera encore par plusieurs milliards d'euros apportés par l'Etat Français, la Commission européenne a décidé d'infliger une lourde compensation.
Selon nos confrères du journal, La Tribune, l'instance demande à Air France de céder des créneaux horaires de décollage et d'atterrissage à l'aéroport d'Orly dans le cadre de la recapitalisation de la compagnie française.
Ce n'est pas quelques slots, mais s'apparenterait à plusieurs milliers.
Autres articles
-
République dominicaine : "2023 a été l'année de tous les excès"
-
Attaque Iran - Israël : les compagnies aériennes adaptent leur programme de vols
-
Kérosène aux Antilles : les compagnies réclament des millions à l'Etat ! 🔑
-
Israël, Liban et Iran : "Les Français doivent s'abstenir de se rendre" dans ces pays !
-
Sauvetage Corsair : La Commission européenne doute, Bercy rassure !
La Commission se base sur la demande faite à Lufthansa qui a accepté de 24 créneaux horaires par jour à la fois à Francfort et à Munich, ce qui représente l'équivalent de près de 9.000 créneaux annuels sur chaque aéroport.
L'exécutif européen, qui examine la conformité de cette aide avec la règlementation européenne, attend des contreparties du groupe, selon la Tribune.
Cette exigence ne concerne que la première recapitalisation de la compagnie, celle trois milliards d'euros, qui a eu lieu en mai dernier.
L'exécutif européen, qui examine la conformité de cette aide avec la règlementation européenne, attend des contreparties du groupe, selon la Tribune.
Cette exigence ne concerne que la première recapitalisation de la compagnie, celle trois milliards d'euros, qui a eu lieu en mai dernier.