Il a été confirmé que les activités de fret et de maintenance ne feraient pas partie des activités de la nouvelle Alitalia.
Mais le bilan social qui toucherait aussi bien les employés d’Alitalia que ceux d’Air One dont les activités seront fusionnées, pourrait être moins élevé que prévu. C’est en tous cas ce qu’aurait laissé entendre le ministre du travail Maurozio Sacconi aux syndicats.
Sur les 17 500 employés que comptent aujourd’hui les deux compagnies, 14 250 seraient repris par la nouvelle entité. Le sort des 3 000 intérimaires n'a cependant pas été fixé.
La flotte de la nouvelle Alitalia serait composée de 110 appareils en leasing complétée par l’achat de 43 appareils de l’actuelle Alitalia et le réseau serait composé de 75 destinations domestiques et régionales.
Les syndicats ont par ailleurs appris que le plan Fenice prévoit que la nouvelle compagnie atteindrait le point mort économique en deux ans avec un chiffre d’affaires de 4,8 milliards d’euros.
Par ailleurs, le journal économique la Tribune laisse entendre dans son édition d'aujourd'hui, qu’un accord secret aurait été passé entre la banque conseil Intesa SaoPaulo et Air France-KLM qui ferait à terme du groupe franco-néerlandais, le premier actionnaire de la compagnie italienne.
Une information qu’Air France n’aurait pas confirmé.
Mais le bilan social qui toucherait aussi bien les employés d’Alitalia que ceux d’Air One dont les activités seront fusionnées, pourrait être moins élevé que prévu. C’est en tous cas ce qu’aurait laissé entendre le ministre du travail Maurozio Sacconi aux syndicats.
Sur les 17 500 employés que comptent aujourd’hui les deux compagnies, 14 250 seraient repris par la nouvelle entité. Le sort des 3 000 intérimaires n'a cependant pas été fixé.
La flotte de la nouvelle Alitalia serait composée de 110 appareils en leasing complétée par l’achat de 43 appareils de l’actuelle Alitalia et le réseau serait composé de 75 destinations domestiques et régionales.
Les syndicats ont par ailleurs appris que le plan Fenice prévoit que la nouvelle compagnie atteindrait le point mort économique en deux ans avec un chiffre d’affaires de 4,8 milliards d’euros.
Par ailleurs, le journal économique la Tribune laisse entendre dans son édition d'aujourd'hui, qu’un accord secret aurait été passé entre la banque conseil Intesa SaoPaulo et Air France-KLM qui ferait à terme du groupe franco-néerlandais, le premier actionnaire de la compagnie italienne.
Une information qu’Air France n’aurait pas confirmé.
















