Le BSP analyse la possibilité de réduire les délais de paiement en Suisse. Quid de la France ? “La question n'est absolument pas à l'ordre du jour”, souligne Jérôme Bonin, directeur général France de IATA.
Des discussions ont eu lieu entre les compagnies aériennes et les agences de voyages au sein de commissions paritaires, préalables à toute décision en la matière. Sans plus de résultat”.
La question n'est donc pas au programme de la prochaine Passager Agency Conference annuelle organisée en juin.
Certains pays, nouveaux entrants de IATA, ont adopté d’entrée le règlement hebdomadaire. En Europe, le modèle reste un règlement mensuel ou bi-mensuel.
Des discussions ont eu lieu entre les compagnies aériennes et les agences de voyages au sein de commissions paritaires, préalables à toute décision en la matière. Sans plus de résultat”.
La question n'est donc pas au programme de la prochaine Passager Agency Conference annuelle organisée en juin.
Certains pays, nouveaux entrants de IATA, ont adopté d’entrée le règlement hebdomadaire. En Europe, le modèle reste un règlement mensuel ou bi-mensuel.
En option et avec des contreparties ?
Certains acteurs du secteur vante les quelques avantages d’un règlement à plus courte échéance : la possibilité d'être plus à jour, d'offrir un meilleur suivi et surtout de réduire le montant de la garantie bancaire.
Un changement signifierait d'abord pour les agences une surcharge de travail. On peut donc penser qu'il ne verra pas le jour avant plusieurs années (s'il voit jamais le jour !).
Avec dans ce cas probablement des contreparties pour les agences concernées, en admettant qu'on leur laisse le choix d'opter ou non pour un délai plus court . Ces contreparties pourraient être par exemple la réduction du montant de la garantie de l'agence et le raccourcissement des délais des remboursements.
Un changement signifierait d'abord pour les agences une surcharge de travail. On peut donc penser qu'il ne verra pas le jour avant plusieurs années (s'il voit jamais le jour !).
Avec dans ce cas probablement des contreparties pour les agences concernées, en admettant qu'on leur laisse le choix d'opter ou non pour un délai plus court . Ces contreparties pourraient être par exemple la réduction du montant de la garantie de l'agence et le raccourcissement des délais des remboursements.